La qualité de l’eau fait débat et c’est un sujet d’une grande importance. Notre corps étant principalement constitué d’eau, il s’agit en priorité, avant même de réformer la qualité alimentaire, d’apporter une eau de qualité à notre organisme. Nous perdons en moyenne 2,5 litres d’eau par jour, en fonction des conditions climatiques, à reconstituer grâce aux aliments et à l’eau pure (1,5 litre recommandé).

L’eau du robinet est potable et inépuisable. Nous devons en être conscient tant cette prouesse est encore loin d’être évidente pour de nombreux pays et nous devons l’économiser au quotidien.

Cependant, elle est chargée de particules toxiques comme les métaux lourds, hormones, médicaments et antibiotiques, chlore et pesticides entre autres.

Pour en profiter pleinement et limiter les bouteilles plastiques, voici 2 solutions (pour commencer) peu coûteuses et pratiques que j’ai personnellement adoptées depuis longtemps.

Mes 2 solutions :

La filtration sur Évier : adaptable sur tous les éviers de cuisine, l’installation est à la portée de tous pour un coût réduit (entre 150 et 250 €) ; on bénéficie d’une eau instantanément filtrée pour tous les usages alimentaires on ouvrant le robinet relié à la cartouche.

Le filtre à gravité : pas besoin de branchement ou raccordement. Le récipient du haut reçoit l’eau du robinet (ou de pluie, eau non potable à l’étranger…) et filtre à l’aide de 2 ou 4 cartouches l’eau dans le récipient du bas. Très pratique dans une maison de campagne, il se transporte partout. Ce système nomade est reconnu comme le meilleur ratio entre la filtration, la pollution, le coût, la consommation et la composition finale.

Là aussi le tarif est réduit car les systèmes sont inusables (entre 150 et 400 € selon la taille).

La filtration :

Je fais confiance au laboratoire Aqua-Techniques qui existe depuis 30 ans et possède des certifications (NSF Standards 42 et 53, CSTB Français, WRAS, WQA…). Ces certifications répondant aux normes ISO 9001 et permettent la garantie des cartouches qui viennent uniquement d’Angleterre.

Une cartouche permet 4 niveaux de filtration :

  • Céramique extérieure microfiltration (on peut la brosser de temps en temps)
  • Céramique anti-bactéries et auto-stérilisante
  • Charbon actif activé compacté (issue de coques de noix de coco)
  • Charbon actif avec autre support pour métaux lourds

Ces systèmes sont vite rentabilisés par l’économie de bouteilles d’eau. Ils sont utilisés par les ONG internationales et les organismes de Santé Officiels.

Vous pouvez obtenir sur demande les analyses et performances de la filtration Doulton (je l’ai fait).

Les résultats de la filtration :

  • Bactéries présentes dans les déjections fécales (Eschérichia coli…) > 99,999 %
  • Métaux lourds (plomb, cuivre, aluminium, arsenic…) > 99 %
  • Produits chimiques, herbicides, pesticides… > 95 %
  • Hydrocarbures > 95 %
  • PPSP (produits d’hygiène et de soins personnels) > 90 %
  • Hormones, médicaments, anti-dépresseurs > 90 %
  • Pas de goût ni d’odeur
  • Élimination du chlore et ses dérivés (chloramines) > 99 %

Les avantages :

  • Le coût : on change la cartouche 1 à 2 fois par an selon l’utilisation (50 € environ)
  • On utilise l’eau filtrée pour tout : thé, café, cuisson des légumes ou céréales, lavage ou rinçage des fruits et légumes et bien sûr pour boire l’eau directement
  • Pas besoin de minéraliser cette eau car elle conserve son potentiel minéral
  • Économie sur l’achat des bouteilles d’eaux
  • Pas de recyclage des bouteilles plastiques

Enfin : avec mon code CG20 : une réduction de 5 % vous est offerte sur toute leur gamme

N’hésitez pas à contacter l’équipe au téléphone : 05 63 04 45 67

ou par mail : contact@aqua-techniques.fr

Je vous souhaite une belle santé et une belle fin d’année !

J’ai eu l’honneur et le grand plaisir d’écrire l’article d’introduction sur le thème du Biocontact de décembre le Burn Out. Ce journal est disponible gratuitement dans les magasins biologiques.

N’hésitez pas à vous le procurer !

Je vous partage cet article si vous n’avez pas la possibilité de le lire.

Le burn-out, maintenant précédé du burn-in, est devenu un mal universel dans un monde où tout s’accélère et dans lequel nous devons être performant à chaque étape de notre vie. Ce terme, souvent galvaudé, est un sujet préoccupant. Alors de quoi parle t-on précisément quand on évoque le Burn Out ?

Les mots « stress » et « burn-out » font désormais partis de notre quotidien ou celui de nos proches. Nous subissons un environnement bruyant, pollué, agité en permanence avec des contraintes et des obligations de plus en plus nombreuses, auxquelles nous devons répondre en temps réel en raison d’internet ou des réseaux sociaux. Nous sommes sursollicités et devons être joignables constamment, sans la possibilité de laisser de répit à notre cerveau qui sature d’informations. Notre capacité d’adaptation diminue, s’épuise et s’effondre.

Burn Out : de quoi s’agit-il ?

Le burn-out est un « syndrome d’épuisement professionnel », ou SEP, qui fait suite à un surmenage chronique, plus ou moins long.

Il s’étend de nos jours à la sphère familiale pour les parents débordés, souvent les mères, mais aussi à celle des études pour les étudiants sous pression.

Ce concept est apparu dans les années 1970 avec le psychanalyste Herbert Freudenberger dans son ouvrage «Burnout : The High cost of High Achievement » (L’épuisement professionnel, la brûlure interne – Editions Morin 1998). On parle de « brûlure interne » pour exprimer le « petit feu qui consume » sans que l’on s’en rende compte avant de provoquer l’implosion.

Même s’il est surtout l’identité du XXIème siècle, l’épuisement au travail a déjà été identifié par le médecin Samuel Tissot en 1770 puis porte le nom de « fatigue industrielle » vers 1920.

Dans les années 2000, la médiatisation des salariés japonais morts en raison d’un surmenage au travail ou le suicide des salariés chez Renault ou France Télécom illustrent de façon dramatique ce sujet.

Nous avons tous à l’esprit ce récent fait divers du suicide sur son lieu de travail de Christine Renon, directrice d’école en Seine Saint Denis.

Cette maladie dont la réalité remet en question l’organisation de notre société, le système de management au travail et son environnement, est loin d’être imaginaire. Elle concerne aussi de plus en plus les mères de famille et les étudiants.

Tout le monde est-il concerné ?

Selon une étude réalisée il y a 10 ans par Ipsos, 32% des Français sont sujets au stress dans leur vie professionnelle avec une prédominance chez les femmes (53%). La tranche d’âge la plus concernée correspond aux 35-55 ans.

Même si la vie professionnelle est la principale source de stress, l’environnement et les relations sociales et affectives y participent également.

On peut aussi observer des disparités touchées par le burn-out parmi les catégories socio-professionnelles selon une étude réalisée en 2014 par Technologia :

  • 24% chez les agriculteurs
  • 20% chez les artisans, commerçants et chefs d’entreprises
  • 19% chez les cadres
  • 13% chez les professions intermédiaires
  • 10% chez les employés
  • 7% chez les ouvriers

A noté que l’on est autant stressé en ville qu’à la campagne et qu’une montée inquiétante concerne les jeunes avec une augmentation de consommation d’excitants dont l’alcool ou les drogues.

Du stress au Burn Out 4 phases à reconnaître :

Le stress est essentiel à la vie et la survie « L’absence totale de stress, c’est la mort » dira souvent Hans Selye. C’est donc notre capacité d’adaptation qui est en jeu et qui, en fonction du contexte, des pressions et des prédispositions, obéit à un mécanisme graduel en 4 phases :

  • 1ère phase : l’enthousiasme

La motivation et l’enthousiasme génèrent une énergie positive et dynamisante chez le salarié qui accepte les contraintes de son travail et maintient son équilibre.

  • 2ème phase : le sur-engagement

Lors de cette phase d’alerte, le temps passé au travail prend le pas sur la vie personnelle avec une diminution des temps de loisirs et de la vie personnelle. L’absence de déconnexion induit les premiers signes de fatigue ou manque de sommeil et ceux-ci sont ignorés. On peut aussi parler « d’addiction au travail ».

  • 3ème phase : l’acharnement

La notion de plaisir au travail diminue voire disparaît avec l’apparition d’un stress chronique et le sentiment d’être surmené, noyé dans les nombreuses tâches à gérer. L’agressivité, l’impatience et le cynisme se manifestent alors, aussi bien sur le lieu de travail que dans la vie privée. On parle alors de désocialisation.

Cette phase de résistance peut durer des mois selon les individus.

  • 4ème phase : l’épuisement

« Je suis épuisé », « je vais craquer ».

Cette dernière étape se caractérise par un effondrement de l’organisme. Cette phase peut être brutale et la personne craque d’un coup ou se manifester en 2 étapes :

Le burn-in : épuisement psychique ou dépression

Le burn-out : épuisement psychique, émotionnel et physique

La perte d’intérêt, la dévalorisation et le découragement s’associent à une incapacité au travail. C’est à ce niveau que le risque suicidaire est majeur.

Les signes qui doivent alerter

Les symptômes sont nombreux et disparates car ils atteignent en priorité le système le plus faible de chacun.

On ne doit jamais sous estimer l’arrivée des premiers signes mais entendre ces alertes. C’est le rôle du monde médical et professionnel, des thérapeutes, mais aussi de l’entourage familiale ou amical. Selon les personnalités certains n’oseront pas se confier ni alerter l’entourage par crainte de perdre leur travail ou d’avouer leurs « vulnérabilités ».

Voici une liste non exhaustive des principaux signes d’un burn out. Ils peuvent avoir lieu au niveau :

  • Digestif : ulcère à l’estomac, crampe, spasmes, syndrome du colon irritable
  • Articulaire et musculaire : lombalgie, cervicalgies, tendinites
  • Cognitif et nerveux : perte de mémoire et concentration, confusion mentale, trouble du sommeil, irritabilité, nervosité, mental toujours en éveil, migraine, vertige, fatigue chronique, trouble de l’humeur avec intolérance aux frustrations, dépression
  • Cardiovasculaire : arythmie, hypertension, malaise cardiaque voire AVC
  • Cutané et phanère : eczéma, psoriasis, acné, perte de cheveux ou pelade
  • Hormonal : diabète, obésité ou maigreur, syndrome pré menstruel, troubles de la thyroïde, perturbation des fonctions sexuelles
  • Respiratoire : allergie, hypoxie
  • Émotionnel : hypersensibilité au bruits, aux odeurs, à la lumière, aux ondes, diminution de l’estime de soi, boulimie, prises d’excitants, addictions
  • Immunitaire : sensibilité aux infections, allergie…

Quel est le mécanisme du burn-out ?

Au niveau biologique, les glandes surrénales, qui sont au centre de la résistance au stress, vont adapter la réponse de l’organisme à celui-ci.

En phase de stress aigu d’alarme, l’activation du système sympathique va procoquer la libéreration de l’adrénaline par les surrénales. Le taux de cortisol augmente dans le sang pour libérer du glucose, principale source d’énergie.

Ce mécanisme utilise un taux élevé de magnésium, zinc et taurine.

La phase de résistance met en jeu une augmentation de cortisol, DHEA (hormone stéroïde secrétée par les surrénales) et de radicaux libres. La synthèse de sérotonine augmente aussi pour neutraliser l’effet des agents stressants mais la production s’épuise conduisant à des comportements alimentaires addictifs ou des changements d’humeur.

Parallèlement sous l’action du cortisol, le magnésium chute et le calcium passe au niveau des neurones, provoquant ainsi des troubles de la concentration et mémoire.

La dopamine, notre stater matinal impliquée dans la motivation et le plaisir, commence lentement à chuter provoquant une fatigue et une difficulté à se mettre « en route ».

L’insuline, augmentée sous l’action du cortisol, diminue la sensibilité des récepteurs avec un risque sur le long terme de prédiabète ou surpoids.

Enfin, la phase d’épuisement correspond à l’effondrement du cortisol, de la DHEA, de la dopamine et sérotonine. L’anxiété est à son maximum avec une incapacité physique à l’action. La désorganisation biologique est totale.

Les solutions médicales

Les Français remportent le triste record mondial de consommation de psychotropes.

Tous ces traitements fréquemment prescrits ne solutionnent en rien les causes du stress mais en neutralisent les symptômes. Pris sur une longue durée, les effets secondaires restent préoccupants pour la santé. La plupart sont mentionnés sur la notice qu’il faut lire attentivement.

Paradoxalement, ce sont des substances qui désinhibent et permettent ainsi de passer plus facilement à l’acte suicidaire, plus élevé en France que dans le reste de l’Europe.

Au niveau comportemental, la violence, l’agressivité, les pensées morbides font partie des risques. De même, l’arrêt de ces traitements doit être encadré médicalement pour éviter des troubles liés à la dépendance. A noter également, les effets hépatotoxiques.

En résumé, les psychotropes doivent s’adresser aux cas sévères pour lesquels les solutions naturelles ont été inefficaces.

Les stratégies naturelles en préventif

Heureusement de nombreuses solutions existent et émergent au sein même des entreprises avec la notion de « bien-être au travail ». Certaines initiatives innovantes permettent aux salariés de profiter du télétravail, de salle de repos, de massages, de pratiquer du sport, de favoriser des rapports sociaux plus humanisés et de porter une attention toute nouvelle sur la qualité alimentaire des cantines d’entreprises.

Pour ceux qui malheureusement ont un contexte professionnel classique, il existe des outils simples et efficaces pour prévenir le stress et permettre de se reconnecter à ses ressentis émotionnels et corporels.

Tout d’abord grâce aux bourgeons de plantes (figuier, tilleul, aubépine), aux plantes (mélisse, angélique, passiflore, aubépine, valériane, houblon), aux élixirs floraux dont le Rescue, aux algues (spiruline ou klamath), aux huiles essentielles (lavande, marjolaine, camomille, orange douce).

On peut aussi faire appel à des associations comme l’AFBO (Association France Burn-Out à Paris) ou visiter le site Souffrance & Travail (https://www.souffrance-et-travail.com/ ).

Enfin, l’utilisation du corps par l’activité physique élimine les tensions nerveuses :

  • Remise en mouvement en contact avec la nature : marche, marche rapide, course alternée (3 minutes de course et 5 minutes de marche en fonction de la fatigue), vélo…
  • Relâchement des tensions par le chant, la danse, le jardinage, le contact avec les animaux
  • Le plaisir des sens au quotidien : écouter de la musique, se faire masser, aller à une terrasse de café, partager un moment entre amis, aller au cinéma, prendre un bain, rire et retrouver le sens de l’humour
  • Respirer : avec la cohérence cardiaque, la relaxation, le yoga ou avec une huile essentielle
  • Vivre l’instant présent grâce à la méditation ou la sonothérapie
  • Déconnecter le mental en faisant la séparation des tâches professionnelles et personnelle : avoir 2 agendas ou arrêter son téléphone professionnel
  • S’organiser : c’est un gain de temps, d’énergie et de sérénité
  • Déléguer et apprendre à dire non avec diplomatie
  • Prendre soin de soi : apparence physique, environnement, santé
  • Manger une nourriture vivante et équilibrée de type chrono-nutrition pour favoriser la synchronisation de l’horloge biologique et harmoniser la sécrétion des neurotransmetteurs.
  • Se faire aider par la naturopathie, reiki, EFT, PNL, ostéopathie ou hypnose
  • Éviter le soir, les mauvaises ondes électromagnétiques (ordinateurs – tablette – téléphone portable) qui perturbent l’horloge biologique et la sécrétion de mélatonine, utile au sommeil.

Les stratégies naturelles en curatif

En cas de burn-out avéré, il faut agir rapidement en 4 axes :

  • Combler les carences et favoriser la détente : oméga 3, magnésium, vitamines B pour synthétiser le Gaba et la sérotonine, protéolisats de poissons, griffonia, reishi et cordyceps champignons ayant un large pouvoir de régénération, L-théanine extraite du thé pour réguler les neurotransmetteurs et favoriser la régénération des neurones
  • Régénérer avec les plantes adaptogènes pour ne pas épuiser davantage les dernières ressources : Astragale, Schisandra, Eleuthérocoque, Rhodiole, Ashwagandha
  • Apporter de l’énergie : avec le coenzyme Q10 pour sortir de l’hypoxie et la vitamine C
  • Se reposer !

En conclusion, le burn-out nous concerne tous. Notre société est capable du pire comme du meilleur mais la prise de conscience est avant tout personnelle et l’on se doit d’être à l’écoute de son corps en dédramatisant les événements, en accordant une pause nécessaire à sa performance.

Les techniques de bien-être sont utiles et nombreuses pour éviter de brûler intérieurement.

Je vous souhaite une bonne santé en ce mois de décembre

Corinne Allioux Goldfarbe

Notre audition est tout autant sollicitée et agressée que notre vision au quotidien : bruit environnemental, casque audio, écouteurs de téléphone, concert…

Les premières impressions de gêne se manifestent parfois lors d’un niveau de bruit élevé dans certaines situations : au restaurant si l’atmosphère est bruyante, dans une foule ou autre situation où l’on n’entend pas ou mal notre interlocuteur.

On s’interroge alors sur notre capacité auditive. La première vérification à effectuer est de passer un audiogramme auprès d’un médecin spécialisé.

En cas de perte significative, il s’agira de se référer au corps médical et de mettre en place un programme de soutien auprès de votre naturopathe.

Si tout est normal, alors, on entend bien dans des conditions idéales et à l’inverse, on entend mal dans des conditions inadéquates.

C’est le premier signe d’une altération auditive.

Voici quelques conseils pour protéger son audition :

  • Désenflammer le terrain en fonction des besoin : curcuma, boswellias, oméga 3, vitamine D
  • On comble les carences de vitamines et d’oligo-éléments dont le magnésium
  • On apporte des antioxydants ciblés
  • On apporte de l’oxygène : Q10 et méthodes naturelles d’oxygénation cellulaire (activité physique en plein air, bol d’air Jacquier…)
  • On utilise les bourgeons de plantes : sorbier, érable, tilleul…
  • On relance la micro circulation sanguine
  • On associe des plantes en fonction du terrain

Enfin, l’hygiène de vie et le bon sens sont à intégrer tout au long de la vie :

  • éviter le téléphone portable contre l’oreille et éviter le téléphone dans un contexte bruyant (transport, restaurant, rue…)
  • baisser le volume en cas d’utilisation de casques audio ou d’écouteurs
  • s’offrir des moments de silence et de calme
  • protéger ses oreilles lors des concerts ou autres situations aggressantes (plongée sous marine par ex) avec des boules Quies
  • éviter les cotons tiges dans l’oreille et préférer le cure oreille ou bougie d’oreille. Le cérumen est un protecteur du fonctionnement de l’oreille
  • utiliser des protecteurs d’oreille si besoin pour favoriser un sommeil récupérateur
  • écouter des sons à bonnes fréquences vibratoires : les bols chantants, musique classique ou vibratoire

Attention : les personnes ayant fait beaucoup d’otites dans l’enfance, seront davantage exposés !

N’oublions pas que la baisse d’audition entraîne l’isolement social.

On le sait scientifiquement : la restriction calorique augmente la longévité et ralentit le vieillissement. Il s’agit de diminuer la ration calorique de 30 % le soir de préférence pour un effet régénérateur augmenté.

Le Docteur Roy Walford, gérontologue en Californie, a mis au point un programme reposant sur la restriction calorique en maintenant une alimentation équilibrée et complète, la micro-nutrition pour combler les carences nutritionnelles éventuelles et l’exercice physique pour maintenir l’équilibre entre la masse maigre et la masse grasse.

Les bienfaits sont alors nombreux sur la santé à l’image des habitants d’Okinawa.

Il existe plusieurs principes pour la restriction calorique :

  • grâce au jeûne intermittent 2 fois par semaine maximum (en évitant le petit déjeuner ou le dîner)
  • en réduisant les portions de chaque repas grâce au régime dissocié par exemple
  • grâce aux mono-diètes 1 jour par mois ou 2 soirs par semaine

C’est donc le régime dissocié que je souhaite aborder. Il permet d’agir comme un starter pour une perte de poids ou un repos digestif.

Quel sont les principes ?

  • Il faut manger les protéines animales avec des légumes et les féculents avec des légumes.
  • Pas d’association protéines + féculent au cours d’un même repas (y compris le pain).
  • Ne pas dépasser 2 mois de régime dissocié.
  • Les écarts sont autorisés dans la limite de 2 repas par semaine.
  • On maintient le bénéfice de ce principe après 2 mois ou après le résultat obtenu en faisant le 80/20 :

Le juste milieu consiste à choisir :

Une dominante de légumes + féculent (soit 80% de l’assiette) + 20% de protéines

ou

Une dominante de légumes + protéine (soit 80% de l’assiette) + 20% de féculent

Quels sont les avantages ?

  • Meilleure digestion (plus rapide),
  • Pas de prise de poids et économie d’enzymes digestives,
  • Détoxication de l’organisme,
  • Pas de sensation de faim ou de frustration,
  • Meilleure énergie et sensation de bien-être,
  • Prévention des maladies métaboliques.

Quel est l’inconvénient ?

  • Mauvaise assimilation des protéines

A éviter :

  • protéines animales et céréales : ex poulet + riz ; pain + fromage
  • protéines animales et légumineuses : ex gigot + flageolets ; petit salé aux lentilles
  • protéines animales et féculents : ex steak + purée ; poisson + pomme de terre
  • amidon et acide : ex croissant et jus d’orange ; pizza
  • fruits crus en fin de repas

Repas type à personnaliser

Midi : Protéine animale ou végétale + légumes crus et/ou cuits à volonté

Soir : Soupe de légumes ou crudités ou jus de légumes + Céréales ou féculent + Légumes cuits à volonté

Attention : l’association céréales (3/4) et légumineuses (1/4) constitue une protéine végétale.

Rappel

Féculents = pomme de terre, châtaigne, patates douces, potimarron, topinambour, panais, rutabaga

Céréales =

  • avec gluten : blé, avoine, seigle, orge, épeautre, kamut
  • sans gluten : riz, quinoa, millet, maïs sarrasin, petit épeautre, amarante, teff, fonio

Légumineuses (sans gluten) = lentilles, pois chiche (houmous, panisse), fèves, haricots secs, azukis, petit pois, pois cassés, soja jaune, soja vert (haricot mungo), luzerne (= alfalfa germé), fénugrec germé ou en condiment

Protéines animales = viande rouge et blanche, volailles, charcuteries, poissons, crustacés, fruits de mer, œufs, laits, fromages, beurreet produits laitiers

Protéines végétales = légumineuses, soja et ses dérivés (lait, tempeh, tofu lacto-fermenté), quinoa, association céréales (3/4) + légumineuses (1/4), oléagineux, champignons, levure de bière, germe de blé, algues de mer et spiruline, graines germées, graines de chanvre, lupin

Bonne santé à tous !

J’ai le grand plaisir et l’honneur de rencontrer régulièrement le Docteur Willem qui vient me voir au cabinet pour tester sa santé avec l’Oligoscan. C’est un moment d’échange simple et authentique autour de la santé qui m’apporte à chaque fois beaucoup sur le plan humain et sur la santé.

Voici l’article qu’il a écrit et dans lequel il m’a très aimablement citée :

« Amis lecteurs, ne considérez pas cette lettre à la légère. Elle vous concerne tous. Nous sommes tous intoxiqués par ces poisons redoutables. Certains d’entre nous en ont relevé les dégâts, d’autres ne les soupçonnent pas et pourtant en lisant cette lettre vous en découvrirez les effets sournois.

Les métaux lourds sont naturellement présents à de faibles doses dans la nature et dans les organismes vivants. Mais, dépassé un certain seuil, ils deviennent d’autant plus dangereux qu’une fois dans l’organisme, ils s’éliminent très difficilement.

Plutôt que «métaux lourds », l’appellation « métaux toxiques » serait plus correcte. Elle englobe l’ensemble des métaux et métalloïdes présentant un caractère toxique pour la santé et l’environnement: plomb (Pb), mercure (Hg), arsenic (As), cadmium (Cd), nickel (Ni), zinc (Zn), manganèse (Mn), brome (Br) pour ne citer que les plus dangereux. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, nous vivons dans un environnement chimique : des milliers de produits métallo-chimiques baignent notre quotidien : des sources de pollutions diverses encrassent l’organisme en permanence par différentes infiltrations. Et le plus terrible, c’est que nous nous polluons principalement en respirant, en mangeant et en nous soignant. Aujourd’hui, le squelette d’un Européen contient 500 fois plus de métaux lourds que celui d’une personne ayant vécu au Moyen Âge. Il ne nous reste qu’à vivre sous cloche.

Nous nous imprégnons de métaux toxiques en respirant les gaz d’échappement des automobiles, les émissions aériennes des processus industriels, de la combustion du pétrole, du charbon, des végétaux, les émanations des incinérateurs d’élimination d’ordures ménagères, des déchets miniers et industriels.

Nous ingérons des toxiques en mangeant des aliments contaminés, résultats des pratiques agroalimentaires modernes stimulantes à excès, par l’utilisation à long terme de composés chimiques pour la protection des plantes.

Ce qui a mené à l’explosion des quantités de cuivre, de mercure, de cadmium et de plomb dans les sols et les cours d’eau, contaminant les aliments.

Il n’y a plus de poisson sans mercure et pas de pain sans cadmium, plomb et mycotoxines, de pâtes sans aluminium, de café sans cuivre, de lait et de fromage sans plomb…

On ne trouve plus de frites et chips sans mycotoxines et beaucoup d’acrylamides (principe cancérigène), ni de vin (même bio) sans sulfites (noyau métallique soufré) en quantité.

Aujourd’hui, quotidiennement, nous sommes intoxiqués. Des recherches effectuées en laboratoire sur des sujets volontaires ont mis en évidence la présence de plus de 70 produits chimiques dans toutes les personnes soumises à l’examen, sans exception.

Nous empoisonnons notre Organisme avec des métaux lourds et des toxiques en nous protégeant préventivement contre les virus par les vaccins dont les adjuvants contiennent du mercure et/ou de l’aluminium ou en subissant depuis des générations l’obturation des caries par des amalgames dentaires.

Pourtant, toutes étaient en bonne santé apparente. Même si nous faisons très attention, nous sommes tous intoxiqués : d’innombrables substances diverses et variées s’insinuent dans notre quotidien et nous ne savons, en réalité, rien de leurs effets délétères.

Il a été démontré que dans le domaine biologique, l’action de ces perturbateurs explose lorsqu’ils s’additionnent dans le corps. Ils engendrent dans l’organisme de gros dérèglement de santé. Et ce malgré l’absence de risque de chacun des toxiques considéré isolément.

Les effets des métaux lourds sur le microbiote intestinal

Chez toute personne en bonne santé, la flore intestinale, également appelée microbiote, est composée d’un ensemble de micro-organismes (bactéries, champignons…) non pathogènes, vivant en parfaite harmonie dans l’intestin grêle et le côlon, et faisant partie intégrante du système de défense de notre organisme. Lorsque cette flore subit un déséquilibre, on parle alors de dysbiose.

D’après une étude, la présence de métaux lourds se trouve directement en cause dans la dysbiose. À terme, cette perturbation de la flore bactérienne entraîne des modifications au niveau de la muqueuse intestinale qui a un rôle essentiel dans la fonction de barrière de notre intestin. Celle-ci devient hyperperméable (« leaky gut Syndrom »), laissant aussi bienpasser les molécules indispensables au bon fonctionnement de l’organisme, que les molécules étrangères ou inhabituelles. Par la suite, ces éléments sont reconnus par notre système immunitaire, dont l’emballement est à l’origine de nombreuses maladies, notamment celles étant pourvues de mécanismes auto-immuns et inflammatoires.

Plusieurs études démontrent que le risque de développer la maladie d’Alzheimer est 8 fois plus élevé chez les personnes hui absorbent une quantité anormalement élevée d’aluminium. Dans les vaccins, l’hydroxyde d’aluminium est utilisé comme un adjuvant qui permet de mieux stimuler la réponse immunitaire des patients. Le problème est qu’il reste dans les cellules et continue de stimuler le système immunitaire au point de le dérégler, ce qui peut être à l’origine de maladies auto-immunes et neuro-dégénératives.

Dans mon livre, paru sur Amazon (Alzheimer, la maladie décryptée), j’ai démontré le mécanisme et les moyens de les neutraliser.

Les principaux métaux lourds

Et tout d’abord, ceux qui paraissent les plus dangereux et/ou les plus courants, et auxquels nous sommes tous très exposés.

L’aluminium

Ce sont les sels d’aluminium de synthèse et non l’aluminium que l’on peut trouver dans la nature sous forme d’alun. Pourquoi et comment cet ingrédient serait à l’origine de maladies à la fois musculaires et neurologiques. Que ce soit l’alu de synthèse des crèmes ou l’hydroxyde d’aluminium des vaccins. La forme synthétique de ce sel destiné en théorie à renforcer les vaccins, se retrouve maintenant mise en cause.

Un chercheur a montré comment les souris, vaccinées à l’aluminium vont ensuite avoir des particules de ce sel chimique qui se déposent dans les cellules du cerveau. Et d’expliquer comment, peu à peu, vaccin après vaccin, les cellules nerveuses s’enflamment et dégénèrent. Vraisemblablement vers l’Alzheimer. Et, si cela se confirme, on peut se poser des questions quant au calendrier des vaccinations !
On comprend, au rythme des injections et des rappels, qu’après vingt ans de vaccins à répétition, le cerveau puisse contenir vingt fois plus d’aluminium et autres adjuvants toxiques. Et qu’on trouve chez les personnes qui sont atteintes de ce type de démence ;

L’aluminium, métal léger pénétrant facilement dans le cerveau, est retrouvé fréquemment dans les plaques amyloïdes. C’est un neurotoxique présent dans l’eau du robinet de certaines régions, certains médicaments, des ustensiles de cuisine, les contenants alimentaires, les aliments industriels (E173), les déodorants, les filtres de cigarette…

Certains médicaments, dont beaucoup d’antiacides, contiennent de l’hydroxyde d’aluminium, parfois en forte dose comme le Maalox (200 mg).

Mercure (Hg)

Ils’agit ici de mercure organique, généralement de méthylmercure (Ia forme la plus toxique du mercure organique), qui estproduit lorsque des micro-organismes méthylent le mercure.
Le mercure a surtout tendance à se localiser dans la matière grise du cerveau, et sa toxicité est telle qu’on lui attribue les normes de sécurité les plus strictes. De faibles doses de mercure suffisent à altérer le système nerveux et le métabolisme humain. Nous sommes exposés à ce métal lourd et à ses composés lorsque nous mangeons des poissons qui en contiennent de grandes quantités. Plus le poisson est gros, plus il vit longtemps et plus il contient de mercure : le thon, l’espadon, l’empereur et le requin sont donc particulièrement préoccupants (le saumon, le maquereau, l’anchois, la sardine et le hareng, les SMASH, en possèdent moins).

Les effets sur la santé

Les symptômes de l’intoxication évoluent avec le temps, en fonction de l’accumulation progressive du mercure dans l’organisme. Au début on ne remarque que des petits troubles de la santé comme une transpiration plus abondante, une salivation excessive, une fatigue inexpliquée, de l’insomnie, une mauvaise haleine, des vertiges, des maux de tête.
Puis, progressivement, apparaissent des symptômes neurologiques : instabilité émotionnelle, irritabilité, dépression, pertes de mémoire. L’atteinte progressive du système nerveux, cible préférentielle du mercure, va se traduire au niveau physique par des fourmillements dans les mains, une sensation de brûlure avec endormissement des membres inférieurs, un léger tremblement des doigts, des paupières ou des lèvres.

Les amalgames dentaires

Mais la pollution de loin la plus importante provient des amalgames dentaires. C’est ainsi qu’une personne possédant huit amalgames métalliques en bouche (ce qui représente la moyenne de la population française) s’intoxique au mercure à raison de 15 mg par jour. Il s’agit alors de mercure
inorganique.

Les vapeurs de mercure, produites industriellement, mais aussi lors du fraisage des amalgames dentaires, passent extraordinairement vite dans le flux sanguin.

Une fois dans le sang, l’ion mercure (Hg ++) se lie aux globules rouges et autres protéines plasmatiques, largement distribuées au système nerveux, au foie, aux reins et au cerveau. Une très lente et disproportionnelle élimination s’ensuit, par les urines et les fèces, et surtout les phanères et la sueur.

Le mercure est aussi thioprivateur (chélateur du soufre biologique essentiel) protéolytique des enzymes de la respiration cellulaire.

Plus on possède de métaux différents en bouche (zinc, cuivre, argent, beryllium) et plus les risques sont importants, à cause des « effets de pile » engendrés (50, 100, 300 millivolts parfois).

Les porteurs de nombreux amalgames associés à d’autres antigènes sont les plus exposés à l’auto-immunité. Ainsi l’éviction des seuls métaux lourds sans procéder à l’éviction méthodique d’autres allergènes, en particulier alimentaires et médicamenteux chimique, est une opération peu efficace.

La dépose d’amalgames n’est donc pas la panacée d’autant que les matériaux de remplacement (les composites ne sont autres que des matières plastiques) semblent plus antigéniques encore que les composés de l’amalgame; en effet les monomères des composites sont à base de méthacrylate, sorte de résine acrylique (issue de la grande famille des matières plastiques) mais-aussi du fameux bisphénol A des plastiques souples ; le méthacrylate de méthyl est neurotoxiquz, allergisant et mutagène.

Le méthylmercure et le mercure inorganique peuvent être détectés grâce à une analyse de sang ou d’urine : on peut ainsi savoir d’où provient majoritairement le mercure que l’on a dans le corps (plombages ou poissons).

Le mercure peut induire les signes caractéristiques de la maladie d’Alzheimer par la présence de plaques bêta-amyloïdes et d’enchevêtrements neurofibrillaires. L’affinité du mercure inorganique pour l’hypophyse, telle que constatée chez les dentistes, pourrait résulter du transfert direct du mercure à partir des fosses nasales via les voies olfactives.

Sous l’action conjuguée de la salive (dont le pH est acide) et des différences de potentiel électrique entre les amalgames en présence, on observe une insidieuse dissolution des composés mercuriels (et autres composites) conduisant à une intoxication chronique pouvant mener à des troubles métaboliques, lésionnels ou psychiques graves.

Le mercure (Hg) perturbe le métabolisme du fer et la synthèse des globules rouges.

Les Protecteurs naturels sont le zinc (en oligo-élément) et le calcium.

Le mercure a une forte tendance à se lier au soufre. Or le soufre est un composant de nombreuses protéines du corps. En effet, trois acides animés, constituants des protéines, contiennent du soufre : cystine, cystéine, méthionine. Par ailleurs ces protéines sont le composant principal des enzymes et jouent un rôle dans les troubles nerveux (dépression).

Plomb

Le plomb (Pb) est l’un des métaux toxiques présents el grande abondance dans la croûte terrestre, à tous les niveaux atmosphère, hydrosphère, sol… Et naturellement présent lors de la dégradation de l’uranium radioactif, ou même se niche dans le zinc (Zn), le cuivre (Cu), et l’argent (Ag).

Le plomb est un ennemi de notre système nerveux central ; il altère aussi le système digestif et les globules rouges. Une fois qu’il circule dans le sang, le plomb se fixe dans les os et les dents : seule une petite quantité est éliminée dans les urines.

Les sources de pollution au plomb

Le plomb nous intoxique surtout par l’alimentation et par inhalation. Les principales sources de contamination viennent de l’industrie humaine, et plus particulièrement de la production et la consommation d’essence avec les gaz d’échappement des véhicules (voitures, deux-roues, avions.…). De nombreux éléments de notre quotidien contiennent du plomb : l’eau potable, les conduites d’eau en plomb, les nombreuses peintures, le minium, les puces électroniques.
Sans oublier la présence de sels saturniques utilisés dans l’agriculture, l’industrie chimique et pharmaceutique, les piles, les rejets dans l’air des fonderies, certains aliments (le plomb présent dans l’air se retrouve dans les sols, et donc dans les cultures, car il ne se détruit pas!), le tabac (qui augmente l’absorption du plomb dans l’organisme), la peinture, certains cosmétiques (comme le khôl)…

Les effets sur la santé

Le saturnisme génère des troubles neurologiques, des convulsions, anémie, fatigue chronique, coliques abdominales…
Par ailleurs, la toxicité du plomb :

  • agresse les cellules hépatiques en s’attaquant aux membranes et aux mitochondries ;
  • agresse l’ARN des noyaux cellulaires ;
  • inhibe les enzymes nécessaires à la synthèse de l’hémoglobine.

Les protecteurs naturels contre le plomb sont les vitamines C et E, le calcium, le zinc, la fucoïdine contenue dans le varech (algue Fucus) et le fer.

Cadmium

Il est concentré dans les accumulateurs nickel-cadmium (Ni-Cd), la fumée de cigarette, les amalgames dentaires, les engrais phosphatés, les produits d’entretien pour l’argenterie, de nombreux produits phytosanitaires (les pesticides et les engrais). Il diffuse donc dans l’environnement par le sol, puis se diffuse aux cultures et à notre alimentation, les gaz d’échappement, l’huile de moteur, les casseroles émaillée, la vaisselle en porcelaine ou en céramique, les colorants.

On peut également en trouver dans les aliments, et plus particulièrement dans les fruits de mer. Notamment dans les coquilles Saint-Jacques, les homards, les langoustes et les huîtres (qui filtrent l’eau de mer), dans les poissons où il s’accumule principalement dans les viscères (intestins, foie et reins).

Le cadmium est également utilisé dans les peintures, en particulier les jaunes et les rouges vifs (Monet utilisait du jaune de cadmium pour ses tableaux de jardin), mais heureusement, les peintures actuelles sont fabriquées de telle sorte que le cadmium ait un effet beaucoup moins toxique.

Les organes qui les recèlent sont les reins, le foie et les os. Nos émonctoires évacuent difficilement ce métal d’où sa cumulation pathogène. Les deux principales voies d’absorption du cadmium sont l’inhalation et l’ingestion.

Le cadmium entraîne l’apparition de certaines maladies : comme le cancer (en particulier pulmonaire), l’envahissement des poumons avec emphysème ou bronchite chronique, une fragilisation des os, des maladies rénales, de l’anémie, de l’arthrite, des migraines, des problèmes cognitifs, des maladies cardiovasculaires comme l’artériosclérose, de l’ostéoporose ou une perte du goût et de l’odorat que l’on retrouve dans la MA.

Élimination des métaux lourds

La chélation

Un des meilleurs moyens pour alléger l’organisme de ses métaux lourds s’appelle la chélation, une méthode naturelle et physiologique de détoxication. En chimie, c’est un processus physico chimique au cours duquel est formé un principe nouveau, entre une molécule dite chélatrice et un atome métallique.

Par son tropisme particulier, le chélateur est capable de repérer et de débusquer la molécule néfaste. Arrivé à son contact, il va se fixer à elle grâce à une réaction chimique qui va créer une liaison intermoléculaire entre le chélateur et la toxine. Ce conglomérat (toxine-chélateur) grâce aux propriétés hydrosolubles et pourra voyager dans le sang vers les organes (foie et reins) qui se chargeront de l’éliminer.

Ce principe fondamental est bien évidemment présent en chimie bio-organique : la plupart des organismes vivants produisent par chélation des protéines spéciales riches en soufre qui contribuent à détoxiquer l’organisme.

Chez l’homme, les individus chélatent plus ou moins efficacement selon leur patrimoine génétique. Ceux dont l’organisme ne peut pas se détoxiquer assez vite ont plus de risques de développer des maladies neurodégénératives (maladie d’Alzheimer notamment), en particulier en cas d’exposition constante au mercure inorganique perdu par les amalgames dentaires. Chez les personnes génétiquement moins aptes à la détoxication, le mercure augmente quantitativement et ses effets toxiques sont aggravés (maladies cardio-vasculaires, moindre résistance immunitaire).

L’élimination des toxines hors de l’organisme est essentielle. Il faudra ensuite reconstituer la barrière intestinale (flore intestinale et muqueuse) ainsi que la barrière hémoméningée (éviction des champs électromagnétiques proches).

Le principe de la détoxication est d’aller rechercher la toxine ou le métal dans le tissu où il s’est fixé, de l’accrocher à une substance appelée « chélateur » et de le transporter via le sang vers le foie pour y être métabolisé en produits éliminables, ou bien vers les reins pour y être éliminé dans les urines.

La chlorella

Elle est devenue le principal chélateur utilisé aujourd’hui grâce à sa facilité d’emploi et ses nombreux bienfaits.

Cette micro-algue unicellulaire se développe à l’état naturel dans les lacs et possède des vertus immunostimulantes bien adaptées au traitement de l’intoxication mercurielle, dans la mesure où le mercure est immunodépresseur !

Elle contient du méthylcobalamine (vitamines B6 et B12) qui favorise le bon fonctionnement du système nerveux dont la substance blanche est fréquemment envahie par le mercure : c’est le cas dans la sclérose latérale amyotrophique.

Elle est riche en porphyrine. Elle possède une grande richesse en bêta-carotène, en acides aminés, en vitamines du groupe B, en minéraux, en chlorophylle.

Ainsi, elle mobilise et piège les toxines et autres métaux lourds (plomb, mercure, cadmium, insecticides, dioxine, uranium) et réactive les fonctions de détoxication du corps. Elle élimine ensuite ces toxiques par les voies naturelles. Mais ses bienfaits ne s’arrêtent pas là : elle améliore la digestion, restaure la flore intestinale, renforce le système immunitaire et favorise la régénération cellulaire.

Dans la détoxication des métaux lourds, on petit l’associer à la coriandre, à l’ail des ours, aux alques, à la pectine des fruits, à l’élixir du Suédois… Le produit Detoxik du labo Copmed contient de la chlorella.

Deux compléments alimentaires :

Kitonorm®

Issu-du laboratoire Han Biotech, il est particulièrement efficace et parfaitement adapté à la détoxication rapide de l’organisme des polluants métalliques y compris radioactifs. . Ses principes actifs sont donc des bêta-chitosans, et aussi des polysaccharides (fibres alimentaires) spécialement traités et conjugués avec des acides aminés pour donner naissance à des principes alimentaires naturels nouveaux, chélateurs séquestrants extrêmement puissants. Ils sont solubles dans l’eau et donc d’une parfaite biodisponibilité. Ils manifestent une affinité très prononcée pour les métaux lourds, le mercure en particulier, et les principes radioactifs qu’ils captent et auxquels ils se lient dans l’organisme ; cela pour constituer des principes nouveaux qui sont facilement éliminés par les voies naturelles (foie, bile, selles, urine) selon le processus de la chélation détoxication physiologique.
C’est ainsi que, en deux à trois mois (3 à 4 capsules par jour), l’organisme est libéré de ses entraves toxicométalliques. Et les résultats sont sensibles et tangibles au niveau de l’état général.

Xenosulf®

Ce complément alimentaire permet alors de soutenir les fonctions hépatobiliaires. Ces composants (algues et plantes), agissent en synergie : ainsi, par exemple, l’extrait de pissenlit aide à supporter la fonction biliaire et la chlorella participe à la détoxification de l’organisme.
Ce produit est particulièrement utile en prévision de la dépose d’amalgames dentaires ou d’intoxication aux métaux lourds : ses composants ont pour leur grande affinité, leur capacité à éliminer les métaux lourds, et pour leur très faible affinité avec les minéraux essentiels présents dans l’organisme (1 comprimé après les deux repas, durant 40 jours, à renouveler éventuellement).

Restaurer l’écosystème intestinal.

Charbon végétal activé

Ce produit aurait la capacité d’absorber et de drainer tous les produits toxiques contenus dans l’organisme et liés à l’intoxication médicamenteuse, alimentaire, industrielle ou même radioactive.
Proposé pour lutter contre les dérangements du système usage digestif (aérophagie, ballonnements, flatulences, diarrhée…),  il est idéal contre certaines formes d’intoxication et plus particulièrement lorsque les métaux lourds sont en cause. Son usage est salutaire pour les porteurs d’amalgames dentaires, intoxiqués au mercure de façon chronique.

Choucroute

Des aliments fermentés (par fermentation naturelle, évidemment), la choucroute est en haut du podium (citons aussi le miso japonais). D’abord, le principe de la fermentation permet à l’aliment de devenir particulièrement digeste, l’action des bactéries l’ayant en quelque sorte prédigérée. Elle désinfecte le système digestif et régénère la flore intestinale. Elle donne de l’énergie, désintoxique le corps contre la constipation. Sa richesse en vitamine C permet de mieux résister aux infections, d’améliorer les défenses immunitaires et de lutter contre les coups de fatigue.

Le jus de choucroute bio est une boisson hygiénique, tonifiante et d’un grand intérêt ou niveau de l’intestin pour recréer une excellente flore intestinale saprophyte ; elle donne d’excellents résultats dans les intolérances alimentaires ainsi que dans les affections intestinales d’intoxications.

Persil

C’est surtout un excellent neutralisant des effets négatifs dûs aux métaux lourds et autres toxiques par son effet sur le foie, la rate, le système digestif, voire sur le système immunitaire et les organes endocriniens ou, bien sûr, par la stimulation de la digestion et des reins.

Voir mon livre Pollution et Santé, Ed. Dangles, on y trouve un ensemble de méthodes pour chélater les métaux lourds, pour désintoxiquer l’organisme, pour lever les émonctoires bloqués (rein, intestin, pancréas), pour restaurer le microbiote, pour booster le système immunitaire et le moduler dans les maladies auto-immunes.

Les limites de l’auto-médication

A ce jour, l’expérience clinique se heurte à de réelles difficultés, car plus que de déloger les métaux lourds stockés, le plus difficile est d’en assurer l’élimination via l’un des émonctoires. Il est ainsi parfois plus problématique de gérer la remise en circulation de ces toxiques après une cure « détox naturelle » de chlorella, ail des ours, coriandre, voire par homéopathie.

Les remèdes naturels pour diminuer les métaux lourds et l’ensemble des polluants supposent la connaissance du terrain de la personne qui lui est spécifique. C’est ainsi que l’on parle de médecine globale ou holistique, qui mobilise tous les toxiques que l’organisme a stocké durant plusieurs années et déclenchent une avalanche d’effets secondaires.

Certains médecins pratiquent l’injection au DMPS. En premier lieu, éviter de recourir aux chélations chimiques – DMPS, DMSA, EDTA – qui altèrent les organismes.

Les produits « détox » ou régimes « détox » n’ont aucun rapport avec une désintoxication 100% naturelle, médicale et personnalisée des métaux lourds.

La nutrition, la micro-nutrition, les régimes et restrictions alimentaires n’ont aucun effet sur l’élimination des métaux toxiques. Un reportage tv France 5 « Alerte au mercure » a évoqué les nombreuses plaintes concernant les chélations chimiques.

Pour obtenir de réelles améliorations il faut vous aider d’un thérapeute expérimenté. Certains naturopathes sont aptes à « débroussailler » votre situation. Les médecins généralistes en sont inaptes.

Je vous recommande une naturopathe qui s’est spécialisée dans l’élimination des métaux lourds : Corinne Allioux Golfarbe, qui dispose d’un appareil destiné aux bilans fonctionnels.

L’Oligoscan est un spectrophotomètre permettant d’analyser dans les cellules épithéliales de la paume de la main tous les éléments biochimiques pouvant s’y trouver naturellement (oligo-éléments, éléments traces, etc.), ou frauduleusement (métaux lourds).

Ce bilan non invasif est totalement indolore, extrêmement rapide (quelques dizaines de secondes), totalement reproductible et permet d’obtenir des résultats en moins de trente secondes. Il se présente sous la forme de tableaux et de graphiques immédiatement exploitables par le praticien qui peut l’utiliser pour donner des conseils aux patients et leur indiquer la thérapeutique adéquate.


Intérêts en médecine alternative

Ce bilan est très complet. Il permet de connaître :

  • le degré d’intoxication aux métaux lourds.
  • les carences et les excès en oligo-éléments et éléments traces.
  • l’état du stress oxydatif et émotionnel.
  • l’équilibre acido-basique et le fonctionnement des métabolismes.
  • l’état de la muqueuse intestinale (HPI).
  • le fonctionnement des grands systèmes (digestif, nerveux, immunitaire, circulatoire).
  • les prédispositions morbides (diabète, allergies, fonctions cognitives, etc.)

En premier lieu elle procède à un bilan des métaux lourds, aux ratios des oligo-éléments (Co/Mg, Ca/P, K/Na, Cu/Zn), à l’évaluation du stress oxydatif, à la présence de l’ensemble des vitamines, à la qualité de vos phanères, des articulations, du poids, du mental de l’appareil digestif et de l’équilibre général.

Corinne Allioux Goldfarbe vérifie la perméabilité intestinale des amalgames dentaires, corrige le déséquilibre acido-basique, elle relance la capacité de détoxication naturelle, elle utilise la zéolite activée très antioxydante, l’acide fulvique chélateur efficace et non déminéralisant, le souffre, le lithium, des complexes hépatiques et antioxydants. Elle vous prodigue des conseils hygiénistes.

Après ce programme, elle vous conseille de faire un nouveau bilan de contrôle.

Son atelier de naturopathie :

25, passage des Panoramas (Paris 2e), à 100 mètres du métro Grands Boulevards.

Pour les thérapeutes je leur recommande deux livres :

– Pollutions et santé aux éditions Dangles, livre incontournable qui décrit l’ensemble des pollutions, leurs conséquences et les différents traitements actualisés.

– Les dégâts des métaux lourds, prévention et détoxication naturelles, éditions Guy Trédaniel.
Dans une prochaine lettre j’aborderai l’électro-sensibilité dont les causes sont les métaux lourds et les cristaux de magnétite. Là aussi nous disposons d’un ensemble de remèdes efficaces. »

Bonne santé à tous,

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Les douleurs du dos représentent le « mal du siècle ». On sait aussi que 70 à 80 % de la population sera un jour ou l’autre concernée par le mal de dos.

Les problèmes de dos sont souvent liés aux disques intervertébraux responsables de la souplesse de la colonne vertébrale mais peuvent aussi avoir une origine émotionnelle « j’en ai plein le dos » !.

Ils peuvent être accentués par le stress, la constipation, les mouvements répétitifs liés à une mauvaise posture, un mouvement brusque lorsqu’on se lève ou porte des charges, un terrain tissulaire acide et l’absence d’exercice physique.

Il existe plusieurs pathologies :

La lombalgie :

La douleur est liée à une inflammation discale souvent due à des mouvements répétés ou à une mauvaise posture. L’arthrose, l’âge ou le surpoids également peuvent provoquer une lombalgie. L’inflammation entraîne alors un glissement vertébral. La lombalgie (dans sa forme la plus aiguë, on parle de lumbago) se déclenche souvent sur un muscle « sec » à froid, lorsque cet apport d’eau est insuffisant. Le lumbago est très fréquent après une période de surmenage ou de stress. La position assise, debout ou un geste brusque peuvent être à l’origine d’un lumbago. La contraction musculaire des lombaires nécessite un apport d’eau régulier.

La hernie discale :

Elle correspond à un débordement d’une vertèbre assez prononcée.

La sciatique :

Elle se produit par compression du nerf sciatique.

L’arthrose, l’inflammation et l’arthrite :

L’arthrose est une dégénérescence progressive du cartilage due à l’âge ou à d’autres facteurs (suite de trauma, acidose, ménopause…). L’arthrite est une inflammation articulaire pouvant aller parfois jusqu’à une pathologie auto-immune et pouvant toucher toutes les populations quelque soit l’âge.

Les solutions naturelles :

  • Boire de l’eau entre les repas pour favoriser l’hydrations des disques lombaires
  • Faire une cure si besoin d’eau de Quinton
  • Diminuer les aliments acides ou acidifiants (fruits verts, viande rouge, charcuterie, vin blanc…) et favoriser une alimentation alcaline à base de fruits, légumes et aromates
  • Consommer des oméga 3 alimentaires et faire des cures pour l’aspect anti inflammatoire
  • Faire une activité physique adaptée précédées d’étirements : natation, gym aquatique, pilates, yoga, stretching. Attention aux sports nécessitant des charges lourdes
  • Prendre appui sur ses cuisses pour épargner les lombaires

Les techniques manuelles au cabinet :

  • La naturopathie : on traite le terrain acide et corrige l’inflammation à base de plantes et bourgeons de plantes adaptées selon le terrain
  • La réflexologie plantaire : on travaille à distance sur l’équilibre énergétique et les douleurs
  • La Qi machine : elle favorise un « reset » du corps et redonne une belle posture, permet une remise en mouvement et favorise l’oxygénation.
  • Le drainage lymphatique manuel (méthode Vodder) : on commence par faire un travail d’ouverture au niveau de la nuque et on poursuit les manœuvres sur l’ensemble du dos. La détente est garantie…
  • Le bol d’air Jacquier : c’est un soin complémentaire aux autres techniques offert au cabinet sur demande pour permettre l’oxygénation tissulaire et diminuer l’inflammation.
  • Le Physioscan : pour équilibrer au niveau vibratoire cellulaire et émotionnel

Je vous souhaite une belle santé !

La sécheresse ne concerne pas seulement la peau visible de l’extérieur. Elle concerne aussi les muqueuses internes (muqueuse vaginale, bouche ou nez notamment) et les yeux.

La peau et les muqueuses sont constituées de cellules qui ont la même origine. La peau possède plus de kératine lui donnant un aspect plus résistant.

Le stress, la pollution, le froid ou le soleil, l’eau dure et calcaire, l’excès d’hygiène avec des savons ou cosmétiques inadaptés, les traitements médicaux, les troubles hormonaux, le manque de sommeil, l’alimentation déséquilibrée, le café, tabac ou alcool sont autant de facteurs délétères contre lesquels il est bon de lutter.

Les symptômes, tels tiraillement, rougeur, brûlure, irritation, démangeaison, bouton ou inflammation doivent être pris en compte comme signaux d’alarme.

La peau est le reflet de notre santé et de nos émotions, elle ne triche jamais :

si nous sommes fatigués, la peau aussi

si nous sommes intoxiqués, la peau aussi

si nous sommes déshydratés, la peau aussi

si nous sommes tristes, la peau aussi…

Quels sont les fonctions de la peau ?

La peau est un organe vital qui possède de nombreuses fonctions :

  • protection contre les agresseurs
  • échange pour maintenir la température du corps
  • métabolique avec la synthèse de vitamine D
  • réservoir d’énergie avec le tissu adipeux
  • sensorielle très perfectionnée avec le toucher pour s’adapter au monde extérieur (température, pression, protection ou douleur)
  • communication avec le cerveau
  • contact avec l’extérieur et c’est elle que nous montrons aux autres

De quoi a besoin la peau ?

La peau a des besoins essentiels dont :

  • une bonne hydratation et du sommeil pour sa régénération
  • des acides gras
  • des antioxydants
  • des vitamines B
  • de l’oxygène

Quelles sont les solutions naturelles?

  • Tout d’abord faire un bilan alimentaire et rectifier les carences éventuelles
  • Gérer le stress et rétablir un bon sommeil
  • Faire un bilan Oligoscan pour combler les carences et soutenir le terrain
  • Apporter des oméga 3, 6, 7 et 9 en interne
  • Apporter des compléments naturels à base d’oméga 7 en externe pour lutter contre la sécheresse vaginale, cutanée ou visuelle
  • Apporter des antioxydants
  • Faire une cure d’oxygène grâce au bol d’air Jacquier
  • Faire des drainages lymphatiques du visage pour relancer la détoxication et la nutrition cellulaire
  • Apprendre les bons gestes pour sa peau, ses muqueuses ou ses yeux (à personnaliser au cabinet grâce à des soins ou exercices spécifiques)

Je vous souhaite une bonne santé en ce début d’automne

Pour accompagner la rentrée et l’automne à venir, je vous propose 3 conseils santé à personnaliser. Tout d’abord, je vous rappelle l’utilisation et les bienfaits de l’Aloé Véra et de la Sève de Bouleau. Je les préfère non transformés, à l’état brut, telle que la nature nous les propose.

Très réputé, l’aloé véra a une action complète sur la digestion avec une activité enzymatique, immunitaire, régulatrice de l’équilibre acido basique, cicatrisante et régénérante. Il calme les inflammations et diminue les putréfactions et parasites de l’intestin.

Il est riche essentiellement en eau mais possède de nombreux actifs tels les enzymes, vitamines, acides aminés et minéraux avec aussi des mucilages pour améliorer le transit lent, éliminer les toxines et soutenir également les irritations de l’estomac.

En résumé, il est bon pour toutes les muqueuses digestives avec un double aspect de nettoyage et régénération.

Comment faire ?

Pour profiter de la synergie totale de la plante, on peut mixer directement un cube de pulpe de feuille d’aloé véra fraîche dans un smoothie maison. Les feuilles sont vendues couramment dans les magasins biologiques et se conservent 15 jours au réfrigérateur.

L’aloé véra s’emploie très facilement en externe sur la peau pour le même effet cicatrisant et régénérant. Sur le visage, on peut ajouter une huile végétale afin de limiter l’effet tenseur de l’aloé.

Attention, en raison de la présence d’anthraquinone située au niveau de la feuille, on l’évite en cas de diarrhée, de règles, chez le jeune enfant et les femmes enceintes. Ce sont des molécules extrêmement laxatives et potentiellement irritantes. On peut les dissoudre en faisant tremper 20 mn des tronçons de feuilles avec la peau dans de l’eau avant de les utiliser.

Sinon, on opte pour un complément alimentaire biologique de qualité (me consulter).

On peut l’utiliser 10 jours par mois à l’automne.

Autre cure intéressante : la sève de bouleau

Pour rappel : la cure est bénéfique à l’automne car enrichie de bourgeons pour préparer l’hiver avec des vertus sur l’immunité, le tonus, les articulations, la reminéralisation et surtout la détoxication douce avec nettoyage des émonctoires.

Avec mon code thérapeute : CO 00283 vous bénéficiez d’un tarif unique : 58 € au lieu de 62 €

Le petit plaisir au quotidien

Enfin, s’offrir chaque jour un petit plaisir va augmenter notre longévité !

C’est un moment à nous où l’on déconnecte avec le rythme du quotidien. Pourquoi pas chanter, danser, écouter un belle musique, se faire masser, profiter du plein air, passer un moment sur une terrasse de café…

Le bienfait de la sève de bouleau, de l’aloé véra et d’un petit bonheur quotidien nous accompagnent pour une rentrée tout en douceur.

Bonne santé à vous !

Bonjour à tous,

Le sommeil est une préoccupation majeure qui fait l’objet d’un grand nombre de consultations. Les troubles du sommeil génèrent des effets secondaires sur la santé au niveau immunitaire, nerveux et digestifs en particulier, avec un dérèglement de l’horloge biologique. Les troubles du sommeil favorisent l’obésité et l’appétit d’aliments gras et sucrés en dérégulant la ghréline, hormone de la satiété d’où le célèbre adage « qui dort, dîne ».

Le stress, avec un mental continuellement actif, les pensées négatives, les excitants (alcool, café, tabac, soda surtout à partir de 14h), les douleurs, les médicaments, les diurétiques, les carences minérales, les chocs (deuils, traumatismes…) peuvent altérer la qualité du sommeil.

Là encore, le rôle de l’instestin et du microbiote est central et doit être pris en charge pour retrouver un sommeil serein.

Rôles du sommeil :

  • Nettoyage des émonctoires (foie – reins – poumons – intestins)
  • Régénération tissulaire
  • Croissance des tissus (surtout pour les enfants)
  • Recharge nerveuse et glandulaire
  • Régénération

Voici les solutions que j’ai pu expérimenter avec succès pour améliorer et rétablir le sommeil :

  • Tout d’abord, vous pouvez prendre le temps de faire un tableau de bord sur 1 semaine : noter sur 24h l’heure du coucher et lever, les réveils nocturnes, les heures de fatigue, les baillements pour définir une heure de coucher physiologique
  • Mettre en place une alimentation de type chrono-nutrition pour équilibrer l’horloge biologique avec un soir par semaine de mono diète de pommes crus ou cuites.
  • En cas de retard de phase (si on se couche trop tard) : avancer l’heure du coucher par tranche de 15 mn progressivement, faire une activité physique le matin (si possible en plein air) ou une séance de luminothérapie, se lever toujours à la même et pas trop tard, y compris le we, éviter la grasse matinée, prendre un complément nutrionnel vers 22h30 pour favoriser l’endormissement.
  • En cas d’avance de phase (si on se réveille trop tôt) : ne pas se coucher trop tôt => décaler par tranche de 15 mn, favoriser les activités physiques le soir, la lumière blanche le soir ou luminothérapie avec appareils PSIO
  • On régule les neurotransmetteurs dont la sérotonine et mélatonine
  • On pratique régulièrement une activité physiquepour éliminer les tensions nerveuses
  • L’homéopathie à personnaliser et à faire valider par un pharmacien spélialisé ou médecin homéopathe
  • Favoriser les rituels : On écrit sur un papier les pensées parasites ou situation de stress pour s’en débarrasser On respire : on inspire et expire en rythme avec une petite rétention à poumons pleins. Ou on pratique la cohérence cardiaque ou la méditation On utilise le Dodow : c’est un accéssoire qui diffuse des pulsations lumineuses au plafond afin de synchroniser sa respiration en ralentissant le rythme. Au bout d’un certaintemps, l’appareil s’éteint automatiquement. Il peut aussi être utiliser par les enfants (mydodow.com) On évite strictement les écrans d’ordinateur ou de téléphone portable On évite les activités qui stimulent le mental (travail, appel téléphonique stressant…) ou une activité sportive intense On évite de boire trop d’eau ou de tisane au coucher
  • En cas de sevrage : il existe des solutions naturelles à mettre en place progressivement avec l’accord médical. Mais jamais en même temps qu’un somnifère !
  • En cas de troubles passagers de sommeil : on utilise les bourgeons de plantes (tilleul, aubépine…), les plantes (houblon, passiflore, valériane, coquelicot, escholtzia…), les minéraux (magnésium, lithium…) les huiles essentielles (lavande, camomille…) et les fleurs de Bach
  • La mélatonine: très utile pour resynchroniser l’horloge biologique ou en courte période pour relancer le sommeil selon les cas
  • La température de la pièce : 18° pour faire baisser la température corporelle mais attention : les pieds et mains doivent être au chaud…

Mes outils spécifiques au cabinet pour retrouver un bon sommeil :

  • La cohérence cardiaque
  • Le physioscan : avec son protocole sommeil spécifique en 3 séances
  • L’Oligoscan : pour adapter la micro-nutrition
  • L’application de la chronobiologie

Les causes étant multiples, toutes ses solutions sont à personnaliser et ne se substituent pas à l’avis médical.

Bonne santé à tous,

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe, Iridologue

06 65 70 94 89

C’est la rentrée pour une grande majorité d’entre nous et aussi l’occasion de mettre en place ou retrouver nos bonnes habitudes.

Les vacances sont parfois l’occasion d’excès (plus d’alcool, de sucre, de barbecue…) et pour effacer les quelques excès de l’été, il existe un moyen simple que nos grands-mères connaissaient bien : les lavements.

Les avantages sont nombreux au niveau intestinal avec un effet favorable sur le péristaltisme, le transit et le drainage des toxines et résidus persistants dans le colon. Les idées sont claires et l’esprit libéré en même temps que le ventre. Les lavements sont très intéressants également en début d’infection, avant un jeûne ou période de détox ou une hospitalisation par exemple.

Comment faire un lavement?

Ils se pratiquent à l’aide d’une poche à lavement dans laquelle on met 1 à 2 litres d’eau tiède diffusée dans le rectum grâce à une canule. L’eau doit être proche de la température du corps soit environ 37° (l’eau du robinet est adaptée).

On peut la choisir un peu plus fraîche en cas de chaleur et d’inflammation ou plus chaude en cas de spasme intestinal ou frilosité.

On peut ajouter en option : des plantes (tisane de mauve, camomille …), du café vert (voir le protocole ci-dessous) ou de la chlorophylle (sous forme de jus d’herbe d’orge).

On place la poche remplie d’eau à 1 mètre du corps et on purge en ouvrant le robinet de la poche de façon à évacuer l’air contenu dans le tuyau.

On peut lubrifier la canule avant de l’introduire dans l’anus en position accroupie ou sur le côté droit.

Il est préférable d’accompagner le trajet de l’eau en massant le ventre dans le sens inverse des aiguilles d’une montre sur le trajet du colon.

L’évacuation naturelle entraîne les matières stagnantes et libère la partie terminale de l’intestin. Cette pratique est sans danger et peut être utilisée régulièrement en fonction des besoins ou pour une intention de détoxication.

Comment faire un lavement au café vert ?

C’est une pratique efficace qui a l’avantage de nettoyer, revitaliser et régénérer en profondeur l’organisme en accentuant le travail du foie et de la vésicule biliaire. Cette méthode est aussi connue dans le cadre de la pratique Gerson pour l’accompagnement des cancers entre autre.

On peut commencer par un lavement le dimanche et augmenter la fréquence en fonction des besoins.

Voici la recette du lavement au café vert :

  • faire bouillir 3 cuillères à soupe de café vert (disponible en magasin bio) pendant 3 minutes dans un litre d’eau et faire reposer 20 minutes ou plus
  • on filtre le café
  • on le met dans la poche à lavement pour réaliser le lavement à température du corps
  • la différence avec un lavement classique est de garder 10 à 12 minutes le liquide avant de l’expulser.

Au début, on aura des difficultés à le faire en raison des possibles crampes. Avec un peu d’habitude et malgré les crampes qui signalent le travail biliaire, on progresse dans le temps de rétention pour un meilleur bénéfice. La respiration peut accompagner la durée des crampes pour plus de confort.

Mon smoothie santé de la rentrée

Bien évidement, si l’on veut obtenir un meilleur bénéfice au niveau de la santé, on accompagne cette méthode hygiéniste par une alimentation équilibrée, saine et biologique durant quelques jours ou par une mono-diète d’un soir ou d’une journée complète pour reprendre la rentrée en pleine forme.

Voici un smoothie rapide à faire avec un blender :

1 feuille fraîche d’Aloé Véra

1 barquette de myrtilles fraîches ou surgelées

du lait végétal non sucré

  • Mettre dans le blender 2 cuillères à soupe de myrtilles, les recouvrir de lait végétal et ajouter un morceau de pulpe fraîche d’Aloé Véra (l’équivalent d’une cuillère à café)
  • Mixer le tout et consommer en dehors des repas, avant les repas ou seul au petit déjeuner.
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