Bonjour à tous,

J’ai le plaisir de vous annoncer la parution de mon livre « Trouver son rythme grâce à la naturopathie » aux éditions Jouvence le 16 septembre 2016.

Ce livre aborde le sujet de la chronobiologie et la chrono-nutrition à travers les dix techniques de naturopathie pour trouver des solutions à la désynchronisation de l’organisme.

L’horaire d’été, les rythmes professionnels et scolaires, le décalage horaire, nécessitent une adaptation permanente de nos rythmes intérieurs. Cette adaptation se fait grâce aux horloges biologiques reliées aux informations internes mais surtout aux éléments extérieurs comme la lumière, les saisons, la température ou le bruit.

Lorsque l’inadaptation se manifeste, des symptômes peuvent apparaître ou s’aggraver comme l’insomnie, le stress, la fatigue chronique ou la prise de poids.

Je vous propose des solutions simples et non toxiques, des méthodes naturelles pour retrouver une harmonie et un bien être au quotidien en fonction de votre âge et votre environnement.

Vous pouvez vous procurer le livre grâce aux sites habituels (Fnac, Amazon…) et sur le site de l’éditeur Jouvence

Je vous le propose également en cabinet dès à présent.

N’hésitez pas à me contacter pour tout renseignement complémentaire.

Bonne lecture et bonne rentrée !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridlologue

06 65 70 94 89

livre chronobiologie

Principes :

Il s’agit de consommer un seul aliment simple, pendant au moins 24 heures : légumes (verts, racines, pomme de terre), fruits frais sous toutes ses formes ou éventuellement fruits secs sucrés, céréales (riz ½ complet, quinoa, sarrasin…). Les légumes et les fruits seront cuits ou/et crus et/ou sous forme de jus ou potage, vapeur. Il est possible d’ajouter des aromates ou des épices sans ajout de calorie pour agrémenter les légumes.

La mono-diète humide ne contient que des jus de légumes, fruits ou herbes et la mono-diète sèche contient des aliments solides.

Ne pas dépasser 1 semaine ou 3 jours en cas d’activités soutenues. On peut aussi organiser les mono-diète plusieurs soirs par semaine.

La mono-diète doit être accompagnée d’une hydratation renforcée : eau de source, tisanes détoxifiantes des émonctoires (romarin, bardane, pissenlit, plantain, angélique, sureau…) et jus de citron frais le matin dans un verre d’eau tiède.

On peut diminuer la prise alimentaire avant la cure (arrêt des protéines, sucres et excitants) et reprendre une alimentation progressive après la cure.

Variantes :

Les obligations professionnelles et familiales sont souvent un obstacle à la réalisation d’une mono-diète sur plusieurs jours. Voici quelques adaptations pratiques :

  • La mono-diète alternée : à chaque repas, on change d’aliment. Exposant moins à un risque de carence en micronutriments, elle peut souvent être poursuivie une dizaine de jours tout en continuant de travailler.

  • La mono-diète du soir : chaque soir, le même aliment que l’on peut présenter de façon différente (cuit, cru). Ne pas poursuivre au delà d’une semaine.

  • La mono-diète du dimanche ou 1 jour sur 7 : mettre en place une mono-diète midi et soir uniquement 1 jour par semaine. Cette formule peut-être répétable à volonté.

Avantages :

Les vertus d’une telle pratique reposent sur l’idée que, lorsqu’on mange un seul et même aliment au cours d’un repas, on élimine, alors que si l’on mange peu mais en faisant des mélanges, on assimile. La mono-diète agit essentiellement grâce à la restriction alimentaire. L’auto-lyse (utilisation de ses tissus par les enzymes) sera donc plus ou moins importante selon la valeur nutritive de l’aliment choisi.

L’organisme ne trouve pas dans une mono-diète toute la variété des nutriments dont il a besoin, il est donc obligé de les puiser dans ses réserves ou de les synthétiser grâce à des chaînes métaboliques complexes et coûteuses en énergie. Les émonctoires sont alors sollicités.

On va éliminer les toxines endogènes (générées suite aux surcharges alimentaires) et les toxiques exogènes (pollutions, pesticides, additifs, métaux lourds…).

On trouvera une facilité à digérer, une économie d’énergie et donc une meilleure vitalité générale, une limitation de la production de toxines, un repos digestif plus long entre les repas et un pH stabilisé.

Pour qui ?

Les personnes fatiguées, en surpoids ou souffrant de troubles métaboliques chroniques : faiblesse immunitaire, migraines, douleurs, syndrome prémenstruel, troubles digestifs ou ORL…

Contre-indications :

  • enfants

  • femmes enceintes

  • diabétiques

Préparation :

On peut changer d’aliment en cours de cure.

Il n’y a pas de limite quantitative, en faisant cependant attention aux fibres (ballonnements), aux fruits crus (refroidissement, acidification, ballonnements) ou secs sucrés (excès de sucre). Moins l’aliment est nutritif, plus on puisera dans nos réserves rapidement.

Il faut choisir l’aliment en fonction de la nature des déchets à éliminer :

  • si les déchets sont colloïdaux (colles, mucus, sébum…) => choisir plutôt des fruits et légumes

  • si les déchets sont cristalloïdes (calculs, acides, douleurs…) => si le tempérament est sanguin alors choisir des légumes ou fruits (crus, cuits, jus), sinon, préférer les céréales, pommes de terre, bananes.

On prépare sa mono-diète en diminuant les 2 à 3 jours précédents la prise alimentaire en protéine animale, excitants (café, sodas, alcool, tabac) et produits laitiers. On va favoriser les céréales demi-complètes si possible sans gluten (riz, quinoa, millet, sarrasin, maïs), fruits et légumes frais, les protéines végétales (tofu, oléagineux, graines germées, légumineuses, algues…) et huiles de 1ère pression à froid riches en oméga 3 (colza, noix).

On peut faire une cure de téguments de psyllium blond pour améliorer le transit selon le cas et nettoyer les intestins.

On doit augmenter l’hydratation entre les repas pour favoriser l’action drainante : eau de source, tisanes digestives et drainantes.

Les activités conseillées : activités physiques douces pour la stimulation émonctorielle et le contact avec la nature.

Selon les saisons :

  1. L’ETE :

Cure d’ananas (ou papaye qui contient des propriétés équivalentes) : 1 soir par semaine chez les tempéraments nerveux et frileux, et 1 à 3 jours par semaine chez le tempéraments sanguins.

  • indications : digestions des protéines, diurétique, arthritique, goutte, lithiase, putrescences intestinales

  • contre indications : aphtes, irritations digestives

  • comment procéder : prendre ½ ou 1 fruit cru bien mûr par repas + HE de vanille + graines de cardamome ou anis vert en poudre par exemple

  1. JUILLET/AOUT

Cure de pêche : de 1 à 6 jours

  • indications : diurétique, draineur intestinal doux, purifiant sanguin

  • contre indications : si colite

  • comment procéder : alterner les pêches en compote peu cuite, crue bien mûre ou en jus entre 2 à 4 kg/jour

  1. AOUT A OCTOBRE

Cure de myrtilles : 24 à 36 h en mono-diète et/ou 3 à 12 semaines en cure supplétive (tisane et jus)

  • indications : antiseptique des voies urinaires et intestinales, bactéricide, hypoglycémiant, tonique de la vision

  • contre indications : aucune

  • comment procéder : 5 prises par jour jusqu’à 1 kg

  1. SEPTEMBRE/OCTOBRE

Cure de raisin : 24 h/semaine durant 3 semaines ou en supplétif 2 à 6 semaines (1 grappe vers 11h et 18h) ou 1 à 3 kg/jour pendant 1 journée à 2 semaines maximum

  • Indications : tous les émonctoires sont sollicités : le teint s’éclaircit, la peau s’assainit, le drainage rénal et hépatique est profond, les intestins soulagés des fermentations…Rajeunissement physiologique et psychologique.

  • Contre indication : diabète insulinodépendant

  • Comment procéder : on choisit le raisin biologique et on avale la peau et quelques pépins bien mastiqués environ toutes les 2h en cure complète

  1. AUTOMNE

Cure de cassis : 1 repas ou 1 journée (1 semaine maximum)

  • Indications : drainage des déchets, tonus, circulation, anti-inflammatoire, diarrhées, goutte, prostate

  • Contre indications : personnes frileuses et acidifiées

  • Comment procéder : fruits crus + feuille de menthe, vin de cassis, tisane de feuilles de cassis

Cure de légumes racines : carottes, betteraves, céleri-rave : crus, râpés, jus ou cuit vapeur

  • Indications : ancrage et drainant

  1. OCTOBRE A MARS

Cure de bananes : 1 jour/semaine ou 2 jours tous les 10 jours

  • Indications : alcalinisant, réchauffant, pansement intestinal

  • Contre indications : si diabète ou excès de potassium dans le sang

  • Comment procéder : fruit cru bien mûr et écraser parfaitement à la fourchette + épices

  1. HIVER

Cure de céréales sans gluten : sarrasin, quinoa, riz ½ complet, millet ou féculents patate douce, pomme de terre (cicatrisant des muqueuses) + aromates

  • Indications : réchauffant (pour les frileux), énergisant, régénérant et drainant

  • Comment procéder : faire cuire sans ajout de matière grasse mais avec des épices (curcuma, curry) ou des herbes aromatiques (basilic, persil, ciboulette, coriandre)

Cure de pommes non acides : en compote sans sucre ajouté, jus, crues à volonté

  • Indications : en cas dysfonctionnement hépatique et intestinal. Elle contient également de la pectine qui chélate les métaux lourds et des acides anticholestérolémiant.

  • Comment procéder : très pratique, elle se consomme crue avec la peau, cuite ou en jus biologique. Elle se marie bien avec la cannelle ou la cardamome

Cure de soupe de légumes : réchauffant et drainant

  • Indications : mixées ou non mais sans pomme de terre ni tomate

  1. DEBUT DU PRINTEMPS

Cure de sève de bouleau : 21 jours 2 à 3 verres hors des repas : chez Vegetal Water (code pour le port gratuit : CO00283)

  • Indications : fortifie, régénère et draine les toxines (minceur)

  • Contre indications : aucune

Cure de jus de légumes et d’herbes : légumes nouveaux de saison à l’extracteur avec herbes aromatiques ou sauvages

  • Indications : vitalisant, purifiant, détoxifiant

  • Comment procéder : 1 journée par semaine ou 3 jours maximum faire des jus à volonté en diminuant la prise alimentaire les 2 jours précédents (protéines, excitants, sucres rapides ou raffinés, produits industriels)

Cure de légumes : crus, cuits ou lactofermentés à volonté 1 journée par semaine ou 3 jours d’affilés

  1. FIN DE PRINTEMPS

Cure de cerises : 1 à 6 jours ou 1 seul repas pendant 1 semaine

  • indications : diurétique, détoxiquant, minéralisant, tonique nerveux, amincissant, nettoyage du foie, lithiases, articulations douloureuses et estomac

  • contre indication : colite, allergie au pollen et au bouleau

  • comment procéder : éviter les cerises aigres ou acides et ne pas dépasser 3kg/jour

  1. TOUTE L’ANNEE (1 à 2 fois)

Cure de propolis (Pollenergie : code de réduction 94GC01) et eau Hydroxydase (magasins bio ou pharmacie, sauf en cas d’hypertension)

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Voici un texte poétique anonyme qui nous renvoie à des vérités simples et à une prise de conscience sur le bonheur et le temps présent, seule période sur laquelle nous pouvons agir et dont nous pouvons profiter pleinement.

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s’être marié, après avoir eu un enfant, et ensuit après en avoir eu un autre…

Plus tard, on se sent frustré, parce qu nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l’on sera mieux quand ils le seront. On est alors convaincu que l’on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.

On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pou notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture, ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand ce sera la retraite…

La vérité est qu’il n’y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent.

Si ce n’est pas maintenant, quand serait-ce ?

La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer.

Il est préférable de l’admettre et de décider d’être heureux maintenant qu’il est encore temps.

Pendant longtemps, j’ai pensé que ma vie allait enfin commencer.

La Vraie Vie ! Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu’il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors la vie allait commencer !!!

Jusqu’à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie. Cette perspective m’a aidé à comprendre qu’il n’y a pas un chemin qui mène au bonheur. Le bonheur est le chemin.

Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore :

Quand on partage ce moment avec quelqu’un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et que l’on se rappelle que le temps n’attend pas.

Alors, il faut arrêter d’attendre de terminer ses études, d’augmenter son salaire, de se marier, d’avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l’été, l’automne ou l’hiver, pour décider qu’il n’y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

Le bonheur est une trajectoire et non pas une destination !

Il n’en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d’apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l’un des meilleurs moments de sa vie.

Je vous souhaite un très bel été !

Corinne Allioux Godlfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

C’est la saison chaude de l’année et il faut en profiter pour se détoxiquer (des pollutions extérieures) et se détoxiner (des pollutions intérieures). Je vous propose quelques conseils à mettre en place pour profiter pleinement des vacances et se recharger avant la rentrée.

Les pollutions extérieures :

  • supprimer tout déodorant
  • diminuer le tabac
  • profiter de la lumière naturelle et du soleil aux heures conseillées : avant 11h et après 16h selon l’ensoleillement
  • éviter l’excès de maquillage, parfum, coloration pour les cheveux…
  • diminuer le téléphone portable, les tablettes, le wifi, l’ordinateur, la TV, micro-ondes et les ondes électromagnétiques en général

Les pollutions intérieures :

  • boire 1,5 litre d’eau de source
  • faire une mono-diète 1 jour par semaine (ne manger qu’un seul aliment du matin au soir : fruit ou légume)
  • faire une cure de sève de bouleau : chez Végétal Water (mon code pour les réductions = CO 00283)
  • faire une cure de jus frais de légumes
  • supprimer le sucre en dehors des fruits, fruits secs et chocolat 80%
  • diminuer le café, l’alcool, les sodas
  • faire des cure de psyllium blond pour nettoyer le côlon
  • prendre le temps de faire les repas à partir de produits de saison
  • respirer profondément (inspiration et expiration longue) pour éliminer les déchets acides
  • faire des exercices physique pour transpirer : jogging, vélo, randonnées…
  • faire du hammam, sauna ou sauna infra-rouge
  • faire des massages drainants ou lymphatiques
  • marcher pieds nus sur le sable, dans la mer et dans la rosée du matin

Autres conseils :

  • faire la sieste plutôt que la grasse matinée
  • se reconnecter avec ses rythmes naturels (sommeil, appétit…)
  • soutenir la circulation veineuse et lymphatique : massage aux huiles essentielles (menthe poivrée, cyprès de Provence, lentisque pistachier, hélichryse italienne…) + huile végétale (calophylle), tisanes circulatoires, cure de plantes circulatoires (vigne rouge, cassis, hamamélis, fragon, marc de raisin, marronnier d’inde…)
  • consommer des antioxydants : fruits et légumes, baies fraîches ou sèches (goji, myrtilles, cassis…), graines germées, thé vert
  • profiter des autres, de la vie et de l’amour !

Je vous souhaite un bel été !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Le noni est le fruit d’un arbrisseau (Morinda citrifolia) qui pousse dans les îles au climat tropical du Pacifique sud. Mûr, il possède une odeur forte et désagréable mais elle disparaît pour les jus du commerce ou les compléments alimentaires. Les polynésiens l’utilisent de façon ancestrale en interne ou en externe pour soigner les blessures.

Le noni contient plus de 140 molécules identifiables : vitamines, enzymes, antioxydants, oligoéléments, acides aminés, flavonoïdes et minéraux mais aussi une molécule précieuse : la proxéronine (une pro-enzyme). Cette molécule se transforme en xéronine par notre organisme et favorise un certain nombre de processus favorables à la santé : elle facilite notamment l’absorption des micronutriments à travers la muqueuse intestinale, améliore le fonctionnement des protéines et stimule les défenses immunitaires.

Le biochimiste Heinicke a montré que le noni contient 800 fois plus d’enzymes que l’ananas (utilisé pour la bromélaïne) !

Pour qui ?

  • les sportifs afin d’améliorer l’assimilation des nutriments dans les cellules
  • les personnes présentant des troubles de l’assimilation intestinale
  • les personnes dénutries ou carencées
  • les végétariens
  • les personnes à faible immunité
  • les fumeurs en raison des radicaux libres

Pour quoi ?

  • les carences en potassium
  • les pathologies inflammatoires aiguës ou chroniques
  • les processus infectieux, bactériens, virales, parasitaires, fongiques
  • les régimes amaigrissants
  • les troubles menstruels
  • les rhumatismes et l’arthrite
  • la régénération cellulaire
  • le bien être général pour ses vertus détoxifiantes et tonifiantes

La posologie :

1 verre par jour pour les jus biologiques du commerce

Je fais confiance au Jus de Noni biologique chez Herbolistique qui vient de Tahiti et possède l’agrément européen (Novel Food) : 1 à 3 bouchons dans un verre d’eau avant chaque repas ou 3 bouchons dans 1 litre d’eau à boire dans la journée => à conserver au frais

Contre-indication

En cas de traitement par diurétique économiseur de potassium

Je vous souhaite un bel été et de bonnes vacances

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

Les infections urinaires arrivent parfois de façon isolée mais le cercle vicieux de la chronicité peut vite s’instaurer et les rechutes sont fréquentes. La raison est très souvent due à la prise d’antibiotique récidivante qui entraîne un déséquilibre de la flore intestinale. Les bactéries migrent dans d’autres régions du corps, dont la vessie. L’inflammation se traduit alors par une cystite. L’été est une saison propice aux infections urinaires en raison de la chaleur ou de l’humidité (plage, piscine, transpiration…). La complication est sérieuse avec un risque de pyélonéphrite aiguë (infection du rein et son bassinet).

Je vais vous proposer des solutions naturelles agissant également sur les causes. A titre préventif, il est important de maintenir les conseils une semaine par mois pour maintenir les acquis jusqu’à amélioration définitive.

Il est toutefois nécessaire de consulter son médecin si les symptômes et l’état général s’aggravent

Quels sont les symptômes ?

  • La présence de bactéries pathogènes (Escherichia Coli le plus souvent) dans les urines génère une inflammation de la vessie

  • Les mictions sont fréquentes avec une envie persistante d’uriner

  • La miction est douloureuse avec une sensation de brûlure même pour une faible quantité

  • Les urines peuvent être purulentes, troubles et malodorantes

  • Il y a une douleur et une pesanteur au niveau du bas-ventre

  • On peut observer parfois la présence de sang dans les urines ou une incontinence urinaire

  • Dans les cas graves : on observe des douleurs lombaires, de la fièvre ou des vomissements

Quelles sont les causes ?

C’est une pathologie plus fréquente chez les femmes pour une raison anatomique (proximité de l’urètre et de l’anus)

  • Trop d’hygiène locale
  • Relations sexuelles
  • Insuffisance de boisson
  • Manque d’évacuation de l’urine (on se retient)
  • Déséquilibre de la flore et prise d’antibiotique
  • Constipation ou trouble du transit
  • Acidose
  • Bains prolongés
  • Ménopause
  • Tampons ou serviettes hygiéniques
  • Peur (émotion rattachée au rein et à la vessie) => peur de ne pas être à la hauteur, peur d’un chef ou parent tyrannique…
  • Notion de territoire (l’animal va uriner pour marquer son territoire), on cherche sa place

Quelles sont les solutions ?

  1. Tout d’abord, il faut agir au niveau alimentaire :
  • Mettre en place une alimentation Anti Acidose (riche en légumes cuits, fruits doux, céréales complètes et laits végétaux) et consommer des aliments biologiques dès que possible
  • Consommer des jus frais : baies (canneberge, myrtilles) et légumes 80% + fruits non acides 20% (pommes, poires…)
  • Consommer du cru (si tolérance intestinale) pour les fibres et favoriser le transit

Éviter : café, soda, tomate, fruits acides, vinaigre, asperge, vin blanc, champagne, sucreries, viandes issues d’élevages intensifs (pour la charge d’antibiotiques)

Éviter : gluten, sucre et produits laitiers animaux en crise

  1. Boire de l’eau entre les repas peu minéralisée régulièrement avec ½ litre toutes les ½ heures dès les premiers signes. On peut aussi faire une cure de Sève de Bouleau.
  2. Boire des jus de canneberge sans sucre
  3. Éviter la constipation avec les téguments de psyllium blond : entre 1 et 3 cuillères à soupe par jour
  4. Agir sur la flore en 3 étapes : purifier, désenflammer et ré-ensemenser grâce aux probiotiques
  5. Utiliser des antibiotiques naturels : huiles essentielles, extrait de pépins de pamplemousse, propolis. Les massages aux huiles essentielles sur le bas-ventre fonctionnent également très bien.
  6. Consommer du pollen frais de ciste le matin au petit déjeuner
  7. Prendre des plantes à tropisme urinaires comme la bruyère et la busserole et des plantes anti-acide sous forme de tisane
  8. Faire appel à l’homéopathie auprès de votre pharmacien
  9. Agir sur les causes citées plus haut

Mes autres conseils :

  • Éviter les pantalons serrés et les sous-vêtements synthétiques propices au développement des bactéries
  • Éviter l’exercice Physique en cas de crise
  • Avant et après l’amour : boire un verre d’eau et procéder à une toilette intime rapide avec un savon doux non décapant. Éviter : gel douche, lingette parfumée, bains moussants, déodorants, douches vaginales
  • S’essuyer d’avant en arrière (surtout pour les petites filles)
  • Éviter les tampons lors des menstruations et préférer les coupes menstruelles naturelles ou serviettes hygiéniques biologiques
  • Ne pas se retenir d’uriner
  • Vérifier éventuellement le pH urinaire à l’aide de bandelettes (entre 16 et 21h)
  • Consulter un ostéopathe pour vérifier la mobilité du bassin
  • Pratiquer quelques respirations par le ventre
  • Boire de l’eau => 1,5 litre en dehors des repas : 8h ; 11h ; 17h ; 20h (ne pas boire toute la journée)

N’hésitez pas à me contacter pour toute information si besoin

Je vous souhaite de très belles vacances !!

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe, Iridologue

06 65 70 94 89

On y pense pas, mais le tapioca a toute sa place dans notre cuisine pour notre santé.

Il s’agit d’une fécule extraite des racines du manioc légèrement gélatineuse. Son nom vient de « tipi’oka » qui signifie tout simplement : racine de manioc. On l’appelle aussi « perles du Japon ».

Il est couramment utilisé en Chine, au Vietnam et au Brésil.

Le tapioca possède de nombreuses vertus :

  • il est très digeste car il possède principalement de l’amidon pour l’énergie
  • il est sans gluten
  • il est sans matière grasse
  • il donne un effet de satiété
  • il se cuisine très rapidement
  • il est très bon marché
  • il sert à toute la famille y compris le bébé
  • il peut être utilisé en version salée ou sucrée
  • très peu de quantité suffit
  • son goût est neutre et il s’adapte à toutes les préparations

Comment l’utiliser ?

On l’utilise rarement seul mais sa première utilisation est d’épaissir une soupe de légumes, une sauce ou un dessert.

Il suffit de faire bouillir un liquide : lait, lait végétal, eau, soupe, bouillon…et d’ajouter 2 cuillères à soupe de tapioca

On va cuire ensuite à feu doux en remuant jusqu’à ce qu’il devienne translucide, soit environ 10 minutes

Pour le bébé, on peut ajouter un peu de tapioca à partir de 6 mois dans une purée de légumes, une compote maison ou une bouillie.

On peut aussi l’ajouter cuit dans un smoothie et personnaliser toutes les versions possibles : fruits frais + lait végétal + tapioca cuit

Recette adaptée du site « Marmiton » pour tous !

Tapioca au lait de coco d’Elodie

Pour 2 personnes

  • 35 grammes de tapioca
  • 20 cl de lait de coco + 10 cl d’eau pure
  • 1 cuillère à soupe de noix de coco râpée
  • 15 grammes de raisins secs pré-trempés dans 1 cuillère à soupe de rhum ou d’eau
  • 1 cuillère à soupe de sucre de canne complet
  • 1 cuillère à café de vanille en poudre
  1. Portez à ébullition le lait et l’eau
  2. Ajoutez le tapioca et la noix de coco râpée
  3. Cuire en remuant à feu doux 10 à 15 minutes
  4. Incorporer le sucre, la vanille et les raisins secs en fin de cuisson
  5. Laissez refroidir
  6. Présentez dans des verrines ou ramequins
  7. Placez au réfrigérateur au moins 2h

On peut personnaliser cette recette avec des fruits oléagineux râpés, du zeste biologique de citron ou d’orange, du jus de citron ou du chocolat râpé.

Bon appétit !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

tapioca Corinne Goldfarbe

Qu’est ce que c’est ?

Les élixirs floraux permettent un accompagnement dans la découverte de soi en équilibrant les aspects émotionnels qui font obstacle à la guérison. On va pouvoir ainsi réduire la charge émotionnelle qui entoure un événement afin d’agir sur l’être global que nous sommes. C’est le Docteur Edward Bach qui a mis au point cette méthode entre 1929 et 1936. Les élixirs floraux sont proches des remèdes homéopathiques et sont basés sur le principe de la résonance énergétique et du transfert d’information. A partir des quatre émotions fondamentales (peur, colère, tristesse, joie), on va rééquilibrer 38 états émotionnels suivant les circonstances, les événements ou les étapes de vie. Il existe 7 groupes :

  • Peur

  • Incertitude

  • Manque d’intérêt pour le présent

  • Solitude

  • Hypersensibilité aux influences et aux idées

  • Abattement et désespoir

  • Souci excessif d’autrui

J’ai découvert la grande qualité du laboratoire DEVA créé en 1986. La rigueur, l’étique et le respect de la méthode originelle du Dr Bach permettent une élaboration d’un produit hautement vibratoire.

Les fleurs sauvages et préservées sont cueillies à la main à l’aide d’un cristal en respect total de la fleur. La macération se fait au soleil et les matières premières sont de qualités biologiques. Les fleurs sont françaises et cueillies dans le Vercors et les Alpes au cœur de la nature.

Outre les 38 élixirs du Dr Bach, DEVA offre 15 composés floraux pour nous accompagner dans toutes les circonstances difficiles ou dans toutes les grandes étapes de la vie. Ils sont simples d’utilisation pour commencer. Ils se nomment :

  • Assistance

  • Nuits paisibles

  • Détente corporelle

  • Protection

  • Vie affective et sexualité

  • Désaccoutumance

  • Ressourcement

  • Études et examens

  • Unité familiale

  • Grossesse

  • Petite enfance

  • Adolescence

  • maturité

  • Évolution

  • Courage

On peut associer à ces composés un élixir essentiel élaborés à partir d’huiles essentielles à respirer ou à utiliser en cutané à l’intérieur des poignets ou sur le plexus solaire.

Le Rescue ou le composé Assistance sont à avoir sur soi pour se protéger face au stress, à une crise ou à un choc. On les utilise en urgence et ponctuellement.

La gamme présente aussi 96 élixirs floraux contemporains pour affiner les émotions. Le thérapeute peut composer un mélange « sur mesure » en fonction de la problématique émotionnelle de chacun. Tout l’intérêt est de cibler la fleur efficace.

Comment choisir les Fleurs ?

C’est le thérapeute qui accompagne dans cette démarche. Il existe aussi des questionnaires de Fleurs de Bach. Enfin, certaines phrases clés font résonance :

« J’ai peur de perdre le contrôle ou la raison » (Cherry Plum)

« J’ai toujours tendance à imaginer le pire pour les autres, je surprotège ma famille » (Red Chesnut)

« J’ai du mal à prendre une décision, j’hésite toujours entre deux choix » (Scléranthus)

« Je me réfugie dans mon imagination, j’ai l’impression de ne pas être à ma place dans ce monde » (Clematis)

« Je suis au bout du rouleau, vidé, épuisé, je n’en peux plus » (Olive)

« Je cache mon anxiété sous un masque jovial, je minimise tout mes problèmes, ça va toujours bien » (Agrimony)

« Je suis sous le choc, je ne me remets pas de ce deuil des années après, je suis inconsolable » (Star of Bethlehem)

«Je suis ambitieux, tyrannique et je ne supporte pas d’être contredit » (Vine)

etc…

Les posologies :

Adulte, on utilise les fleurs de Bach pures, pendant 21 jours, à raison de 3 gouttes sous la langue à garder quelques minutes avant d’avaler 2 à 3 fois par jour.

Pour un adolescent : 3 gouttes 1 à 2 fois par jour

Pour un enfant de 3 à 10 ans : 3 gouttes 1 fois par jour

On trouve chez Déva des Fleurs de Bach sans alcool à base de sève d’érable.

Les contre-indications sont rares : femme enceinte, très jeune enfant, personne allergique ou en période de sevrage alcoolique (on pourra alors utiliser les Fleurs de Bach sans alcool) ou personne présentant des troubles psychologiques graves.

Je reste à votre écoute pour tout l’intérêt que vous portez ou porterez aux Fleurs de Bach.

Bonne santé et bel été !

 

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Qu’est ce que c’est ?

Il s’agit d’un système alimentaire développé par une australienne, Sue Shepard, il y a 10 ans. Cette alimentation est proposée en cas de troubles digestifs et intestinaux comme le colon irritable ou les déséquilibres de la flore intestinale avec des symptômes comme les ballonnements, gaz, spasmes ou douleurs.

Il s’agit donc de supprimer des aliments riches en glucides susceptibles de fermenter. La signification du mot FODMAPS aide à comprendre le principe :

F = fermentescible

O = oligosaccharides (fructanes)

D = disaccharides (lactose)

M = monosaccharides (fructose)

A = and

P = polyoles (sorbitol, mannitol, xylitol, maltitol)

Le principe :

Il faut procéder en plusieurs étapes réparties sur quelques mois :

  • Éviter tous les aliments riches en Fodmaps pendant 1 à 2 mois jusqu’à amélioration significative des symptômes gastro-intestinaux.
  • Tester les aliments en les réintroduisant groupe par groupe chaque semaine.

    Ex : 1ère semaine => on teste le fructose uniquement (fruits secs) à prendre à distance des repas pour en mesurer les effets. On note les effets ou l’absence d’effet et on progresse dans les tests de tous les groupes d’aliments concernés. On peut augmenter les doses de l’aliment choisi. On le teste 1 jour sur 2 ou 2 fois par semaine minimum.

    Si aucun problème n’apparaît, on peut alors consommer d’autres aliments du même groupe.

    Si un trouble apparaît, il faut attendre de nouveau la disparition des symptômes avant de le re-tester en petit quantité pour controle et de tester ensuite un autre groupe.

  • On réintroduit les aliments bien tolérés progressivement et à des doses raisonnables

Que faut-il supprimer ?

Fructose

Lactose

Fructanes

Oligosaccharides

Polyols

Fruits : pomme, mangue, melon d’eau, fruits en conserve dans leur jus Lait sous toutes ses formes : lait de vache, de chèvre, de brebis, crème, crème glacée, yaourt, petits suisses, fromages blancs, desserts lactés, poudre de lait, lait évaporé Légumes : artichaut, asperges, betterave, brocoli, chou de Bruxelles, choux, aubergine, fenouil, ail, poireau, tous les oignons, échalote, topinambour, petit pois Légumineuses : pois chiches, haricots rouges, lentilles, fèves, soja, mungo Fruits : pomme, poire, abricot, avocat, mûres, cassis, cerise, figues, litchi, nectarine, pêche, poire, prune, pruneau, melon d’eau
Édulcorants : fructose, sirop de maïs Fromage : à pâte molle non affiné (cottage, mascarpone, ricotta) Céréales : blé, orge, seigle et ses dérivés (pain, biscottes, pâtes, couscous, taboulé…) Légumes : choux fleurs, poivron vert, champignon, maïs sucré, pois, mange-tout
Fructose élevé : grosse portion de fruits, fruits secs, jus de fruits Fruits : melon d’eau, pomme, kakis Édulcorants : Sorbitol (E 420), mannitol (E 421), Isomalt (E 953), maltitol (E 965), Xylitol (E 967)
Autres : sirop de maïs, Fruisana, miel Autres : chicorée, pissenlit, inuline, chewing-gum, pistaches, ketchup Autres : gomme, menthe, sucette, dessert léger à base de lait

Que faut-il consommer ?

Fruits

Légumes

Céréales

Produits laitiers

Autres

Fruits : bananes, melon, canneberge, raisin kiwi, citron, pamplemousse, orange, mandarine, fruits de la passion, papaye, framboise, rhubarbe, anis étoilée, fraise Légumes : graines germées, carottes, céleri, endive, gingembre, haricots verts, laitue, olive, panais, pomme de terre, potiron, blettes, épinards, courges, patate douce, tomate, navet, courgette Céréales sans gluten : amarante, sarrasin, millet, petit-épeautre, riz, avoine, polenta de maïs, arrow-root, psyllium, quinoa, sorgho, tapioca et leurs dérivés (farine, flocons…) Lait : lait sans lactose, laits végétaux (tous) sans sucre ajouté Tofu, tofu lacto-fermenté, tempeh
Herbes aromatiques : toutes Huiles : olive Yaourt de soja ou végétaux Sucre (en petites quantités) : sucre de canne complet, glucose, stévia, sucre de fleurs de coco, sirop d’agave, sirop de riz, sirop d’érable, mélasse
Sorbet
Fromage : mozzarella, cheddar, brie, camembert

N’hésitez pas à me contacter pour toute information complémentaire

Bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Les addictions, les dépendances ou même une simple « mauvaise » habitude qui se répète, mettent l’organisme en danger.

Elles sont nombreuses : tabac, cannabis, alcool, grignotage, sucre, soda mais aussi les jeux ou jeux vidéo, le téléphone portable, les achats compulsifs, le sport excessif et les addictions sexuelles…

Qu’est ce que l’addiction ?

La dépendance se met en place au niveau de notre système nerveux central. L’équilibre des neuromédiateurs, véritables « langage du cerveau » est alors compromis. Ils sont activés en fonction des situations vécues, participent aux comportements humains. Ils participent aussi à nos pensées, nos souvenirs et notre compréhension.

Les neuromédiateurs sont des composés chimiques libérés par les neurones. En cas d’addiction, le circuit de la récompense va être prioritaire par libération de dopamine. La personne va rechercher ensuite toutes les sources (nourriture, tabac, jeux…) pour satisfaire ce désir et un cercle vicieux s’installe plus au moins intensément et rapidement. Ce désir excite en retour le système limbique (cerveau émotionnel) qui, grâce à des substances opioïdes, stimule les neurones. La transmission de l’influx nerveux induit un sentiment de contentement et de plaisir. Par exemple, le footing régulier va stimuler la dopamine en terme de plaisir et récompense. Si l’activité s’arrête, un manque s’installe comparable à celui de l’héroïne.

On parle des 5 phases de l’addiction :

  • l’induction : une substance ou un comportement est ressentis comme source de plaisir sensoriel : on se sent mieux

  • l’apprentissage : on intègre les effets désirables (bien être, euphorie…) et indésirables (céphalée, malaise)

  • la mise en place : on recommence l’expérience

  • la phase de lutte : on prend conscience de la dépendance et on cherche à retrouver « sa liberté », la nervosité aggrave le besoin d’être apaisé et le cercle vicieux est en place

  • l’acceptation ; on n’est plus en mesure d’éviter l’addiction, la peur du sevrage est importante

Comment s’arrêter ?

  • D’abord, il faut le décider soi-même et pour soi-même et non pour faire plaisir à l’entourage ou parce que c’est bon pour la santé. Il faut être conscient de son addiction

  • Il faut se faire aider par le corps médical ou par un ou plusieurs thérapeutes

  • Il faut mesurer son niveau de dépendance par des tests et questionnaires

  • Il faut définir l’origine de l’addiction. Il peut s’agir d’une dépression masquée ou d’un problème affectif par exemple

  • Il faut faire un bilan nutritionnel et toxique à l’aide de l’Oligoscan pour adapter au plus juste les besoins de l’organisme

Les moyens naturels pour aborder le sevrage :

  • La plupart du temps, le naturopathe va mettre en place une cure de détoxication pour aider l’organisme à éliminer les toxines et pour relancer le travail émonctoriel. Le foie et les reins (qui éliminent la nicotine) seront ensuite revitaliser pour optimiser leur travail fonctionnel.

  • On peut aussi s’occuper des métaux lourds selon l’importance du niveau d’intoxication

  • Un mode de vie sain sont la base d’un sevrage efficace pour la santé à travers les différentes techniques de naturopathie (respiration, exercices physiques, hydrologie, lumière…)

  • Il existent de nombreuses solutions, mais en matières de compléments alimentaires, on peut retenir le kudzu, qui est la plante des addictions, le griffonia pour calmer les compulsions alimentaires et le stress, les plantes calmantes (aubépine, passiflore), le magnésium, les oméga 3 et les antioxydants pour lutter contre les radicaux libres.

  • On va aussi, à l’aide de questionnaires, équilibrer les neuromédiateurs avec notamment le GABA et la Sérotonine.

  • Les Fleurs de Bach : il existe certains composés chez Déva spécifiques mais aussi Cherry Plum pour éviter de craquer, Agrimony (l’image du bon vivant qui reporte à plus tard), Holly en cas de colère contre soi et les autres, Clématis pour s’incarner dans la réalité et éviter l’isolation et les rêveries…

  • Les huiles essentielles en olfactothérapie : on peut respirer des huiles ou complexes d’huiles qui calment et associent un geste pour faire passer l’envie de replonger.

  • L’alimentation reste un pilier essentiel d’équilibre et la prise en charge du poids peut aussi être envisagée dans le cas du sevrage du tabac notamment.

  • Les alternatives : on peut avoir recours à des aides pour remplacer l’addiction par une alternative plus saine : faux cafés ou cafés non toxiques, bons sucres, e-cigarette…

  • Enfin, toutes les solutions d’aide de gestion du stress sont très efficace. Pour ma part, j’utilise avec succès le principe de la cohérence cardiaque.

  • Les autres techniques : elles sont nombreuses ! homéopathie, acupuncture, hypnose, sophrologie…

N’hésitez pas à poser toutes vos questions

Je suis à votre écoute : 06 65 70 94 89

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

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