Qu’est ce que c’est ?

Les élixirs floraux permettent un accompagnement dans la découverte de soi en équilibrant les aspects émotionnels qui font obstacle à la guérison. On va pouvoir ainsi réduire la charge émotionnelle qui entoure un événement afin d’agir sur l’être global que nous sommes. C’est le Docteur Edward Bach qui a mis au point cette méthode entre 1929 et 1936. Les élixirs floraux sont proches des remèdes homéopathiques et sont basés sur le principe de la résonance énergétique et du transfert d’information. A partir des quatre émotions fondamentales (peur, colère, tristesse, joie), on va rééquilibrer 38 états émotionnels suivant les circonstances, les événements ou les étapes de vie. Il existe 7 groupes :

  • Peur

  • Incertitude

  • Manque d’intérêt pour le présent

  • Solitude

  • Hypersensibilité aux influences et aux idées

  • Abattement et désespoir

  • Souci excessif d’autrui

J’ai découvert la grande qualité du laboratoire DEVA créé en 1986. La rigueur, l’étique et le respect de la méthode originelle du Dr Bach permettent une élaboration d’un produit hautement vibratoire.

Les fleurs sauvages et préservées sont cueillies à la main à l’aide d’un cristal en respect total de la fleur. La macération se fait au soleil et les matières premières sont de qualités biologiques. Les fleurs sont françaises et cueillies dans le Vercors et les Alpes au cœur de la nature.

Outre les 38 élixirs du Dr Bach, DEVA offre 15 composés floraux pour nous accompagner dans toutes les circonstances difficiles ou dans toutes les grandes étapes de la vie. Ils sont simples d’utilisation pour commencer. Ils se nomment :

  • Assistance

  • Nuits paisibles

  • Détente corporelle

  • Protection

  • Vie affective et sexualité

  • Désaccoutumance

  • Ressourcement

  • Études et examens

  • Unité familiale

  • Grossesse

  • Petite enfance

  • Adolescence

  • maturité

  • Évolution

  • Courage

On peut associer à ces composés un élixir essentiel élaborés à partir d’huiles essentielles à respirer ou à utiliser en cutané à l’intérieur des poignets ou sur le plexus solaire.

Le Rescue ou le composé Assistance sont à avoir sur soi pour se protéger face au stress, à une crise ou à un choc. On les utilise en urgence et ponctuellement.

La gamme présente aussi 96 élixirs floraux contemporains pour affiner les émotions. Le thérapeute peut composer un mélange « sur mesure » en fonction de la problématique émotionnelle de chacun. Tout l’intérêt est de cibler la fleur efficace.

Comment choisir les Fleurs ?

C’est le thérapeute qui accompagne dans cette démarche. Il existe aussi des questionnaires de Fleurs de Bach. Enfin, certaines phrases clés font résonance :

« J’ai peur de perdre le contrôle ou la raison » (Cherry Plum)

« J’ai toujours tendance à imaginer le pire pour les autres, je surprotège ma famille » (Red Chesnut)

« J’ai du mal à prendre une décision, j’hésite toujours entre deux choix » (Scléranthus)

« Je me réfugie dans mon imagination, j’ai l’impression de ne pas être à ma place dans ce monde » (Clematis)

« Je suis au bout du rouleau, vidé, épuisé, je n’en peux plus » (Olive)

« Je cache mon anxiété sous un masque jovial, je minimise tout mes problèmes, ça va toujours bien » (Agrimony)

« Je suis sous le choc, je ne me remets pas de ce deuil des années après, je suis inconsolable » (Star of Bethlehem)

«Je suis ambitieux, tyrannique et je ne supporte pas d’être contredit » (Vine)

etc…

Les posologies :

Adulte, on utilise les fleurs de Bach pures, pendant 21 jours, à raison de 3 gouttes sous la langue à garder quelques minutes avant d’avaler 2 à 3 fois par jour.

Pour un adolescent : 3 gouttes 1 à 2 fois par jour

Pour un enfant de 3 à 10 ans : 3 gouttes 1 fois par jour

On trouve chez Déva des Fleurs de Bach sans alcool à base de sève d’érable.

Les contre-indications sont rares : femme enceinte, très jeune enfant, personne allergique ou en période de sevrage alcoolique (on pourra alors utiliser les Fleurs de Bach sans alcool) ou personne présentant des troubles psychologiques graves.

Je reste à votre écoute pour tout l’intérêt que vous portez ou porterez aux Fleurs de Bach.

Bonne santé et bel été !

 

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Qu’est ce que c’est ?

Il s’agit d’un système alimentaire développé par une australienne, Sue Shepard, il y a 10 ans. Cette alimentation est proposée en cas de troubles digestifs et intestinaux comme le colon irritable ou les déséquilibres de la flore intestinale avec des symptômes comme les ballonnements, gaz, spasmes ou douleurs.

Il s’agit donc de supprimer des aliments riches en glucides susceptibles de fermenter. La signification du mot FODMAPS aide à comprendre le principe :

F = fermentescible

O = oligosaccharides (fructanes)

D = disaccharides (lactose)

M = monosaccharides (fructose)

A = and

P = polyoles (sorbitol, mannitol, xylitol, maltitol)

Le principe :

Il faut procéder en plusieurs étapes réparties sur quelques mois :

  • Éviter tous les aliments riches en Fodmaps pendant 1 à 2 mois jusqu’à amélioration significative des symptômes gastro-intestinaux.
  • Tester les aliments en les réintroduisant groupe par groupe chaque semaine.

    Ex : 1ère semaine => on teste le fructose uniquement (fruits secs) à prendre à distance des repas pour en mesurer les effets. On note les effets ou l’absence d’effet et on progresse dans les tests de tous les groupes d’aliments concernés. On peut augmenter les doses de l’aliment choisi. On le teste 1 jour sur 2 ou 2 fois par semaine minimum.

    Si aucun problème n’apparaît, on peut alors consommer d’autres aliments du même groupe.

    Si un trouble apparaît, il faut attendre de nouveau la disparition des symptômes avant de le re-tester en petit quantité pour controle et de tester ensuite un autre groupe.

  • On réintroduit les aliments bien tolérés progressivement et à des doses raisonnables

Que faut-il supprimer ?

Fructose

Lactose

Fructanes

Oligosaccharides

Polyols

Fruits : pomme, mangue, melon d’eau, fruits en conserve dans leur jus Lait sous toutes ses formes : lait de vache, de chèvre, de brebis, crème, crème glacée, yaourt, petits suisses, fromages blancs, desserts lactés, poudre de lait, lait évaporé Légumes : artichaut, asperges, betterave, brocoli, chou de Bruxelles, choux, aubergine, fenouil, ail, poireau, tous les oignons, échalote, topinambour, petit pois Légumineuses : pois chiches, haricots rouges, lentilles, fèves, soja, mungo Fruits : pomme, poire, abricot, avocat, mûres, cassis, cerise, figues, litchi, nectarine, pêche, poire, prune, pruneau, melon d’eau
Édulcorants : fructose, sirop de maïs Fromage : à pâte molle non affiné (cottage, mascarpone, ricotta) Céréales : blé, orge, seigle et ses dérivés (pain, biscottes, pâtes, couscous, taboulé…) Légumes : choux fleurs, poivron vert, champignon, maïs sucré, pois, mange-tout
Fructose élevé : grosse portion de fruits, fruits secs, jus de fruits Fruits : melon d’eau, pomme, kakis Édulcorants : Sorbitol (E 420), mannitol (E 421), Isomalt (E 953), maltitol (E 965), Xylitol (E 967)
Autres : sirop de maïs, Fruisana, miel Autres : chicorée, pissenlit, inuline, chewing-gum, pistaches, ketchup Autres : gomme, menthe, sucette, dessert léger à base de lait

Que faut-il consommer ?

Fruits

Légumes

Céréales

Produits laitiers

Autres

Fruits : bananes, melon, canneberge, raisin kiwi, citron, pamplemousse, orange, mandarine, fruits de la passion, papaye, framboise, rhubarbe, anis étoilée, fraise Légumes : graines germées, carottes, céleri, endive, gingembre, haricots verts, laitue, olive, panais, pomme de terre, potiron, blettes, épinards, courges, patate douce, tomate, navet, courgette Céréales sans gluten : amarante, sarrasin, millet, petit-épeautre, riz, avoine, polenta de maïs, arrow-root, psyllium, quinoa, sorgho, tapioca et leurs dérivés (farine, flocons…) Lait : lait sans lactose, laits végétaux (tous) sans sucre ajouté Tofu, tofu lacto-fermenté, tempeh
Herbes aromatiques : toutes Huiles : olive Yaourt de soja ou végétaux Sucre (en petites quantités) : sucre de canne complet, glucose, stévia, sucre de fleurs de coco, sirop d’agave, sirop de riz, sirop d’érable, mélasse
Sorbet
Fromage : mozzarella, cheddar, brie, camembert

N’hésitez pas à me contacter pour toute information complémentaire

Bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Les addictions, les dépendances ou même une simple « mauvaise » habitude qui se répète, mettent l’organisme en danger.

Elles sont nombreuses : tabac, cannabis, alcool, grignotage, sucre, soda mais aussi les jeux ou jeux vidéo, le téléphone portable, les achats compulsifs, le sport excessif et les addictions sexuelles…

Qu’est ce que l’addiction ?

La dépendance se met en place au niveau de notre système nerveux central. L’équilibre des neuromédiateurs, véritables « langage du cerveau » est alors compromis. Ils sont activés en fonction des situations vécues, participent aux comportements humains. Ils participent aussi à nos pensées, nos souvenirs et notre compréhension.

Les neuromédiateurs sont des composés chimiques libérés par les neurones. En cas d’addiction, le circuit de la récompense va être prioritaire par libération de dopamine. La personne va rechercher ensuite toutes les sources (nourriture, tabac, jeux…) pour satisfaire ce désir et un cercle vicieux s’installe plus au moins intensément et rapidement. Ce désir excite en retour le système limbique (cerveau émotionnel) qui, grâce à des substances opioïdes, stimule les neurones. La transmission de l’influx nerveux induit un sentiment de contentement et de plaisir. Par exemple, le footing régulier va stimuler la dopamine en terme de plaisir et récompense. Si l’activité s’arrête, un manque s’installe comparable à celui de l’héroïne.

On parle des 5 phases de l’addiction :

  • l’induction : une substance ou un comportement est ressentis comme source de plaisir sensoriel : on se sent mieux

  • l’apprentissage : on intègre les effets désirables (bien être, euphorie…) et indésirables (céphalée, malaise)

  • la mise en place : on recommence l’expérience

  • la phase de lutte : on prend conscience de la dépendance et on cherche à retrouver « sa liberté », la nervosité aggrave le besoin d’être apaisé et le cercle vicieux est en place

  • l’acceptation ; on n’est plus en mesure d’éviter l’addiction, la peur du sevrage est importante

Comment s’arrêter ?

  • D’abord, il faut le décider soi-même et pour soi-même et non pour faire plaisir à l’entourage ou parce que c’est bon pour la santé. Il faut être conscient de son addiction

  • Il faut se faire aider par le corps médical ou par un ou plusieurs thérapeutes

  • Il faut mesurer son niveau de dépendance par des tests et questionnaires

  • Il faut définir l’origine de l’addiction. Il peut s’agir d’une dépression masquée ou d’un problème affectif par exemple

  • Il faut faire un bilan nutritionnel et toxique à l’aide de l’Oligoscan pour adapter au plus juste les besoins de l’organisme

Les moyens naturels pour aborder le sevrage :

  • La plupart du temps, le naturopathe va mettre en place une cure de détoxication pour aider l’organisme à éliminer les toxines et pour relancer le travail émonctoriel. Le foie et les reins (qui éliminent la nicotine) seront ensuite revitaliser pour optimiser leur travail fonctionnel.

  • On peut aussi s’occuper des métaux lourds selon l’importance du niveau d’intoxication

  • Un mode de vie sain sont la base d’un sevrage efficace pour la santé à travers les différentes techniques de naturopathie (respiration, exercices physiques, hydrologie, lumière…)

  • Il existent de nombreuses solutions, mais en matières de compléments alimentaires, on peut retenir le kudzu, qui est la plante des addictions, le griffonia pour calmer les compulsions alimentaires et le stress, les plantes calmantes (aubépine, passiflore), le magnésium, les oméga 3 et les antioxydants pour lutter contre les radicaux libres.

  • On va aussi, à l’aide de questionnaires, équilibrer les neuromédiateurs avec notamment le GABA et la Sérotonine.

  • Les Fleurs de Bach : il existe certains composés chez Déva spécifiques mais aussi Cherry Plum pour éviter de craquer, Agrimony (l’image du bon vivant qui reporte à plus tard), Holly en cas de colère contre soi et les autres, Clématis pour s’incarner dans la réalité et éviter l’isolation et les rêveries…

  • Les huiles essentielles en olfactothérapie : on peut respirer des huiles ou complexes d’huiles qui calment et associent un geste pour faire passer l’envie de replonger.

  • L’alimentation reste un pilier essentiel d’équilibre et la prise en charge du poids peut aussi être envisagée dans le cas du sevrage du tabac notamment.

  • Les alternatives : on peut avoir recours à des aides pour remplacer l’addiction par une alternative plus saine : faux cafés ou cafés non toxiques, bons sucres, e-cigarette…

  • Enfin, toutes les solutions d’aide de gestion du stress sont très efficace. Pour ma part, j’utilise avec succès le principe de la cohérence cardiaque.

  • Les autres techniques : elles sont nombreuses ! homéopathie, acupuncture, hypnose, sophrologie…

N’hésitez pas à poser toutes vos questions

Je suis à votre écoute : 06 65 70 94 89

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

La beauté des cheveux est le reflet d’une bonne santé. Même si pour les hommes la chute des cheveux, liée à l’hérédité, est difficile à améliorer, il y a des solutions simples qui s’adressent aux femmes mais aussi aux hommes pour entretenir le capital santé de la chevelure.

Les teintures chimiques sont particulièrement nocives et chargées en toxines et métaux lourds.

Vous pouvez faire confiance aux teintures végétales à base d’argile traitantes « Terre de couleur » qui fonctionnent aussi sur les cheveux gris et blanc : à faire soi-même ou chez un coiffeur biologique.

Une belle chevelure nécessite parfois des compléments nutritionnels adaptés et une alimentation équilibrée :

  1. Boire suffisamment : jus de fruits et légumes frais maison, eau de source, tisane, thé vert
  2. Adopter le régime méditerranéen : crudités, fruits, légumes, protéines maigres (volaille, fromage de brebis, poissons gras), bonnes huiles (colza, germe de blé, olive, noix), céréales complètes
  3. Manger des petits pois qui contiennent un principe actif anti-chute
  4. A limiter :
  • Les produits laitiers : beurre, crème, fromages, glaces, desserts lactés, lait, yaourts et fromages blanc
  • Le gluten : blé, avoine, seigle, orge, grand épeautre, kamut
  • Les graisses saturées (friture, fromages, viandes grasses, charcuterie)
  • Les sucres rapides (crème dessert, pâtisserie, sucre et pain blancs, gâteaux, produits raffinés)
  • Les médicaments non indispensables
  • Les aliments acides : les produits laitiers, fruits acides et agrumes, légumes acides (tomate, oseille, épinard, asperge, cresson), l’excès de protéines, jus de fruits, soda, vin blanc et champagne, cornichon et vinaigre, miel
  • Le tabac, alcool, café, drogue et soleil en excès aux heures chaudes
  1. Faire une cure en interne diurétique et revitalisante de Sève de Bouleau fraîche et crue de Végétal Water (Mon code de réduction = CO00283) : au printemps et à l’automne. En externe : elle tonifie le cuir chevelu et élimine les pellicules et démangeaisons
  2. La spiruline : comble les carences en vitamines et en oligoéléments et agit sur l’éclat de l’épiderme, des ongles et des cheveux
  3. Le zinc, les vitamines B et C, les acides aminés soufrés : sont des nutriments reconnus pour renforcer la texture des cheveux et des ongles, combler les carences, redonner de l’éclat et lutter contre les effets du stress et de la pollution
  4. Nettoyer les intestins : cure psyllium blond et chlorure de magnésium
  5. Favoriser une flore saprophyte : pro et pré biotiques adaptés

Vous pouvez adopter des recettes économiques et écologiques pour réparer et fortifier vos cheveux le plus régulièrement possible :

A faire tous les 10 jours : masque à l’argile blanche pour purifier et oxygéner les bulbes du cuir chevelu : mélanger l’argile à de l’eau de source dans un récipient en verre ou en plastique (aucun contact avec le métal) et appliquer en couche épaisse surtout sur les racines. Laisser poser 20 minutes (pas plus!) et rincer avec un shampoing biologique anti-chute

Ou suivre le protocole anti-chute de « Terre de Couleur » : appliquer le masque entre 5 et 20 minutes. Laver les cheveux avec le shampoing anti-chute (laisser poser 3 minutes) et appliquer le baume. Leur Site : http://www.terredecouleur.fr/

Chaque semaine : masser les pointes des cheveux avec de l’huile d’Argan, de Jojoba ou de Coco et laisser poser toute la nuit, la veille du shampoing.

Shampoing sans shampoing maison : faire une pâte avec du bicarbonate de soude et rincer au vinaigre de cidre (2 cuillères à soupe dans un flacon vide de 200 ml) => 2 à 3 cuillères à soupe de bicarbonate + eau de source pour obtenir une pâte. Mouiller les cheveux, masser, laisser poser quelques minutes (prendre sa douche par exemple) et rincer. Vous pouvez alors effectuer le rinçage au vinaigre de cidre et rincer à nouveau. Ce soin permet d’espacer les shampoings et s’inscrit dans une démarche écologique (méthode « No Poo » venue des Etats-Unis, article de Murielle Toussaint). Les cheveux sont propres, doux et brillants.

Ou même protocole mais avec du Rhassoul (argile volcanique). On peut même se faire un masque sur le corps ou le visage en cas d’acné et rincer sous la douche.

Le petit plus : masser doucement le cuir chevelu en décollant la peau mais sans frotter avant chaque shampoing et/ou le soir avant de se coucher.

Cocktail d’huiles essentielles anti-chute tous les 3 jours à laisser poser 5 minutes avant le shampoing : masser le cuir chevelu avec 3 à 5 gouttes du mélange :

  • HE Citron : 2 ml ou 40 gouttes

  • HE Bois de Rose : 1 ml ou 20 gouttes

  • HE Romarin à Verbénone : 1 ml ou 20 gouttes

  • HE de Bois de Cèdre : 1 ml ou 20 gouttes

  • HE d’Ylang Ylang : 0,5 ml ou 10 gouttes

  • + Huile végétale d’Argan : 10 ml

La coupe au rasoir chez Rémi Portrait : elle revitalise les cheveux et les améliore en cas de stress ou déséquilibre émotionnel

Et enfin : gérer le stress (cohérence cardiaque, respiration, sophrologie, yoga…)

Je vous souhaite une belle santé !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Avr
29
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La bardane

La bardane Corinne Goldfarbe

La bardane est une plante dépurative favorable au printemps pour purifier l’organisme de ses déchets. Elle est largement présente dans la pharmacopée orientale et sa popularité dans l’antiquité lui a valu le nom « d’herbe aux teigneux ». La racine est la partie la plus utilisée en médecine mais également dans la cuisine macrobiotique ou japonaise où les racines sont dégustées comme un légume.

Cette plante pousse facilement dans les pays tempérés : on la sème au printemps et on la récolte en été.

On l’utilise pour soigner tous les maux de surcharge dermatologique, digestive et hépatique. Il semblerait que la racine facilite également l’élimination des métaux lourds et diminue la glycémie par sa richesse en inuline.

La bardane n’a aucun effet toxique mais attention cependant aux crises curatives ! Comme tout effet détox, les boutons peuvent sortir davantage dans un premier temps avant de régresser et disparaître. De même, des manifestations de courte durée comme la migraine, nausée, manifestation cutanée peuvent apparaître provisoirement. Il faudra, dans ce cas, diminuer légèrement les doses quotidiennes.

Ses propriétés :

  • anti-infectieuse, antiseptique
  • antifongique
  • anti-inflammatoire et antioxydante
  • anti-prurigineuse cutané
  • détoxicante
  • diurétique et laxative
  • sudorifique
  • hépato-protectrice, cholérétique
  • normalisante de la glycémie

Pourquoi ?

  • les pathologies cutanées suintantes : furoncles, abcès, impétigo, dartres, panaris, kystes sébacés, dermatoses, orgelets, blépharites
  • l’acné infecté chez l’adolescent ou l’adulte
  • le psoriasis
  • les dermatoses sèches : eczéma, urticaire, croûtes de lait chez les bébés, dartres, prurit
  • le nettoyage hépatique en cas de surcharge (excès de sucre, de graisse, de féculents et produits raffinés)
  • la goutte
  • la prévention du diabète
  • l’excès de métaux lourds ou toxines

Comment la consommer ?

En infusion : faire bouillir des racines de bardane fraîches ou sèches (1 poignée) dans 1 litre d’eau de source froide pendant 5 minutes et laisser infuser 10 minute. 3 tasses par jour. On peut utiliser cette décoction en externe sur le cuir chevelu ou la peau ( en compresse) par exemple pour optimiser les résultats.

En légume : laver la racine de bardane en gardant la peau, la couper en cube et la faire revenir dans de l’huile de sésame. Ajouter d’autres légumes (carottes, céleri, patate douce…), couvrir d’eau et laisser mijoter une vingtaine de minutes. Assaisonner en fin de cuisson (sel, curcuma, poivre…)

En complément alimentaire : elle est souvent associée à la pensée sauvage pour la peau, compter 1000 à 1200 mg par jour. Augmenter les doses progressivement.

En élixir (mélange d’eau, d’alcool et glycine) : de 3 à 6 doses de 2 ml par jour dans 1 litre d’eau à boire tout au long de la journée

Précaution :

  • pour les femmes enceintes et allaitantes
  • les jeunes enfants
  • les diabétiques

N’hésitez pas à me contacter pour toute information complémentaire

Très belle santé !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathie, Iridologue

06 65 70 94 89

Pourquoi ?

La réaction allergique est déclenchée par un facteur externe qui vient modifier le terrain. Il existe la plupart du temps, une saturation toxinique de l’organisme, une perméabilité intestinale et une flore déséquilibrée.

Lorsque l’allergène entre en contact avec les voies respiratoires, les globules blancs produisent des anticorps spécifiques (IgE) pour défendre l’organisme.

Les réactions sont immédiates : certaines cellules du système immunitaire vont libérer de l’histamine responsable des manifestations allergiques et inflammatoires.

L’allergène (responsable de l’allergie) peut être un aliment mais aussi d’autres substances (pollen, poussière, médicament, poils d’animaux, moisissures…). Elle peut être saisonnière sur une période donnée et plus généralement au printemps et à l’automne.

Même si l’allergie nécessite une prévention, on peut utiliser des moyens naturels pour éviter les crises aiguës.

Pour éviter l’allergie, il faut favoriser un bon terrain dès la naissance. La maman doit équilibrer sa flore avec des probiotiques et allaiter son bébé. L’accouchement par voie basse permet un premier ensemencement de la flore du nouveau-né (sinon, il faut donner des probiotiques dans le biberon). Il est important de prendre son temps dans la diversité alimentaire. Il ne faut pas aseptiser de façon excessive l’environnement de l’enfant.

La vaccination excessive est elle aussi un des facteurs responsable des allergies

Les symptômes :

  • Éternuements en salve
  • Nez bouché ou écoulement nasal
  • Signe de sinusite chronique, congestion des muqueuses et parfois polypes
  • Larmoiement et yeux gonflés, rhinoconjonctivites
  • Démangeaisons du conduit auditif et palais
  • Sifflement respiratoire, toux sèche, signe d’asthme
  • Fatigue
  • Gonflement cutané (lèvres, langue.. ), urticaire, démangeaisons, eczéma
  • Chocs anaphylactiques, œdème
  • Mais aussi allergie alimentaires (lait de vache, protéine de l’œuf, poisson, arachides, soja, gluten…) avec troubles intestinaux

Les solutions :

  • Ajuster l’alimentation qui est un facteur essentiel : éviction des produits laitiers, du gluten et des aliments riches en histamine (poissons en conserve ou fumés, fruits de mer, vin blanc et champagne, fraises, épinard, choucroute) et les excitants (café, alcool, tabac)
  • Protéger et soutenir la sphère intestinale par une prise en charge spécifique
  • Combler les carences en oméga 3 et en minéraux grâce à un bilan Oligoscan
  • Renforcer la sphère hépatique en fonction du terrain
  • Soutenir par la phytothérapie, les huiles essentielle ou bourgeons de plantes très efficaces
  • Privilégier les bons antioxydants
  • Respirer le bol d’air Jacquier
  • Arrêter ou diminuer le tabac
  • Gérer le stress (relaxation, réflexologie plantaire, chi machine, yoga, respiration…)

Bonne santé à tous !

Cette recette est sans farine, donc sans gluten et riche en protéines. Elle est économique, très rapide à préparer et à cuire. Elle m’a été inspirée d’une recette vue sur Télé Matin et présentée par Carine Teyssandier. J’ai modifié la qualité des graisses et du sucre pour en faire un dessert santé.

Vous pouvez agrémenter à votre goût en ajoutant : 1 à 2 gouttes d’huile essentielle de citron ou d’orange douce, 1 cuillère à soupe de rhum, des zestes d’oranges ou de citron, des pépites de chocolat, de l’extrait de vanille…

La recette de base a un léger goût de noix de coco grâce à l’huile de coco !

On peut aussi en faire une version salée en enlevant le sucre  et en ajoutant des épices (sel, poivre, curcuma, muscade…) et de la fêta, du jambon ou autre garniture au choix. Dans ce cas, on va remplacer également la poudre d’amande par une courgette râpée (qui donne une belle consistance).

La recette est pour 6 personnes

Ingrédients :

  • 200 g de pois chiches cuits en bocal
  • 50 g de sucre de fleur de coco
  • 50 g d’huile de coco
  • 3 œufs
  • 100 g d’amandes en poudre (ou de noisette ou de noix de coco)
  • 1 pincée de vanille en poudre

Faire chauffer doucement les pois chiches dans une casserole avec le sucre et la vanille

Écraser hors du feu avec un écrase purée ou une fourchette

Ajouter l’huile de coco qui va fondre doucement, les 3 jaunes d’œufs et la poudre d’amande

Monter les blancs en neige

Incorporer à la préparation délicatement

Ajouter éventuellement le complément d’arôme

Mettre dans des moules à financiers bien huiler

Cuire à 180° pendant 20 minutes dans un four préchauffé

C’est prêt !

Bonne appétit à tous !

Comment bien nourrir les ados et les jeunes enfants ?

Les jeunes sont eux aussi victimes de fatigue, fragilités immunitaires, troubles digestifs et cutanés. Pour les soutenir et renforcer leur organisme, il faut avant tout veiller à leur alimentation. Pour cela, il faut mettre en place une cuisine maison à base de produits non transformés, frais et biologiques si possible.

Il ne faut pas oublier l’hydratation régulière, l’eau étant la seule boisson adaptée (en bouteille de préférence à l’eau du robinet). C’est le cerveau qui souffre en premier de la déshydratation !

Je vous propose quelques idées saines et un rappel des aliments à éviter ou diminuer.

Quelques rappels :

  • éviter les plats industriels, les additifs alimentaires, les édulcorants

  • éviter l’excès de graisses saturées (fritures, charcuterie, viande grasse, chips, nutella), beurre cuit, crème fraîche, sauces industrielles (ketchup, mayonnaise …)

  • éviter l’excès de grignotages sucrés

  • éviter l’excès de fast food, soda et canettes, boissons énergisantes, alcool, jus d’orange industriel (surtout le matin), café au lait ou excès de café sucré

  • diminuer les sucres (céréales, gâteaux, glace, barres de céréales, bonbons, sucreries, chocolat au lait)

  • diminuer les produits laitiers de vache surtout en cas d’acné ou troubles digestifs

Exemple de Petit Déjeuner :

  • Boisson chaude : thé vert nature, café sans lait ni sucre, chocolat (cacao biologique) + lait végétal, lait végétal

  • Fruit frais + amandes, noix de Brésil, noix, noisette (mélange de l’étudiant)…

  • Compote + mélanges de fruits secs (raisins, goji, abricots…) et amandes + pollen frais et/ou spiruline

  • Yaourt de brebis + mélange de fruits secs et oléagineux.+ pollen…

  • Ou Tartine de pain de mie bio + beurre cru non pasteurisé ou purée d’amande ou de noix de cajou

  • Ou Tartine de pain de mie bio + beurre cru + jambon (ou saumon, dinde, fromage de brebis ou chèvre…)

  • 1 œuf mollet (4,5 mn)

  • Céréales bio sans gluten ou flocons de céréales (avoine, châtaigne, sarrasin) + lait végétal (en alternative aux céréales industrielles)

  • Éviter la confiture et remplacer par de la compote sans sucre ou purée de fruit

Exemple de Déjeuner (si cantine) :

  • Une entrée : crudité, avocat ou fruits frais

  • Protéine animale + légumes cuits + féculent ou céréales (préférer le riz et les pommes de terre aux pâtes)

  • Pain

  • Compote

Ou : Fruit, Sandwich, compote/amandes et/ou 2 carrés de chocolat

Ou : Resto Japonnais (attention au saumon et au thon)

Exemple de collation :

  • Fruit frais : banane, pomme, poire, …

  • Mélange de l’étudiant : fruit secs et oléagineux

  • Chocolat noir (supérieur à 70 % de cacao)

  • Barre à la spiruline, barre LIFEBAR (http://www.lifefood.fr/lifebar-plus.html)

  • Gâteau ou crêpe maison

  • Boisson : milk shake (lait de riz), smoothie, jus frais maison, eau

Exemple de Dîner :

  • Une entrée : salade composée avec huile de colza et aromates ou soupe maison

  • Protéine animale légère (poisson gras, volaille, œuf non frit) ou Protéine végétale : galettes de céréales ou légumineuses

  • Légumes cuits et féculents : carottes, pommes de terre, patates douces, légumes verts (courgette…)

  • Pain au levain biologique

  • Compote ou fruit cuit, crème dessert végétale ou yaourt de brebis avec sirop d’agave

Bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

Il s’agit d’une fatigue persistante et inexpliquée de plus de 6 mois. Elle concerne tous les âges et particulièrement la tranche des 25 à 50 ans, avec un pic à 35 ans, mais certains adolescents peuvent aussi être touchés.

C’est une maladie multi-factorielles avec des déséquilibres endocriniens, nerveux, digestifs ou immunitaires associés à des dysfonctionnements métaboliques : acidose, stress oxydant, carences en nutriments entre autre.

Le bilan Oligoscan permet, à l’aide de mesures tissulaires, d’apporter une réponse à ces différents facteurs.

Quels sont les symptômes ?

  • sommeil non réparateur
  • difficulté de récupération après un effort, malaise
  • confusion, troubles de la mémoire et de la concentration
  • hypersensibilité au bruit et à la lumière
  • palpitations, arythmie cardiaque, pâleur
  • troubles digestifs, nausées
  • intolérances alimentaires, candidose
  • allergie, états infectieux et grippaux
  • douleur musculaire et articulaire

Quelles sont les causes ?

  • carences nutritionnelles et enzymatiques
  • toxines, déchets et présence de métaux lourds
  • manque de calories, alimentation déséquilibrée
  • stress oxydatif (surmenage, manque de récupération), carences en antioxydant
  • perturbation cellulaire et mitochondriale (production d’énergie cellulaire)
  • déséquilibre nerveux et hormonal
  • désordres émotionnels (stress affectif, contraintes du quotidien ingérables…)

Quelles sont les solutions ?

  • Équilibrage alimentaire avec des aliments frais, biologiques et non industriels
  • hygiène de vie en réduisant les charges toxiques
  • hydratation de qualité en dehors des repas
  • apport d’oxygène
  • équilibrage repos/activité
  • équilibrage du terrain : acido-basique, stress oxydant
  • apport de micronutriments (vitamines, minéraux, oligoéléments, enzymes…)
  • cure de détoxication et revitalisation
  • et enfin : partage, amour, plaisir de vivre…

Si vous ressentez au moins 4 symptômes avec des paramètres sanguins normaux, n’hésitez pas à en parler avec votre naturopathe pour une prise en charge globale et personnalisée.

Bonne santé à tous !

 

amande

L’amande est consommée depuis l’antiquité pour ses vertus alimentaires et nutritives.

Elle est le fruit de l’amandier, naturellement sans gluten, recouverte d’une coque verte qui éclate à maturité. L’amande est unique dans sa coque, mais lorsqu’il existe une sœur jumelle, on parle alors d’amandes philippines. Il existe les amandes amères et les amandes douces.

L’amande amère contient des éléments toxiques comme l’acide cyanhydrique responsable de l’amertume. Elle est débarrassée de ses composés toxiques pour produire une huile essentielle à des fins alimentaires et pour la fabrication de liqueurs telle l’amaretto.

L’amande douce est celle que l’on connaît et que l’on consomme sèche le plus souvent mais parfois fraîche lorsqu’elle est encore dans sa coque.

Sa valeur nutritive :

Par 50 g

Amandes séchées

Eau

4,40%

Protéines

9,9 g

Matières grasses

26 g

Glucides

10,2 g

Fibres

3,4 g

L’amande contient du :

  • magnésium

  • manganèse

  • phosphore

  • fer

  • soufre

  • zinc

  • cuivre

  • vitamines A, B, E

Ses bienfaits :

L’amande possède de nombreuses vertus utiles aux végétariens, enfants et jeunes, personnes carencées, intolérants au gluten et enfin seniors :

  • action anti-cholestérol grâce aux fibres et bon gras
  • action alcaline anti acidose et anti brûlure gastrique
  • action sur la tension grâce à sa teneur en potassium (les choisir non salées)
  • action sur le transit (dans ce cas il faut les préférer fraîches avec la peau)
  • action sur la satiété
  • action minéralisante grâce à sa richesse en vitamines et minéraux
  • action contre l’ostéoporose (ajouter de la vitamine D)
  • action sur le système immunitaire et la convalescence
  • action sur la fatigue intellectuelle et physique
  • action sur le système nerveux et digestif
  • action antioxydante (vitamine E)
  • action préventive des maladies dégénératives et du cancer

Comment la consommer ?

Idéalement, on peut enlever la pellicule brune indigeste pour certaines personnes car riche en tanin et irritante pour l’intestin : les plonger dans l’eau bouillante et attendre 2 à 3 minutes ou les faire tremper une nuit pour les éplucher facilement. En règle général, il faut éviter de la faire chauffer trop longtemps pour conserver ses nutriments et l’introduire dans les plats ou gâteaux au dernier moment.

Elle se consomme nature ou dans les plats salés ou sucrés. La poudre d’amande peut remplacer les farines de céréales par exemple pour les intolérants au gluten.

Il ne faut pas dépasser une dizaine d’amandes par jours soit environ 30 grammes et ne pas les consommer salées

On peut trouver l’amande sous différentes formes pour varier les plaisirs et les utilisations culinaires : entière, effilée, en poudre, en purée ou sous forme de lait en alternative aux laits animaux, sous forme d’essence pour parfumer les gâteaux ou d’huile pour un usage cutané.

Sous forme d’huile, elle est utile en application externe pour hydrater, cicatriser et soulager les peaux et eczémas secs ou brûlures légères.

Comment la conserver ?

Pour la protéger de l’oxydation, on doit la conserver au réfrigérateur dans un bocal en verre surtout si elle est décortiquée environ 6 mois.

Sinon, les amandes entières peuvent se conserver 1 an dans un boîte hermétique à l’abri de la chaleur et de l’humidité.

Attention toutefois aux réactions allergiques car elle peut être allergène comme tous les fruits à coque : lèvres qui gonflent, urticaire, démangeaison…

Bonne santé grâce aux amandes !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

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