Les symptômes

L’endométriose se caractérise par le développement anormal de la muqueuse utérine ailleurs qu’à l’intérieur de la matrice. Sensible aux taux d’hormones féminines en circulation, l’endomètre se développe dès la fin des règles, culmine au moment de l’ovulation et s’évacue sous forme d’hémorragie. De cycle en cycle, ce cercle vicieux s’intensifie et s’accélère jusqu’à une infertilité possible. Dans les cas extrêmes, les symptômes conduisent les femmes à un repli sur soi et des troubles relationnels importants. Ce phénomènes génère différents symptômes. La douleur est le symptôme majeur même si celle-ci n’est pas systématique.

La recherche de 5 signes peuvent alerter :

  • dysménorrhée (règles douloureuses) sévère n’ayant cessé de s’aggraver au fil du temps
  • douleur lors de la défécation pendant les règles
  • douleur pendant la miction lors des règles
  • douleur chronique du petit bassin
  • douleur profonde lors des rapports sexuels, tout particulièrement en seconde moitié de cycle.

Ces différents signes peuvent s’accompagner de pertes brunâtres avant les règles dans les urines ou dans les selles et de formation de kystes.

Une stérilité peut survenir dans 30 à 40 % des cas.

On valide le diagnostic grâce à un toucher vaginal ou à une échographie, l’IRM n’étant pas indiquée.

L’histologie (étude des tissus) permet de valider le diagnostic d’endométriose.

Cette affection concerne 30 000 femmes en France dont 80% ont entre 30 et 40 ans

Les causes

Toutes les causes de l’endométriose ne sont pas encore connues mais on peut les expliquer par les raisons suivantes :

  • toutes les règles ne s’évacuent pas par voie vaginale mais par le pavillon des trompes de Fallope et gagnent la cavité abdominale
  • la diffusion de cellules endométriales jusqu’à des tissus et des organes très éloignés de la sphère gynécologique
  • une défaillance du système immunitaire qui ne détruit pas les cellules répandues hors de l’utérus
  • un déséquilibre hormonal avec un excès d’estrogène ou insuffisance de progestérone
  • un choc psychologique ou émotionnel non digéré

    Par ailleurs, certains facteurs de risque ont été repérés :

  • être d’origine caucasienne ou asiatique
  • prédisposition génétique (gène DNMT3L)
  • une étroitesse du col utérin
  • une rétroversion du col de l’utérus
  • un indice de masse corporelle faible
  • une instabilité émotionnelle et un stress chronique
  • une alimentation pauvre en oméga 3
  • une intoxication par des pollutions (pesticides, phtalates, métaux lourds,…)
  • un usage fréquent d’écran solaire non biologique
  • une révision utérine après un accouchement, un curetage après un avortement, un antécédent de césarienne

Quelles solutions alimentaires ?

Le régime méditerranéen avec une alimentation biologique, de saison et des bonnes huiles riches en oméga 3. On peut associer une mono-diète de légumes ou de fruits crus ou cuits selon les tolérances pour nettoyer l’organisme et économiser l’énergie digestive.

L’hydratation régulière entre les repas est indispensable : jus de fruits et légumes frais maison, eau de source.

En collation, on va valoriser les noix du Brésil (2 par jour), les amandes et noix de Grenoble.

On va éviter les produits laitiers (sauf le beurre cru non pasteurisé le matin), la sauge, l’armoise, le ginseng et le soja et les excitants : café, thé, soda, excès de viande rouge et charcuteries.

Quelles solutions naturelles ?

  • Éviter la constipation avec l’usage de téguments de Psyllium blond au coucher.
  • Soutenir le foie (chargé de la métabolisation des hormones sexuelles)
  • Prendre des anti-inflammatoires naturels (curcuma sans pipérine…) et des antioxydants pour calmer l’inflammation et la douleur
  • Traiter le stress
  • Faire une cure de Pycnogénol
  • Prendre des Oméga 3 EPA
  • Traiter l’acidose par un complexe de minéraux
  • Soutenir l’équilibre hormonal et réguler les oestrogènes
  • Inhiber l’angiogenèse (formation de vaisseaux) et réduire la prolifération des cellules endométriales
  • Agir sur la congestion utérine et limiter les crampes

Heureusement, il existe des synergies performantes de compléments alimentaires avec des améliorations notables.

Un plus : les cures thermales

  • Bagnoles de l’Orne
  • Bourbon l’Archambault
  • Challes les Eaux
  • Luz Saint Sauveur
  • Saint Trojan les Bains
  • Dax
  • La Léchère
  • Luxeuil les Bains

Mes conseils : évitez les pollutions !!

Trop de portable, téléphone sans fil, éviter l’aspartame, l’alcool, le tabagisme passif et actif, l’eau du robinet, les colorants/parfums de synthèses/conservateurs/exhausteurs de goûts/de l’industrie alimentaire, le contact avec le papier d’aluminium (conserves, papillotes, emballage sandwich et chocolat, canette), le micro-onde, les plastiques alimentaires (préférer les plats en terre type ramequins), le téflon, les déodorants avec pierre d’alun ou aluminium, les cosmétiques non bio (crèmes pour le corps, visage, maquillage …), les médicaments inutiles, les produits d’entretien ménager biologiques et respectueux de l’environnement.

Bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

Le café est une boisson consommée couramment dans le monde entier qui est intégrée à notre quotidien. Il existe différentes variétés : l’Arabica que l’on retrouve en Afrique et Amérique de Sud ou le Robusta, plus riche en caféine, cultivé en Afrique ou en Indonésie.

On l’aime avec ou sans sucre, avec ou sans lait, léger, corsé, glacé, avec des arômes de cacao, vanille, mélangé à de l’alcool ou de la crème. Chaque nationalité a ses préférences !

Il est notre ami, à dose raisonnable, pour stimuler notre motivation et notre activité quotidienne.

Le café est une boisson chaude, réconfortante, conviviale, qui fractionne notre journée en rituel apaisant. Il nous aide à faire une pause, à communiquer, à partager.

Qu’il soit pris à la maison, dans un café où l’habitude nous rassure ou entre ami, il devient indispensable et parfois, une addiction. Pourtant, les premiers cafés sont ingrats et amers, on cache son goût sous un flot de sucre avant de devenir « accro ».

Le café est notre ami mais aussi, à haute dose, notre ennemi. Il ne faut pas dépasser l’équivalent de trois expressos par jour sachant que le bol de café du matin est déjà équivalent à deux ou trois expressos.

Les effets du café sur l’organisme :

Le café excite le système nerveux, diminue la digestion, augmente les déchets acides et booste le cortisol et l’adrénaline. Ce phénomène va susciter une envie de sucre et une augmentation de glucose dans le sang. Une tasse de café entraîne une élimination du calcium dans les urines. Lorsque le taux de calcium diminue, la parathormone est sollicitée pour augmenter le calcium mais diminue le phosphore. Avec la répétition, on observe des pathologies de calculs rénaux, kystes ou problèmes articulaires et surtout déminéralisation. L’absorption du magnésium et du fer est également impactée par le café.

Sa richesse en caféine stimule le cerveau et le système sympathique pendant quatre ou cinq heures après son ingestion. Il faut le choisir parfumé, léger et le consommer impérativement avant 17 heures. La caféine est une molécule qui sert la plante à se défendre y compris contre les pesticides. Si le café est biologique, il est par conséquent moins riche en caféine. En cas de trouble du sommeil, on va limiter les quantités à deux cafés maximum en matinée pour éviter d’altérer tous les rythmes biologiques.

Rappelons que le café décaféiné doit être biologique et sans solvant. On va préférer les décaféinés à l’eau ou au CO2. A l’inverse, la décaféination chimique utilise un solvant cancérigène : le chlorure de méthylène (utilisé également dans les teintureries).

Et comme toujours, la qualité est indispensable.

A éviter :

  • le sucre

  • le lait : la caféine fait floculer les protéines de lait qui deviennent indigestes pour notre foie

  • le café bon marché

  • le café en machine de mauvaise qualité et pris dans des gobelets en plastique

  • le café en poudre, lyophilisé

  • les préparations industrielles

  • le décaféiné aux solvants toxiques

Les alternatives :

Pour se sevrer du café, on peut progressivement alterner avec de la chicorée, un mélange café/chicorée, du café de racines de pissenlit, du café d’orge ou d’épeautre Ils font d’excellents substituts pour diminuer progressivement la quantité de café. J’accorde ma préférence à celui de pissenlit qui est doux et goûteux et n’a pas besoin de sucre. D’autres boissons sont stimulantes comme le maté ou le thé noir à consommer avec modération.

Bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

On les appelle « Bleuets » au Canada. Les myrtilles sont des petites baies non acides bleues foncées qui apparaissent sur les marchés en été et en début d’automne. Comme toutes les baies, la richesse en antioxydants est très protectrice de notre organisme. La myrtille a de nombreuses vertus et on l’oublie bien souvent dans nos assiettes. Grâce aux différentes formes de consommation, on peut profiter de ses bienfaits toute l’année !

Ses constituants :

  • des tanins
  • des acides organiques (citrique, malique…)
  • des pectines
  • des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium…)
  • des vitamines : A, B, C, E et K
  • des flavonoïdes (anthocyanes)

Ses propriétés

Tout d’abord, la myrtille protège et assainit notre intestin. Elle régule, grâce à ses tanins, les diarrhées ou transit rapide. C’est un moyen simple et sympathique d’aseptiser les troubles intestinaux des grands et petits. Elle est aussi efficace pour toutes les inflammations des muqueuses digestives y compris de la bouche.

C’est aussi l’amie de nos yeux et plus particulièrement de la vision nocturne. Elle ralentit le vieillissement cellulaire grâce à ses nombreuses propriétés et soulage de nombreuses maladies oculaires.

Si la myrtille est mûre en été c’est aussi pour protéger la circulation veineuse de retour et les jambes lourdes, lorsque la chaleur aggrave ces phénomènes.

Elle est peu calorique et peu riche en sucre et les feuilles de myrtilles sont bénéfiques pour le diabète en régulant les taux de glycémie dans le sang.

Comment les consommer ?

On peut les consommer en baies fraîches ou sèches en hiver, en jus, en compote, en purée de fruits ou même surgelées pour les pâtisseries ou les entremets.

  • dans le petit déjeuner : écraser 1 banane bien arrosée de jus de citron, ajouter 1 cuillère à café de purée d’amande et 1 grosse poignée de myrtilles. On peut enrichir la préparation avec des noix, baies de goji…
  • au goûter : sous forme de jus (en magasin biologique) ou de compote sans sucre. L’idéal étant de faire sa propre compote maison avec quelques pommes douces auxquelles on ajoute 1 barquette de myrtilles fraîches ou surgelées. Selon les goût, on peut ajouter un peu de sirop de riz ou de miel de qualité. On peut aussi mélanger les myrtilles à un yaourt végétal ou de brebis K-philus avec un peu de sirop de riz.
  • en collation : vers 11h ou 17h on peut consommer des myrtilles fraîches avec quelques noix ou amandes
  • en dessert : je vous propose un entremet à la myrtilles sans gluten préparé en 5 minutes…
  • ½ litre de lait végétal (riz, amande, avoine, coco…)
  • 1 barquette de myrtilles fraîches ou surgelées
  • 1cuillère à café d’agar agar
  • 1 cuillère à soupe bombée de polenta
  • en option : purée d’amande et sirop de riz (ou miel liquide)
  • 4 ramequins
  1. délayer l’agar agar dans le lait froid
  2. porter à ébullition et ajouter la polenta en remuant
  3. laisser bouillir doucement 2 à 3 minutes
  4. disposer les myrtilles lavées et essorées au fond des ramequins
  5. hors du feu, on peut ajouter 1 cuillère à café de purée d’amande et une pointe de sirop de riz
  6. verser la préparation sur les myrtilles et laisser refroidir
  7. mettre au frais 2h avant de servir

La spiruline est un « super aliment » bénéfique pour tous les âges de la vie. Elle est arrivée sur terre il y a environ 3,5 milliards d’années et représente une des premières formes de vie. Elle réalise la photosynthèse grâce à l’énergie lumineuse.

C’est une algue microscopique d’eau douce, unicellulaire, en forme de spirale, d’où son nom.

naturopathie et spiruline 2

Les Mayas utilisaient la spiruline comme aliment vital, les Aztèques la mélangeaient au maïs pour obtenir une sorte de pain et les Incas se baignaient dans un lac riche en spiruline pour soigner leurs affections cutanées et articulaires. Aujourd’hui, les habitants bordants le lac Tchad, l’utilisent encore de nos jours, dans une composition appelée « Dihé », associant millet, légumes et épices.

J’ai eu la chance cet été de découvrir dans le Calvados, une ferme à spiruline : l’Eco Domaine de Bouquetot à St Pierre Azif : c’est une ferme pilote et engagée dont les productions sont labellisées Ecocert. La visite permet de comprendre les différentes étapes de culture, d’apprendre l’historique de la spiruline et ses vertus. Une dégustation permet de comparer différentes productions d’horizons divers car chaque spiruline à son propre goût. Personnellement, je l’apprécie en poudre ou en paillettes pour l’incorporer facilement à toutes les préparations : compote, houmous, tartares d’algues, pâtés végétaux, terrines, pains ou muffins….

Vous pouvez avoir toutes les informations sur leur site : http://spiru.fr/

Quels sont ses principes actifs ?

  • les protéines (60 à 70% de son poids) et tous les acides aminés essentiels
  • la phycocyanine immuno-stimulante capable d’augmenter la concentration en globules rouges
  • les acides gras (8%) dont les oméga 6 et 3
  • les stérols anti-microbiens
  • le phosphore organique
  • les vitamines : A (bétacarotène), E, B1, B2, B3, B6, B12
  • la superoxyde-dismutase puissant antioxydant naturel
  • la chlorophylle purifiante
  • les minéraux et oligoéléments : Fer, Magnésium, Calcium, Phosphore, Potassium, Zinc

Pour qui ? Pour quoi ?

  • les végétariens
  • les enfants en pleine croissance
  • les femmes enceintes ou allaitantes
  • les sportifs
  • les personnes âgées
  • les personnes qui suivent des régimes amaigrissants
  • les personnes dénutries et carencées
  • les personnes en surmenage intellectuel ou physique
  • les troubles de la mémoire
  • la spasmophilie
  • le stress
  • la fatigue
  • la prévention hivernale
  • les pathologies hépatiques
  • l’hypercholestérolémie
  • le diabète
  • la cataracte
  • l’ostéoporose
  • le cancer en soutien

La toxicité ?

Aucune !

Quel dosage ?

Il n’y a pas de risque de surdosage mais comme tout complément nutritif, il est préférable d’augmenter les quantités progressivement.

Pour tous : 1 cuillère à café bombée par jour

En cas de fatigue, convalescence ou infections : 1 cuillère à soupe rase de poudre ou bombée de paillettes (soit environ 5 grammes)

En cas de compétition sportive, de grossesse ou allaitement, surmenage ou maladie grave : 10 g ou 2 cuillères à soupe

On peut diviser les doses par 2 pour les jeunes enfants.

Profitez tous de ce super aliment pour aborder la rentrée en pleine forme !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue


naturopathie et spiruline

 

naturopathie et spiruline 3

Le roaccutane est un traitement lourd destiné à traiter l’acné sévère. Il existe depuis les années 1980. Il est souvent prescrit à l’adolescence sans connaissance précise des effets indésirables.

Les effets secondaires sont à prendre au sérieux et nécessitent une mise en garde, une information et un soutien de l’organisme pendant et après le traitement s’il est indispensable. Il est toujours préconisé de commencer par des moyens naturels. Ils sont non toxiques pour l’organisme et efficaces, à condition d’être motivé et d’être prêt à modifier son alimentation et son hygiène de vie.

Comment agit le roaccutane ?

La molécule active, l’isotrétinoïne, est un dérivé de la vitamine A acide. Elle bloque l’excrétion du sébum par les glandes sébacées et provoque ce que l’on appelle une dérivation morbide. La peau fait partie de nos émonctoires au même titre que les intestins, les reins ou les poumons et nous permet d’éliminer des toxines sans danger. La peau n’est pas un émonctoire fragile. Elle prend le relais des reins pour éliminer des acides par les glandes sudoripares. Les glandes sébacées éliminent des déchets colloïdaux (épais), soulageant ainsi le foie, la vésicule biliaire et les intestins. Lorsque cette voie naturelle d’élimination est fermée, les toxines voyagent alors plus profondément dans le corps provoquant des troubles fonctionnelles, des pathologies voire des maladies auto-immunes quelques années après la fin du traitement.

Quels sont les effets sur la santé ?

Comme chaque personne est différente, les effets seront différents. Parfois, une simple sécheresse des muqueuses et de la peau mais parfois une dépression lourde avec des envies suicidaires. Selon la fragilité du terrain initial, les effets peuvent se faire attendre parfois des années même après l’arrêt du traitement. On observe des troubles de l’humeur, de l’anxiété, de l’agressivité, des syndromes psychotiques, des dysfonctions digestives plus ou moins importantes : intolérances alimentaires, syndrome de l’intestin irritable, MICI (maladie inflammatoire chronique de l’intestin), mais aussi des pathologies auto-immunes (maladie de Crohn, recto-colite hémorragique, Hashimoto…)

Que faut-il faire ?

Il est toujours temps de soutenir l’organisme. Si le traitement est en cours, il est indispensable de :

  • soutenir les fonctions hépatiques
  • soutenir les fonctions intestinales
  • combler les carences de l’organisme (à l’aide d’un bilan Oligoscan)
  • respecter une hydratation entre les repas : eau de source, tisane, jus de fruits ou légumes maison, smoothies
  • éviter les excitants : café, alcool, soda, tabac, drogues, excès de médicaments
  • mettre en place une diététique alimentaire de type Seignalet, fraîche et biologique
  • pratiquer une activité physique
  • supprimer tout les toxiques et pollutions : métaux lourds, cosmétiques non biologiques, eau du robinet, alimentations industrielles, vaccination non indispensable…
  • privilégier le sommeil régulier et la récupération
  • prendre la pilule pour les filles afin d’éviter toute grossesse
  • prévenir le médecin en cas de changement d’humeur et de comportement, de nausée, d’effet secondaire difficile à supporter
  • faire des bilans sanguins réguliers pour vérifier les paramètres

N’hésitez pas à en parler à votre naturopathe !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

Il s’agit d’un métal hautement volatil et toxique. Sa présence est connue principalement dans les vaccins comme conservateur et les amalgames dentaires. Lors de la pose d’amalgame, sa présence, mélangée à d’autres métaux (étain, argent. ..), va jusqu’à 50% mais représente au final 40 à 45 % suite à son évaporation. L’intoxication a déjà commencé. Son émanation va se poursuivre au contact des aliments et de la mastication pour rejoindre la respiration, la circulation sanguine et le cerveau via le nerf olfactif. Le mercure aime les tissus mous : reins, glandes endocrines, foie et cerveau. En France, la présence de mercure dans les amalgames dentaires, représente encore 70% des soins. Le mercure se transmet au fœtus via le sang et le lait de la mère provoquant des perturbations cérébrales voire de l’autisme. Les dentistes sont également particulièrement victimes de l’intoxication au mercure de par leur utilisation régulière ou la dépose d’amalgame sans précaution.

En dehors des amalgames dentaires, on en trouve aussi dans :

  • le sol et l’eau
  • les aliments (graines traitées au Méthylmercure), les mollusques et poissons contaminés (thon, saumon…)
  • les fongicides et les pesticides organo-mercuriels
  • les plastiques
  • les décolorants du chlore
  • les encres d’impression,ou à base d’eau pour les peintres de maison
  • encre de tatouage
  • les vaccins
  • les détergents, les solvants
  • les cosmétiques
  • le latex
  • les laxatifs contenant du calomel, certains médicaments, le mercurochrome
  • les produits pour lustrer, les conservateurs de bois

Les effets sur la santé :

  • il entrave les activités enzymatiques
  • paralysie ou cécité
  • altération du comportement chez les enfants, hyperactivité, dépression, irritabilité
  • goût métallique dans la bouche et salivation
  • tremblement musculaire
  • anormalité foetale
  • stomatite
  • dents qui se déchaussent
  • perte d’appétit, anémie
  • colite
  • affection rénale
  • hypertension
  • névrite périphérique
  • insomnie et somnolence, maux de tête
  • troubles de la sensibilité, acouphènes, vertige, intolérance aux bruits et aux odeurs
  • allergie et asthme, irritation bronchique
  • trouble de l’activité du cerveau, baisse de la mémoire et de la concentration
  • troubles endocriniens et hormonaux (thyroïde, infertilité, aménorhée)

Quoi faire ?

  • Améliorer sa diététique : augmenter les acides aminés soufrés (haricots, œufs, poireaux, ail et oignons)
  • Prendre des compléments alimentaires à base de pectine, sélénium (il possède un effet protecteur contre la toxicité du mercure), acide ascorbique, cystéine, cystine, méthionine, soufre
  • Un protocole de chélation encadré par un thérapeute
  • Un suivi avec l’Oligoscan (mesure tissulaire des métaux lourds)
  • Limiter les expositions au mercure

Bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

Tél : 06 65 70 94 89

C’est avec succès que je conseille le régime Seignalet en cas de pathologie Les retours sont largement positifs avec des symptômes mis « à bas bruit ». Ce système alimentaire favorise la rémission de certains troubles mais n’exclut pas le diagnostic et le suivi du corps médical.

Ce régime, mis au point par le médecin biologiste Jean Seignalet en 1985, consiste à mettre le système immunitaire au repos en supprimant certains aliments modernes. L’alimentation devient hypotoxique et diminue le passage de molécules alimentaires toxiques via la paroi de l’intestin grêle. Cette porosité de l’intestin grêle favorise l’inflammation et les maladies de civilisations.

Outre les aliments, certains facteurs favorisent le « feu » des maladies :

  • le stress
  • les médicaments
  • les parasites intestinaux
  • l’âge (jeunes enfants et personnes âgées)
  • le tabac

Qu’est ce que le régime Seignalet ?

Il consiste à :

  • l’éviction du gluten
  • l’éviction du maïs
  • l’éviction des produits laitiers animaux
  • la consommation équilibrée d’acides gras oméga 6/oméga 3
  • la cuisson à la vapeur douce
  • la prise de compléments alimentaires

Quelles sont les pathologies concernées ?

Les maladies d’encrassage :

Elles s’expliquent par des petites molécules alimentaires qui pénètrent dans l’organisme via l’intestin grêle. Elles génèrent des pollutions cellulaires qui vont donner des maladies d’encrassage : Alzheimer, amylose, angor, artérite, artériosclérose, arthrose, autisme à gluten et caséine, caries dentaires, cataracte, céphalée, certaines dépressions, diabète de type 2, dyspepsie, dystonie, fatigue chronique, fibromyalgie, glaucome, goutte, hypercholestérolémie, infection, lithiase, nodules, obésité, ostéoporose, spasmophilie, stéatose hépatique, tendinites, vieillissement prématuré…

Les maladies d’élimination :

Les polluants cellulaires vont être pris en charge par des globules blancs. Les cellules mortes vont être évacuées vers les émonctoires : peau, intestin et côlon, estomac et poumons principalement et générer des maladies d’élimination : acné, aphtose, asthme, bronchite chronique, cals, colite, conjonctivite allergique, maladie de Crohn, eczéma, gastrite, infections ORL, polypes nasosinusiens, prurit, psoriasis, rectocolite, reflux gastro œsophagien, rhinite (rhume des foins), sinusite, urticaire

Les maladies auto-immunes :

Il s’agit de grosses molécules alimentaires ou bactériennes qui pénètrent dans l’organisme via l’intestin grêle et déclenchent la fabrication d’anticorps et des réactions immunitaires importantes. Certains de ces anticorps se retournent contre l’organisme lui-même et déclenchent une maladie auto-immune : arthrite chronique juvénile (ACJ), addison, anémie de Biermer, maladie de Basedow, maladie cœliaque, dermatite herpétiforme, diabète de type 1, maladie de Gougerot, syndrome Guillain-Barré, maladie de Horton, de Lapeyronie, Lupus, polyarthrite rhumatoïde, purpura, sclérose en plaques, spondylarthrite ankylosante, thyroïdite d’Hashimoto, uvéite, vitiligo

Les lectures :

« L’alimentation ou la troisième médecine » Jean Seignalet

« Réduire au silance 100 maladies avec le régime Seignalet » Jean-Marie Magnien

« Guide pour lire, comprendre et pratiquer l’alimentation ou la troisième médecine » Dr Dominique et Anne Seignalet

« Lait, mensonge et propagande » Thierry Souccar

N’hésitez pas à me contacter au 06 65 70 94 89

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

La chaleur de l’été peut fragiliser la circulation veineuse et lymphatique. L’été est la saison idéale pour mettre en place une hygiène de prévention ou de soutien du système circulatoire et renforcer le drainage de l’organisme pour éliminer les toxines et nettoyer l’organisme des surcharges, des acides ou des pollutions emmagasinées. On pourra ainsi ressentir un bienfait moral, une légèreté, une peau raffermie qui s’expose à la lumière et un bien être général. Voici quelques règles simples à appliquer avec plaisir sans modération :

Les conseils alimentaires :

  • hydratation d’eau de source renforcée par petites gorgées régulières
  • éviter de trop boire avant le coucher en cas de rétention d’eau
  • éviter les excitants : café, alcool, soda, tabac et boire trop chaud
  • boire des jus de légumes maison : carotte, betterave, pomme douce, fenouil, gingembre
  • diminution des glucides (produits raffinés, pain, pâtisseries)
  • augmentation des fruits et légumes frais de saison (crus et cuits)
  • consommation de bonnes huiles : olive, colza, noix
  • consommation des fruits oléagineux : amandes, noix, noix du Brésil, noisettes
  • consommation d’ail, d’oignons et herbes aromatiques pour fluidifier le sang
  • diminution des viandes, charcuteries et fromages au profit du poisson et des œufs
  • cuisson douce à la vapeur

Les autres conseils de naturopathie :

L’activité physique pour transpirer, éliminer les déchets et profiter de la nature : natation, vélo, course, marche ou randonnée. En intérieur, la Chi Machine allège les jambes et relance la circulation veineuse et lymphatique en douceur. Les positions inversées (chandelles, jambes appuyées sur un mur…) sont également un soulagement quotidien

Se détendre, profiter de l’instant présent et laisser de côté les émotions négatives qui font prendre du poids

Libérer ses intestins avec des téguments de psyllium blond : il déstocke également les mauvaises graisses et les mauvais sucres en équilibrant le transit en douceur

Soutenir le travail du foie : cure d’artichaut, radis noir ou romarin

Ajouter un peu de vinaigre de cidre à l’eau de boisson pour améliorer la flore intestinale, l’équilibre acido-basique, diminuer la glycémie et favoriser les échanges cellulaires

Pratiquer l’hydrologie avec un jet d’eau fraîche sur les jambes en fin de douche (de bas en haut), un bain de pied frais avec du gros sel, un hammam ou jacuzzi

Masser les jambes de bas en haut avec un gel spécifique (Gel Jambes Fines chez Herbolistique) ou un mélange d’huile végétale de calophylle avec 1 goutte d’huile essentielle à alterner : cyprès, menthe poivrée, lentisque pistachier, citron (le soir) ou hélichryse italienne

Prendre de la bromélaïne (principe actif de la tige d’ananas) en cas de surpoids, d’œdème et rétention d’eau : Équilibre Circulation chez Biophenix

Faire des cures régulières d’antioxydants (vitamines A E C Zinc et Sélénium), bio-flavonoïdes et polyphénols

Prendre des plantes circulatoires : Confort Circulatoire chez Herbolistique (mélange de vigne rouge, hamamélis, fragon, cassis…) et consommer sans limite la tisane circulatoire

Enfin, évitez les vêtements serrés et surélevez le matelas ou les pieds du lit pour faciliter la circulation de retour

Bel été à tous grâce à la naturopathie !

http://www.herbolistique.com/

http://www.biophenix.com/

Message rédigé par les handicapés et gravé sur une tablette de bronze à l’Institut de Réadaptation de New-York.

 

Ce message m’a été transmis lors d’une formation et je tiens à le partager avec vous en cette période de vacances.

 

J’ai demandé à Dieu la force pour atteindre le succès ; il m’a rendu faible, afin que je puisse apprendre humblement à obéir.

J’ai demandé la santé pour faire de grandes choses ; il m’a été donné l’infirmité, pour que je fasse des choses meilleures.

J’ai demandé la richesse afin que je puisse être heureux ; il m’a été donné la pauvreté, afin que je puisse être sage.

J’ai demandé le pouvoir pour être estimé des hommes ; il m’a été donné la faiblesse, afin que je sente le besoin de Dieu.

J’ai demandé un compagnon pour ne pas vivre seul ; il m’a été donné un cœur, afin que je puisse aimer tous mes frères.

J’ai demandé tout ce qui pourrait réjouir ma vie ; j’ai reçu la vie afin que je puisse me réjouir de tout.

Presque en dépit de moi-même mes prières informulées ont été exaucées.

Je n’ai rien eu de ce que j’avais demandé, mais bien tout ce que j’avais espéré.

 

Je suis parmi tous les hommes, le plus richement comblé.

Le vinaigre de cidre possède de nombreuses vertus pour améliorer la santé, il était appelé autrefois « Élixir de Jeunesse ».

Il faut savoir que jusqu’au 18ème siècle, le vinaigre de cidre était vendu chez les apothicaires.

L’intérêt principal du vinaigre de cidre vient de sa composition. Sa grande richesse en minéraux comme le phosphore, le calcium, le soufre, le magnésium, le fer, le fluor, le silicium, le bore, en vitamines, en acides essentiels, en enzymes et en pectine de pommes.

Cette composition riche fait de lui un puissant reminéralisant et antiseptique naturel qui favorise le nettoyage de l’organisme grâce à son acidité. Sa consommation régulière ne provoque ni brûlure d’estomac, ni ulcère. Bien au contraire, sa richesse en enzyme lui permet d’agir avec efficacité contre les bactéries intestinales tout en régulant l’acidité gastrique et en contribuant à l’équilibre acido basique

Vous pouvez utiliser le cidre pour :

 

  • les brûlures d’estomac
  • les intoxications alimentaires
  • stimuler la digestion
  • diminuer les flatulences et les spasmes intestinaux
  • stimuler le renouvellement de la flore intestinale
  • éviter la constipation
  • combattre la cellulite
  • agir sur les troubles articulaires (arthrite, arthrose)
  • lutter contre la goutte
  • l’élimination des toxines du sang (anti cholestérol)
  • soulager les crampes
  • stabiliser la tension artérielle
  • agir contre les infections (urinaires, inflammations buccales)
  • réduire les douleurs musculaires (entorse, douleurs, courbatures)
  • réduire la fatigue, vertige, nervosité, insomnie
  • réduire les calculs rénaux et biliaires
  • améliorer les migraines et les troubles hépato-biliaires
  • traiter les piqûres d’insectes, coup de soleil…

 

En voie interne : cure de 4 semaines

 

  • Pour drainer l’organisme : il faut commencer par 1 cuillerée à soupe 30 mn avant les repas et augmenter progressivement les doses jusqu’à 3 cuillerées à soupe par jour. Il peut être consommé seul ou mélangé à de l’eau. Aussi dans une petite d’eau à boire dans la journée

  • Il peut être aussi utilisé tout simplement sous forme de vinaigrette ou mélangé à du miel en cas d’infections hivernales.

  • Pour les problèmes de sinus, rhumes et migraines, on peut faire des inhalations de vinaigre de cidre. De deux à trois cuillères à soupe de vinaigre de cidre pour un grand bol d’eau bouillante. Se couvrir la tête au-dessus du bol et respirer les vapeurs.

  • Il ralentit la charge glycémique du repas même en petite quantité : 1 cuillère à soupe au repas

  • Il favorise l’élimination des mauvaises graisses (cholestérol et triglycérides)

  • Il renforce le capital osseux en augmentant l’absorption du calcium

En externe :

 

  • en gargarisme pour les maux de gorge : diluer 1/3 de cidre et 2/3 d’eau
  • sur la peau : pur sur les piqûres d’insectes ou coup de soleil ou dilué sur les inflammations sous forme de compresse, il ralentit le vieillissement de la peau par son action antioxydante et purifie les peaux acnéiques
  • en bains de siège : hémorroïdes, flore
  • en bain relaxant : un grand verre de vinaigre de cidre dans l’eau du bain.
  • en massage : douleur musculaire
  • en rinçage sur les cheveux pour leur donner de la brillance et de l’éclat…

 

Mais pour pouvoir bénéficier pleinement des nombreux bienfaits du vinaigre de cidre, il faut le choisir non pasteurisé, bio et 100% vieilli en fût de chêne !

Passez un bel été !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue 

 

 

 

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