Le Mercure en quelques mots
Il s’agit d’un métal hautement volatil et toxique. Sa présence est connue principalement dans les vaccins comme conservateur et les amalgames dentaires. Lors de la pose d’amalgame, sa présence, mélangée à d’autres métaux (étain, argent. ..), va jusqu’à 50% mais représente au final 40 à 45 % suite à son évaporation. L’intoxication a déjà commencé. Son émanation va se poursuivre au contact des aliments et de la mastication pour rejoindre la respiration, la circulation sanguine et le cerveau via le nerf olfactif. Le mercure aime les tissus mous : reins, glandes endocrines, foie et cerveau. En France, la présence de mercure dans les amalgames dentaires, représente encore 70% des soins. Le mercure se transmet au fœtus via le sang et le lait de la mère provoquant des perturbations cérébrales voire de l’autisme. Les dentistes sont également particulièrement victimes de l’intoxication au mercure de par leur utilisation régulière ou la dépose d’amalgame sans précaution.
En dehors des amalgames dentaires, on en trouve aussi dans :
- le sol et l’eau
- les aliments (graines traitées au Méthylmercure), les mollusques et poissons contaminés (thon, saumon…)
- les fongicides et les pesticides organo-mercuriels
- les plastiques
- les décolorants du chlore
- les encres d’impression,ou à base d’eau pour les peintres de maison
- encre de tatouage
- les vaccins
- les détergents, les solvants
- les cosmétiques
- le latex
- les laxatifs contenant du calomel, certains médicaments, le mercurochrome
- les produits pour lustrer, les conservateurs de bois
Les effets sur la santé :
- il entrave les activités enzymatiques
- paralysie ou cécité
- altération du comportement chez les enfants, hyperactivité, dépression, irritabilité
- goût métallique dans la bouche et salivation
- tremblement musculaire
- anormalité foetale
- stomatite
- dents qui se déchaussent
- perte d’appétit, anémie
- colite
- affection rénale
- hypertension
- névrite périphérique
- insomnie et somnolence, maux de tête
- troubles de la sensibilité, acouphènes, vertige, intolérance aux bruits et aux odeurs
- allergie et asthme, irritation bronchique
- trouble de l’activité du cerveau, baisse de la mémoire et de la concentration
- troubles endocriniens et hormonaux (thyroïde, infertilité, aménorhée)
Quoi faire ?
- Améliorer sa diététique : augmenter les acides aminés soufrés (haricots, œufs, poireaux, ail et oignons)
- Prendre des compléments alimentaires à base de pectine, sélénium (il possède un effet protecteur contre la toxicité du mercure), acide ascorbique, cystéine, cystine, méthionine, soufre
- Un protocole de chélation encadré par un thérapeute
- Un suivi avec l’Oligoscan (mesure tissulaire des métaux lourds)
- Limiter les expositions au mercure
Bonne santé !
Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue
Tél : 06 65 70 94 89