Les amalgames dentaires

La toxicité des amalgames dentaires n’est plus à prouver et transforme notre bouche en véritable danger.

« Il est tout à fait inacceptable de continuer à insérer une substance aussi potentiellement toxique dans la bouche des citoyens, alors qu’il existe des alternatives plus sûres » déclare Marios Matsakis (rapporteur de la Commission Européenne sur l’Environnement, la Santé Publique et la Sécurité Alimentaire).

Certains pays européens ont déjà arrêté les amalgames dentaires comme les pays nordiques. En France, la restriction est préconisée mais pas son interdiction en raison du faible coût des amalgames au mercure. Ils impliquent parfois, par personne, 200 fois le seuil d’alerte retenu dans le monde industriel.

Il est important de connaître la quantité d’amalgame, leur ancienneté, leur détérioration et leur toxicité selon le cas.

La dépose d’amalgame peut être envisagée et doit se faire sous certaines contraintes indispensables par des spécialistes (=> me contacter)

Quels sont les métaux dangereux ?

Il y a 25 métaux contenus dans les amalgames mais rappelons déjà les conséquences du mercure en bouche en raison de sa neuro-toxicité.

Il s’agit d’un métal hautement volatil et toxique. Sa présence est connue également dans les vaccins comme conservateur ou dans les gros poissons comme le thon.

Lors de la pose d’amalgame, sa présence, mélangée à d’autres métaux (étain, argent. ..), va jusqu’à 50% mais représente au final 40 à 45 % suite à son évaporation. L’intoxication a déjà commencé. Son émanation va se poursuivre au contact des aliments et de la mastication pour rejoindre la respiration, la circulation sanguine et le cerveau via le nerf olfactif. Le mercure aime les tissus mous : reins, glandes endocrines (hypophyse, thyroïde), sinus, cœur, foie, tissus nerveux et cerveau. Le mercure se transmet au fœtus via le sang et le lait de la mère provoquant des perturbations cérébrales voire de l’autisme surtout chez les garçons. L’audition est aussi affectée.

Les dentistes sont également particulièrement victimes de l’intoxication au mercure de par leur utilisation régulière ou la dépose d’amalgame sans précaution.

Les conséquences :

Les métaux toxiques constituent un facteur aggravant de certaines pathologies ou limitent leur guérison :

  • syndrome de fatigue chronique
  • maladies neuro-dégénératives (alzheimer, parkinson…)
  • fibromyalgie
  • autisme
  • trouble de l’attention
  • dépression
  • maladie auto-immune
  • intolérances alimentaires, candidose et allergie
  • la myofasciite à macrophages (uniquement induite par la vaccination de l’hépatite B)

Comment détecter les métaux lourds ?

On peut détecter dans les amalgames d’autres métaux lourds : l’argent, l’aluminium, le béryllium (cancérigène), le cuivre, l’étain, le gallium, l’indium et le zinc principalement.

Certains examens permettent de détecter les métaux lourds : l’analyse de cheveux, l’analyse sanguine ou d’urine et le bilan Oligoscan.

On sait que l’analyse de cheveux est peu fiable car le cheveux accroche les pollutions extérieures ce qui modifie ainsi le résultat de l’intoxication purement endogène. Les vapeurs de mercure et autres métaux lourds restent peu de temps dans le circuit sanguin et l’analyse d’urine n’est pas représentative de la charge en métaux lourd mais seulement de son élimination.

Le bilan Oligoscan, est une sorte de « biopsie lumineuse » utilisant le principe de la spectrophotométrie. Il mesure les réserves tissulaires de 14 métaux lourds et permet de suivre l’évolution d’une chélation s’il y a lieu. Il renseigne sur 2 indicateurs essentiels  :

  • la présence quantitative et indique l’exposition à laquelle le la personne fait face
  • la capacité d’excrétion et d’élimination des métaux

J’utilise cet appareil avec succès depuis 2 ans tout particulièrement dans le cadre d’une chélation mais pour bien d’autres applications.

Comment enlever les amalgames ?

Il s’agit de faire appel à un dentiste habilité à la dépose d’amalgame. Je peux vous transmettre des adresses à ce sujet lors des consultations.

Il faudra préparer le terrain et protéger le foie et les intestins très impliqués dans la détoxication.

Il faudra aussi apporter à l’organisme tous les éléments nutritifs nécessaires pour permettre au foie la phase de sulfo-conjugaison permettant l’élimination de façon neutre des toxines.

La dépose d’amalgame est fortement déconseillée chez la femme enceinte ou allaitante.

Pour tous, elle ne doit se faire que s’il y a une suspicion vraie d’intoxication et non chez une personne en bonne santé.

Quoi faire au quotidien ?

  • Améliorer sa diététique : augmenter les acides aminés soufrés (haricots, œufs, poireaux, ail et oignons), les antioxydants, les aliments non industriels ni transformés
  • Prendre des compléments alimentaires à base de pectine, sélénium (il possède un effet protecteur contre la toxicité du mercure), acide ascorbique, cystéine, cystine, méthionine, soufre… ou des complexes adaptés
  • Un protocole de chélation encadré par un thérapeute en préventif ou curatif
  • Un suivi avec l’Oligoscan (mesure tissulaire des métaux lourds)
  • Limiter les expositions au mercure et aux pollutions (eau du robinet, alimentation non biologique surtout les légumes verts et salades)…

Je vous souhaite une belle année et une bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe Iridologue

Bilan Oligoscan

Tél : 06 65 70 94 89