Pourquoi ?

La réaction allergique est déclenchée par un facteur externe qui vient modifier le terrain. Il existe la plupart du temps, une saturation toxinique de l’organisme, une perméabilité intestinale et une flore déséquilibrée.

Lorsque l’allergène entre en contact avec les voies respiratoires, les globules blancs produisent des anticorps spécifiques (IgE) pour défendre l’organisme.

Les réactions sont immédiates : certaines cellules du système immunitaire vont libérer de l’histamine responsable des manifestations allergiques et inflammatoires.

L’allergène (responsable de l’allergie) peut être un aliment mais aussi d’autres substances (pollen, poussière, médicament, poils d’animaux, moisissures…). Elle peut être saisonnière sur une période donnée et plus généralement au printemps et à l’automne.

Même si l’allergie nécessite une prévention, on peut utiliser des moyens naturels pour éviter les crises aiguës.

Pour éviter l’allergie, il faut favoriser un bon terrain dès la naissance. La maman doit équilibrer sa flore avec des probiotiques et allaiter son bébé. L’accouchement par voie basse permet un premier ensemencement de la flore du nouveau-né (sinon, il faut donner des probiotiques dans le biberon). Il est important de prendre son temps dans la diversité alimentaire. Il ne faut pas aseptiser de façon excessive l’environnement de l’enfant.

La vaccination excessive est elle aussi un des facteurs responsable des allergies

Les symptômes :

  • Éternuements en salve
  • Nez bouché ou écoulement nasal
  • Signe de sinusite chronique, congestion des muqueuses et parfois polypes
  • Larmoiement et yeux gonflés, rhinoconjonctivites
  • Démangeaisons du conduit auditif et palais
  • Sifflement respiratoire, toux sèche, signe d’asthme
  • Fatigue
  • Gonflement cutané (lèvres, langue.. ), urticaire, démangeaisons, eczéma
  • Chocs anaphylactiques, œdème
  • Mais aussi allergie alimentaires (lait de vache, protéine de l’œuf, poisson, arachides, soja, gluten…) avec troubles intestinaux

Les solutions :

  • Ajuster l’alimentation qui est un facteur essentiel : éviction des produits laitiers, du gluten et des aliments riches en histamine (poissons en conserve ou fumés, fruits de mer, vin blanc et champagne, fraises, épinard, choucroute) et les excitants (café, alcool, tabac)
  • Protéger et soutenir la sphère intestinale par une prise en charge spécifique
  • Combler les carences en oméga 3 et en minéraux grâce à un bilan Oligoscan
  • Renforcer la sphère hépatique en fonction du terrain
  • Soutenir par la phytothérapie, les huiles essentielle ou bourgeons de plantes très efficaces
  • Privilégier les bons antioxydants
  • Respirer le bol d’air Jacquier
  • Arrêter ou diminuer le tabac
  • Gérer le stress (relaxation, réflexologie plantaire, chi machine, yoga, respiration…)

Bonne santé à tous !

Il s’agit d’une fatigue persistante et inexpliquée de plus de 6 mois. Elle concerne tous les âges et particulièrement la tranche des 25 à 50 ans, avec un pic à 35 ans, mais certains adolescents peuvent aussi être touchés.

C’est une maladie multi-factorielles avec des déséquilibres endocriniens, nerveux, digestifs ou immunitaires associés à des dysfonctionnements métaboliques : acidose, stress oxydant, carences en nutriments entre autre.

Le bilan Oligoscan permet, à l’aide de mesures tissulaires, d’apporter une réponse à ces différents facteurs.

Quels sont les symptômes ?

  • sommeil non réparateur
  • difficulté de récupération après un effort, malaise
  • confusion, troubles de la mémoire et de la concentration
  • hypersensibilité au bruit et à la lumière
  • palpitations, arythmie cardiaque, pâleur
  • troubles digestifs, nausées
  • intolérances alimentaires, candidose
  • allergie, états infectieux et grippaux
  • douleur musculaire et articulaire

Quelles sont les causes ?

  • carences nutritionnelles et enzymatiques
  • toxines, déchets et présence de métaux lourds
  • manque de calories, alimentation déséquilibrée
  • stress oxydatif (surmenage, manque de récupération), carences en antioxydant
  • perturbation cellulaire et mitochondriale (production d’énergie cellulaire)
  • déséquilibre nerveux et hormonal
  • désordres émotionnels (stress affectif, contraintes du quotidien ingérables…)

Quelles sont les solutions ?

  • Équilibrage alimentaire avec des aliments frais, biologiques et non industriels
  • hygiène de vie en réduisant les charges toxiques
  • hydratation de qualité en dehors des repas
  • apport d’oxygène
  • équilibrage repos/activité
  • équilibrage du terrain : acido-basique, stress oxydant
  • apport de micronutriments (vitamines, minéraux, oligoéléments, enzymes…)
  • cure de détoxication et revitalisation
  • et enfin : partage, amour, plaisir de vivre…

Si vous ressentez au moins 4 symptômes avec des paramètres sanguins normaux, n’hésitez pas à en parler avec votre naturopathe pour une prise en charge globale et personnalisée.

Bonne santé à tous !

 

Tout d’abord, je vous souhaite un belle et heureuse fin d’année pleine de fêtes, de partage et de sérénité pour ces derniers jours de 2015.

Je vous invite ensuite à faire le point sur un organe magnifique que les naturopathes aiment observer et protéger.

oeil mixte

« Regard ouvert d’un coup, comme une blessure, une fleur inconnue ». Je partage avec vous, cette phrase poétique et pleine de sens de Pierre Péju que j’ai lue et relue dans « la petite Chartreuse ».

L’œil est un organe des sens complexe, fragile et sollicité en permanence, souvent agressé. Il possède cependant la coexistence de nombreux systèmes de protection : l’orbite, les glandes lacrymales, les clignements des paupières, les pigments des iris, des muscles et l’ouverture réglable de la pupille pour s’adapter à la lumière.

Pour un fonctionnement optimal, l’œil nécessite des vitamines et des antioxydants spécifiques et parfois insuffisamment apportés par l’alimentation quotidienne.

Outre les troubles qui peuvent altérer la vision (myopie, hypermétropie, presbytie, astigmatisme, strabisme), les pathologies ou maladies dégénératives peuvent être stabilisées par des techniques d’hygiène vitale, des exercices et des compléments alimentaires naturels.

La qualité de l’alimentation et de l’hydratation est essentielle au maintien d’une bonne vision.

Les nouveaux modes de vie et l’apparition récente des tablettes, smartphone, écrans d’ordinateur ou de télévision agressent l’œil par un excès d’ondes bleues et des informations qui modifient nos sécrétions hormonales (avec entre autre la mélatonine).

Il existe des solutions simples et efficaces à mettre en place, dès le plus jeune âge, pour préserver son capital vision. Il faut, avant tout, connaître certains facteurs aggravants :

Quels sont les facteurs aggravants des troubles de la vision ?

  • Faiblesse du foie
  • Écran d’ordinateur, télévision, portable, tablettes
  • Excès de rayonnements UV
  • Troubles hormonaux
  • Troubles circulatoires
  • Vieillissement
  • Toxémie
  • Tabac
  • Diabète
  • Carence en antioxydant et Acides Gras Essentiels
  • Stress
  • Alimentation industrielle et raffinée, excès de sucre

Comment prévenir et stabiliser sa vision ?

La naturopathie est une approche douce et globale pour réduire la fatigue oculaire, le syndrome de l’œil sec, les inflammations (conjonctivite, rétinite…), prévenir le vieillissement oculaire et stabiliser sa vision.

On va utiliser plusieurs techniques après avoir fait un bilan de santé et pour ma part, un bilan Oligoscan. Ce dernier va mesurer les réserves tissulaires de minéraux, d’oligoéléments mais aussi des métaux lourds et du stress oxydatif.

Les grands axes d’approches sont les suivants :

  • l’alimentation de type méditerranéenne (riches en fruits, légumes et oméga3), biologique, fraîche et de saison
  • l’oxygénation : le bol d’air Jacquier, la respiration
  • l’hydrologie : les bains d’œils, les bains dérivatifs
  • l’exercice physique régulier
  • la qualité et la quantité de sommeil
  • les compléments alimentaires riches en lutéine et zéaxanthine
  • la gemmothérapie : bourgeon de myrtilles
  • la vitamine A, C et E
  • le zinc
  • les oméga 3
  • les produits de la ruche avec les pollens frais spécifiques
  • les collyres naturels

Les exercices indispensables pour nos yeux :

  • le yoga des yeux
  • le palming

Je vous propose mon forfait Vision + : 4 consultations à 200 €

  • Bilan de vitalité complet
  • Bilan en iridologie avec lecture à l’iridoscope et photographie des iris
  • Bilan Oligoscan
  • Programme individualisé d’hygiène vitale
  • Conseils alimentaires et diététiques personnalisés
  • Rééquilibrage énergétique avec points spécifiques
  • Yoga des yeux
  • Technique du « palming » pour le repos des yeux
  • Démonstration d’exercices respiratoires

Belle année 2016 et bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

 

L’hiver est relié à l’organe des reins en médecine chinoise. C’est aussi la saison où l’on doit ralentir le rythme, augmenter le temps de sommeil et adapter l’alimentation.

Avec la baisse des températures et l’humidité, les bactéries et virus prolifèrent dans l’air. Les maux de l’hiver nous fragilisent : angines, rhinites, rhino-pharyngites, bronchite, grippe, gastro-entérite virale et dépression saisonnière. La diminution de l’intensité lumineuse rend notre organisme plus fragile psychologiquement et plus vulnérable au niveau de l’immunité.

Cette année, le froid tarde à arriver. Profitons-en alors pour s’aérer, faire de l’exercice en contact avec la nature, pour ressentir les derniers rayons de soleil !

Comment préserver sa santé en hiver ?

  1. Tout d’abord préserver son équilibre acido-basique

    Il faut éviter les protéines animales pour ne pas surcharger les reins surtout dans leur travail nocturne d’élimination acide. Ce sont les reins qui filtrent les acides forts (déchets animaux) mais ils ont une capacité quotidienne limitée. Les protéines végétales génèrent des acides faibles facilement éliminés par les poumons. En cas de surcharge, on retrouve les déchets acides dans les articulations sous forme de cristaux irritants qui entretiennent le processus inflammatoire.

  2. S’hydrater

    L’hydratation ne doit pas être oubliée en hiver : il faut s’hydrater régulièrement pour aider les reins à diluer les déchets : boire des tisanes (pissenlit, aubier de tilleul, piloselle), de l’eau peu minéralisée. Avec un extracteur de jus ou une centrifugeuse, on peut préparer des jus de légumes frais : betterave, navet, céleri, carottes… C’est une excellente source alcaline qui préserve nos réserves minérales.

  3. S’alimenter

    Il faut maintenir une portion de légumes plutôt cuits (soupe, cuisson vapeur) pour de pas refroidir l’organisme et bien l’hydrater. Les crudités sont réservées pour les tempéraments « sanguins ». Les fruits de saisons apporteront vers 17h une source de vitamines. C’est la saison des fruits secs : raisins, figues, pruneaux, baies de Goji, myrtilles… et des fruits oléagineux : amandes, noix, noisettes, noix du Brésil, graine de courge, de tournesol…

    Il faut éviter les protéines le soir et les réserver pour le matin ou le midi en quantité raisonnable.

    Enfin, les céréales (riz, quinoa, pâtes…) sont à choisir ½ complètes pour bénéficier des vitamines et mélangées aux légumineuses (lentilles, pois chiche, haricots rouges, fèves..), elles constitueront une protéine végétale, digeste et moins acidifiante.

  4. Dormir

    Il faudrait pour préserver sa santé en hiver, augmenter le temps de sommeil de 2 heures. Dans le meilleur des cas, se coucher 1 heure plus tôt, aide l’organisme à la désacidification nocturne et à la récupération. Il faut préférer la sieste à la grasse matinée pour respecter son horloge biologique. Les ondes bleues des écrans d’ordinateur, de tablette ou téléphone retardent notre synthèse de mélatonine. Il ne faut pas hésiter à avoir recours aux filtres anti ondes bleues (demander à votre opticien) ou utiliser les lunettes Bio Optik.

  5. S’oxygéner

    Il est important de rester en contact avec la nature en privilégiant une marche quotidienne, à la lumière du jour, en respirant en conscience et en vidant l’air résiduel stagnant dans nos poumons. La respiration renforcée participe à l’élimination de nos acides faibles.

    Il faut bien aérer les habitations et diffuser des huiles essentielles purifiantes : eucalyptys, agrumes, lavande, ravintsara, pin…

    Le bol d’air Jacquier est aussi une solution d’oxygénation et de prévention.

  6. La sensibilité au froid

    L’adaptation au froid dépend de réactions hormonales impliquant les glandes surrénales (qui coiffent les reins) et la glande thyroïde chargée de la régulation de la température corporelle. Il existe des plantes et macérât qui soutiennent l’organisme pour mieux résister au froid et stimuler l’immunité.

  7. Les carences

    C’est durant l’hiver que les carences de vitamines et minéraux se fait sentir. Il faut préserver ses réserves de fer dont certains symptômes mettront en alerte (fatigue, irritabilité, vertige, pâleur, fragilité des phanères…). La vitamine D est à complémenter à raison de 200 UI par jour. Les apports concentrés sont à éviter afin de préserver le foie. Les minéraux basiques (magnésium, calcium, potassium) sont à privilégier par voie alimentaire et si besoin en complément alimentaire.

La naturopathie pourra vous aider à mettre en place tous les moyens d’adaptation pour profiter de cette belle saison.

Je vous souhaite un hiver lumineux et une bonne santé pour cette année à venir.

Corinne Allioux Goldfarbe

Naturopathe, Iridologue

Déc
12
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J’ai le trac !

On a tous fait l’expérience du trac pour passer un examen, un permis de conduire, un entretien d’embauche ou pour parler face un public.

Selon les tempéraments, le trac est une montée d’adrénaline utile ou au contraire une source d’anxiété et de stress insurmontable.

Les sensations sont désagréables et gênantes : boule au ventre ou dans la gorge, oppression, sensation d’étouffer, palpitations, vertiges, maux de tête ou au dos (ou cervicales), bouche sèche avec difficulté de déglutition, transpiration excessive, rougeurs au visage, oreilles ou cou, maux de ventre avec parfois diarrhées et vomissements et bien sûr, irritabilité, tristesse, dévalorisation, hyperémotivité voire crise de panique.

Voici donc quelques solutions efficaces, simples et naturelles à mettre en place quelques jours avant et pendant l’épreuve. On retrouve les plantes, l’aromathérapie, les Fleurs de Bach et l’homéopathie. Mais avant tout, la diététique accompagne et renforce les conseils sachant qu’il est préférable d’alléger les quantités et de renforcer la part des nutriments indispensables au système nerveux.

Quels sont les aliments bénéfiques pour le système nerveux ?

Pour équilibrer et nourrir le système nerveux, il faut :

  • bien s’hydrater sinon c’est le cerveau qui va souffrir le plus et ralentir la concentration et générer une fatigue générale. On pourra choisir des eaux de source et pourquoi pas, des eaux riches en magnésium comme Hépar ou Rozana en cure.
  • privilégiez les vitamines B qui sont présentes dans les céréales complètes, jaune d’œuf, protéines, légumineuses, crucifères, germe de blé et levure de bière
  • privilégiez les oméga 3 présents dans les poissons gras (sardines, saumon, hareng, maquereaux, anchois), les huiles de noix, cameline, chanvre, colza et les fruits oléagineux (noix, amandes)
  • privilégiez le magnésium dans les bananes, cacao, amandes, châtaignes, dattes, céréales et légumes verts
  • privilégiez les antioxydants car le stress génère des radicaux libres: fruits et légumes biologiques colorés et de saison, baies de goji ou autres baies de saisons (fraîches, en jus, en baies séchées ou surgelées), acérola naturelle
  • oubliez les sucres rapides (pain blanc, aliments raffinés, pâtisserie et gâteaux, desserts, glace, bonbons, aliments industriels…) et augmenter la part des fruits oléagineux en collation avec les amandes, le chocolat noir > 70% cacao (magnésium) et les noix riches en phosphore (énergie, mémoire)
  • oubliez l’alcool, le café, les sodas et les graisses saturées (frites, viennoiseries, charcuterie)

Il faut respirer !

En matière de respiration, quoi de plus simple que de synchroniser sa respiration suivant deux techniques d’une efficacité redoutable :

Il faut dormir !

Le sommeil va réparer, trier les informations, mémoriser et surtout dédramatiser les événements. On dit « la nuit porte conseil » et il est sage de suivre ce célèbre dicton. Rien de sert de réviser jusqu’à 3h du matin…

Les plantes :

Pour le jour : passiflore, aubépine, mélisse, griffonia (si compulsion alimentaire)

Pour le soir : valériane, passiflore, escholtzia, mélilot, aspérules odorantes, camomille romaine, oranger

Focus sur le brahmi ou bacopa : la plante anti trac et concentration avec bonne humeur en bonus

Le minéral :

Le magnésium + vitamine B6 (au moins 400 mg) en plusieurs prises

Les huiles essentielles :

Avant d’affronter l’épreuve, faire le mélange suivant en appliquant goutte de chaque huile sur le plexus ou à l’intérieur des poignets :

HE Laurier Noble

HE Romarin à Verbénone

HE Pruche

L’homéopathie : demandez conseil à votre pharmacie ou médecin homéopathe, je peux cependant vous conseiller les remèdes suivants :

Gelsemium 15 CH (examen, stress avec tétanisation, tremblements, diarrhée)

Ignatia 15CH (stress agité, impatience, boule dans la gorge, crampes, diarrhée)

Natrum mur 9 CH (peur, phobie social, tempéraments solitaire)

Kalium phos 15 CH (boule dans la gorge, hypersensibilité au stress, au bruit, cauchemar)

Fleurs de Bach :

Rescue remedy : 3 gouttes la veille au soir, le matin et juste avant l’épreuve (ou plus si besoin). Garder les fleurs sous la langue 1 minute si possible et boire ensuite un peu d’eau

Je vous souhaite un bon week end et une bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

La Gemmothérapie est un sous domaine de la phytothérapie qui utilise les bourgeons et jeunes pousses d’arbres et d’arbustes récoltés au printemps. Après récolte, les bourgeons sont mis frais dans un mélange d’eau, d’alcool et de glycérine.

Ce procédé permet de conserver intactes les nombreuses vertus vivantes des bourgeons de plantes. Ils contiennent très peu d’alcool et peuvent être utilisés par tous les publics. Ils renferment toute l’information du totum de la future plante ainsi que son potentiel des principes actifs : racine, tige, feuille, fleurs et même graines.

Sainte Hildegarde de Bingen utilisait les bourgeons de pomme, tilleul, cassis ou frêne dès le XIème siècle. Pol Henri, médecin Belge, crée la méthode en 1959 sous le nom de Phytoembryothérapie puis Max Tétau donne ensuite à la méthode le nom utilisé aujourd’hui de Gemmothérapie.

Les bourgeons ont largement leur place en naturopathie car ils répondent au principe énergétique des 4 éléments : eau (la sève), air (les feuilles) , terre (les racines) et feu (les fleurs). Ils sont l’expression de l’énergie vitale et nous la transmettent en potentialisant l’effet des plantes sous une autre forme (tisane, gélule, élixir…) mais attention à leur qualité. Ils nous apportent aussi leur vibration pour équilibrer, en plus de leur vertu médicinale, un équilibre émotionnel spécifique. Ils nous accompagnent sur l’ensemble de nos grands systèmes.

Conseils d’utilisation pour les enfants :

En prévention : 2 gouttes 1 à 2 fois par jour

En aigu : 2 à 5 gouttes 2 à 3 fois par jour ou plus jusqu’à 1 goutte par kg de poids

Conseils d’utilisation pour les adultes :

En prévention : 5 gouttes 2 à 3 fois par jour

En aigu : 8 à 10 gouttes 3 fois par jour ou plus jusqu’à 1 goutte par kg de poids (ex : personne de 60 kg = 60 gouttes maximum par jour)

Femmes enceintes : 5 gouttes par jour

2 cures de 3 semaines sont conseillées avec un arrêt de 3 semaines entre chaque cure.

Quelques utilisations de bourgeons :

L’AIRELLE :

C’est le bourgeon de la femme au niveau hormonal et urogénital pour améliorer les troubles de la puberté à la ménopause

  • action phyto-oestrogénique et antispasmodique (fibrome, ménopause, dysménorrhée)
  • action diurétique et aseptisante des voies urinaires (cystites chroniques, calculs)
  • action drainante et anti-microbienne intestinale (flore)
  • action régulatrice sur le transit en améliorant la motricité intestinale (constipation)
  • action antiscléreuse des parois vasculaires (cholestérol, urée)
  • action anti-vieillissement tissulaire et ostéo-articulaire (ostéoporose, arthrose)
  • pour accepter l’aide et les conseils, pour retrouver la lumière

L’AUBEPINE :

C’est le bourgeon du cœur et de l’anxiété

  • action régulatrice du rythme cardiaque (palpitation, extrasystoles)
  • action normalisatrice de la tension artérielle
  • action drainante artérielle et antiscléreuse
  • action sédative et régulatrice du système nerveux central
  • action sédative en cas d’hyperthyroïdie et de difficultés respiratoire
  • pour retrouver l’amour et le bonheur, la force intérieure et l’élan vital

LE CASSIS :

C’est le bourgeon « cortisone like » anti-inflammatoire et adaptogène

  • action anti-inflammatoire articulaire (arthrose, arthrite) et tendino-ligamentaire
  • action tonifiante surrénalienne suite de stress
  • action stimulante endocrinienne
  • action diurétique et anti-oedémateuse
  • action correctrice du terrain allergique au niveau respiratoire (asthme, rhinite allergique)
  • action protectrice en cas de chimio
  • pour retrouver la tolérance, l’énergie vitale, la générosité et sortir des situations difficiles

LE FIGUIER :

C’est le bourgeon de l’axe du stress « cerveau/intestin »

  • action régulatrice de l’équilibre nerveux (angoisses, spasmophilie, névralgie, migraine)
  • action anti-fatigue nerveuse et hyperactivité, troubles du sommeil
  • action normalisatrice des secrétions gastriques (gastrites, ulcères, hernie hiatale)
  • action régénératrice de la muqueuse intestinale (colite, sigmoïdite)
  • action régulatrice de la thyroïde
  • pour digérer les aléas de la vie, calmer l’impulsivité, débloquer les situations et les conflits

LE GENEVRIER :

C’est le bourgeon nettoyeur du foie, des reins et du sang pour favoriser un drainage

  • action de drainage hépatique
  • action sur le terrain allergique
  • action anti-toxique (chimio, empoisonnement, cirrhose)
  • action de stimulation rénale, diurétique, anti-lithiase
  • action de détoxication sanguine (urée, acide urique, cholestérol)
  • action de soutien en cas de sevrage
  • pour apaiser les tourments et le mental, se libérer des épreuves

LE ROMARIN :

C’est le bourgeon protecteur du foie

  • action de détoxication sanguine en cas de déchets
  • action de régénération des cellules hépatiques
  • action antioxydante et antitoxique
  • action cholérétique (augmentation de la bile)
  • action tonifiante générale et anti-fatigue (physique et psychique)
  • pour retrouver l’enthousiasme, la gaieté et résister aux chocs de la vie

LE TILLEUL :

C’est le bourgeon spécialiste des 2 cerveaux (encéphalique et entérique)

  • action harmonisante du système nerveux (sommeil, angoisse)
  • action antispasmodique cardiaque
  • action digestive de l’intestin en cas de stress
  • action de détoxication générale
  • action apaisante en cas de sevrage
  • pour retrouver le féminin en soi, écouter les autres, trouver sa place, s’apaiser après une rupture

Mon conseil : en période pré-hivernale, vous pouvez associer ou alterner en cure de 3 semaines les bourgeons suivants :

  • Le bourgeon d’Argousier : il augmente la résistance de l’organisme, il est anti-infectieux et protège du froid par sa présence de flavonoïdes et de vitamine C
  • Le bourgeon d’Églantier : il est conseillé en automne pour les frileux, il aide les enfants fragiles de la sphère ORL, il protège la sphère respiratoire et immunitaire (anti-viral et anti-inflammatoire)

Bonne santé avec les bourgeons !

N’hésitez pas à me contacter,

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

06 65 70 94 89

Nos grands-mères le savaient bien, aux printemps et à l’automne, il faut utiliser les vermifuges pour les grands comme les petits sans oublier les animaux de compagnie.

Les parasites intestinaux sont des organismes qui utilisent le tube digestif humain pour se développer et se reproduire en pondant leurs oeufs. Les oxyures, petits vers blancs, sont transmis par les aliments souillés ou un manque d’hygiène par manque de lavage des mains. Le ténia (ou ver solitaire) est transmis par l’ingestion d’aliments mal cuits (surtout viande ou œuf).

L’influence de la lune est bien connue pour le traitement. Elle influence la ponte des oxyures qui se produit à la pleine lune.

Ces parasites occasionnent des troubles sur la santé :

  • démangeaison du nez
  • démangeaison anale
  • douleur abdominale
  • irritabilité, agitation (surtout chez les enfants)
  • difficultés scolaires
  • trouble du sommeil
  • fatigue
  • toux
  • inflammation génitale chez les petites filles
  • perte de poids (pour le ténia) avec nausée, diarrhée et sensation de faim
  • trace de vers dans les selles sous forme de filaments ou d’anneaux

En cas de contamination :

Il est important de traiter toute la famille et de mettre en place une hygiène renforcée : lavage des mains régulier, ongles courts et brossés, nettoyage des vêtements et literies, désinfection des wc, changement des serviettes et gants de toilette fréquents.

Il faudra traiter 1 semaine avant la pleine lune et 1 semaine après pendant au moins 2 mois.

Les solutions naturelles :

  • l’ail et l’oignon
  • l’huile et les graines de courge
  • le curcuma
  • le persil (sauf pour les femmes allaitantes)
  • l’huile essentielle de Cannelle de Chine, Eucalyptus à Cryptone, Origan (aussi préparation sous forme de suppositoire)
  • pépins de pamplemousse ou propolis
  • la coque de noix verte

Il existe des complexes efficaces et naturels auprès de laboratoires de compléments alimentaires. En préventif ou en curatif, pensez à nettoyer votre tube digestif…

Malgré les tristes événements, je vous souhaite une bonne santé

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

Les symptômes :

La grippe ou l’état grippal se reconnaît aux effets suivants :

  • fièvre constante et soudaine vers 39° et parfois plus
  • état fébrile avec courbatures ou douleurs
  • sueurs et frissons
  • maux de tête
  • infection respiratoire avec encombrement : rhino-pharyngite, angine, trachéite ou bronchite
  • toux douloureuse
  • fatigue intense avec perte d’appétit
  • nausée et vomissements selon les virus

En fonction de chacun, l’intensité des symptômes est variable ainsi que la durée de convalescence.

La guérison se fait en 4 à 7 jours avec une persistance occasionnelle de la toux et fatigue.

Des complications peuvent apparaître : bronchique, avortement chez la femme enceinte, insuffisance respiratoire aiguë, fatigue persistante

En prévention :

  • Gouttes aux essences : 25 gouttes par jour 3 semaines par mois
  • Cure de propolis
  • Vitamine C végétale
  • Vitamine D
  • Echinacée
  • HE de Ravintsara : 2 gouttes sur l’intérieur des poignets tout l’hiver
  • Pollen frais de Ciste : 1 cuillère à soupe le matin 1 mois sur 2
  • Homéopathie : faire le protocole de prévention selon les indications de votre pharmacien

En curatif :

  • Gouttes aux essences : 25 gouttes 3 à 4 fois par jour
  • Vitamine C
  • Huiles Essentielles : 6 gouttes du mélange suivant en massage sur le cou, thorax et haut du dos 4 fois par jour pendant 4 jours :
  1. HE Ravintsara : 2 gouttes

  2. HE Eucalyptus Radié : 2 gouttes

  3. HE Laurier Noble : 1 goutte

  4. HE Niaouli : 1 goutte

  • Diffusion d’HE 2 à 3 fois par jour au moins 10 minutes si pas d’allergie respiratoire : citron, eucalyptus radié, pin sylvestre, niaouli

  • Lapacho, Eupatoire en teinture mère pendant 1 semaine
  • Tisane de Sureau pour activer la transpiration
  • Alkylglycérols pour la convalescence
  • Hydratation régulière entre les repas
  • Homéopathie
  • Repos et chaleur et surtout PATIENCE !!

Le repos est essentiel pour guérir sereinement.

Bonne Santé !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

La toute première idée fut lancée en 1784 par Benjamin Franklin, dont le père était fabricant de chandelles, pour faire des économies le soir. Puis, le système a été mis en place pour la première fois en 1916 puis en 1940, sous l’occupation, et repris définitivement en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing suite au choc pétrolier. Il faut savoir que depuis cette date, nous vivons constamment décalés de deux heures de plus sur le soleil pendant sept mois, de mars à octobre, et d’une heure de novembre à février.

Concrètement, au moment de l’heure d’été, nous avançons d’une heure durant la nuit, entre 2 et 3 heures du matin, ce qui fait perdre une heure du sommeil. A l’inverse, le changement en automne, aura lieu la nuit du 24 au 25 octobre prochain et fait gagner une heure de sommeil : à 3 heures du matin, il faudra reculer nos pendules d’1 heure et il sera 2 heures du matin.

Il n’existe en réalité, que l’heure du soleil du fuseau horaire sur lequel notre pays est placé. Il s’agit de l’heure solaire moyenne correspond à celle du méridien de Greenwich qui coupe la France en deux parties selon une ligne qui va de Villers sur Mer (Proche de Deauville) à Tarbes.

Ce procédé a pour motivation les économies d’énergie réalisées par le profit de la lumière naturelle.

Il est pourtant très difficile d’évaluer l’impact réel de l’économie d’énergie réalisée selon la Commission Européenne. En 2009, l’économie d’électricité est de 440 Gwh (gigawatt-heure, unité de mesure d’énergie) ce qui représente 0,3% de la consommation totale, soit un résultat très insuffisant en regard des inconvénients subis par la population. De plus, l’augmentation de chauffage et climatisation ne sont pas réellement pris en compte.

Un sondage, réalisé en France le 29 mars 2013 sur la satisfaction de l’heure d’été, a obtenu 80 % de réponses négatives sur 100 000 personnes votantes. On peut réfléchir sur le fait de la surconsommation de somnifères et anxiolytiques en France plus ou moins aggravée en raison du décalage continuel sur le soleil.

Ce décalage horaire permanent nous prive de la lumière du matin qui est notre premier signal de mise en route transmis à notre rétine. Si une personne se réveille à 6h30 du matin, il est en réalité seulement 4h30 en heure d’été ou 5h30 en hiver. L’exposition à la lumière artificielle nous contraint le matin et nous prive d’une luminosité particulièrement essentielle. Ce décalage influence aussi nos hormones comme le cortisol et la mélatonine dont le pic de cette dernière a lieu la nuit entre 2 et 3 heures solaires.

On enregistre des malaises parmi 25 % de la population lors du décalage de l’heure d’été à l’heure d’hiver et inversement avec une plus forte sensibilité chez les jeunes enfants et les personnes âgées. Les différents symptômes sont nombreux ajoutés à la difficulté de s’endormir et ensuite de se réveiller le matin. Il y a cependant une forte part psychologique sachant que le cortex fait parti de notre horloge interne. On retrouve parmi les symptômes :

  • fatigue

  • troubles digestifs

  • modification de l’humeur

  • stress, burn out

  • démotivation

  • surmédicalisation

  • absentéisme

  • accidents du travail et de la route

  • baisse de la productivité

  • échec scolaire

  • troubles du sommeil

  • malaises avec augmentation d’accident cardiaque (plus 5% les jours qui suivent le changement d’heure)

  • dérèglement de la mélatonine et du cortisol…

Les pédiatres gèrent ce décalage comme une « nouvelle maladie saisonnière ».

On peut, cependant, proposer des solutions simples chez les personnes sensibles en attendant les décisions de nos politiques, même si le décalage est automne est mieux supporté :

  • décaler plus tôt progressivement de 10 à 15 minutes l’heure du lever et du coucher la semaine précédent le changement,

  • favoriser l’élévation de la température le matin (douche chaude) et l’abaissement de la température le soir (douche ou bain de pied tiède ou frais)

  • faire de l’exercice en matinée et non en fin de journée

  • s’exposer en extérieur à la lumière du jour le plus possible (surtout le matin)

  • 1 cure d’Eleuthérocoque (plante adaptogène efficace pour les décalages horaires)

  • Valériane et Houblon en cas de trouble du sommeil

  • Walnut en Fleur de Bach

  • Des bourgeons de Romarin le matin et de Tilleul le soir

  • 1 cure de Magnésium Marin et de vitamine C naturelle

Le dimanche matin, après le changement, il est conseillé d’éviter une grasse matinée supplémentaire, afin d’aider l’organisme à s’ajuster rapidement, et de lui éviter un choc le lundi matin. Il faudra s’accorder rapidement au nouveau rythme le soir.

Encore une fois, il faut sortir, respirer et profiter de la lumière extérieure pour éviter les troubles du sommeil. Elle aidera à recaler notre rythme circadien.

Enfin, on peut suivre les conseils habituels d’hygiène du sommeil : pas d’excitant après 16h, pas de repas trop lourds ni trop alcoolisés le soir, faire une activité relaxante avant de dormir en évitant la télévision et autres écrans lumineux qui empêchent l’organisme de sécréter correctement la mélatonine.

Le retour à l’heure solaire serait une solution simple pour harmoniser notre quotidien, les rythmes scolaires, les transports et surtout notre santé.

Les symptômes

L’endométriose se caractérise par le développement anormal de la muqueuse utérine ailleurs qu’à l’intérieur de la matrice. Sensible aux taux d’hormones féminines en circulation, l’endomètre se développe dès la fin des règles, culmine au moment de l’ovulation et s’évacue sous forme d’hémorragie. De cycle en cycle, ce cercle vicieux s’intensifie et s’accélère jusqu’à une infertilité possible. Dans les cas extrêmes, les symptômes conduisent les femmes à un repli sur soi et des troubles relationnels importants. Ce phénomènes génère différents symptômes. La douleur est le symptôme majeur même si celle-ci n’est pas systématique.

La recherche de 5 signes peuvent alerter :

  • dysménorrhée (règles douloureuses) sévère n’ayant cessé de s’aggraver au fil du temps
  • douleur lors de la défécation pendant les règles
  • douleur pendant la miction lors des règles
  • douleur chronique du petit bassin
  • douleur profonde lors des rapports sexuels, tout particulièrement en seconde moitié de cycle.

Ces différents signes peuvent s’accompagner de pertes brunâtres avant les règles dans les urines ou dans les selles et de formation de kystes.

Une stérilité peut survenir dans 30 à 40 % des cas.

On valide le diagnostic grâce à un toucher vaginal ou à une échographie, l’IRM n’étant pas indiquée.

L’histologie (étude des tissus) permet de valider le diagnostic d’endométriose.

Cette affection concerne 30 000 femmes en France dont 80% ont entre 30 et 40 ans

Les causes

Toutes les causes de l’endométriose ne sont pas encore connues mais on peut les expliquer par les raisons suivantes :

  • toutes les règles ne s’évacuent pas par voie vaginale mais par le pavillon des trompes de Fallope et gagnent la cavité abdominale
  • la diffusion de cellules endométriales jusqu’à des tissus et des organes très éloignés de la sphère gynécologique
  • une défaillance du système immunitaire qui ne détruit pas les cellules répandues hors de l’utérus
  • un déséquilibre hormonal avec un excès d’estrogène ou insuffisance de progestérone
  • un choc psychologique ou émotionnel non digéré

    Par ailleurs, certains facteurs de risque ont été repérés :

  • être d’origine caucasienne ou asiatique
  • prédisposition génétique (gène DNMT3L)
  • une étroitesse du col utérin
  • une rétroversion du col de l’utérus
  • un indice de masse corporelle faible
  • une instabilité émotionnelle et un stress chronique
  • une alimentation pauvre en oméga 3
  • une intoxication par des pollutions (pesticides, phtalates, métaux lourds,…)
  • un usage fréquent d’écran solaire non biologique
  • une révision utérine après un accouchement, un curetage après un avortement, un antécédent de césarienne

Quelles solutions alimentaires ?

Le régime méditerranéen avec une alimentation biologique, de saison et des bonnes huiles riches en oméga 3. On peut associer une mono-diète de légumes ou de fruits crus ou cuits selon les tolérances pour nettoyer l’organisme et économiser l’énergie digestive.

L’hydratation régulière entre les repas est indispensable : jus de fruits et légumes frais maison, eau de source.

En collation, on va valoriser les noix du Brésil (2 par jour), les amandes et noix de Grenoble.

On va éviter les produits laitiers (sauf le beurre cru non pasteurisé le matin), la sauge, l’armoise, le ginseng et le soja et les excitants : café, thé, soda, excès de viande rouge et charcuteries.

Quelles solutions naturelles ?

  • Éviter la constipation avec l’usage de téguments de Psyllium blond au coucher.
  • Soutenir le foie (chargé de la métabolisation des hormones sexuelles)
  • Prendre des anti-inflammatoires naturels (curcuma sans pipérine…) et des antioxydants pour calmer l’inflammation et la douleur
  • Traiter le stress
  • Faire une cure de Pycnogénol
  • Prendre des Oméga 3 EPA
  • Traiter l’acidose par un complexe de minéraux
  • Soutenir l’équilibre hormonal et réguler les oestrogènes
  • Inhiber l’angiogenèse (formation de vaisseaux) et réduire la prolifération des cellules endométriales
  • Agir sur la congestion utérine et limiter les crampes

Heureusement, il existe des synergies performantes de compléments alimentaires avec des améliorations notables.

Un plus : les cures thermales

  • Bagnoles de l’Orne
  • Bourbon l’Archambault
  • Challes les Eaux
  • Luz Saint Sauveur
  • Saint Trojan les Bains
  • Dax
  • La Léchère
  • Luxeuil les Bains

Mes conseils : évitez les pollutions !!

Trop de portable, téléphone sans fil, éviter l’aspartame, l’alcool, le tabagisme passif et actif, l’eau du robinet, les colorants/parfums de synthèses/conservateurs/exhausteurs de goûts/de l’industrie alimentaire, le contact avec le papier d’aluminium (conserves, papillotes, emballage sandwich et chocolat, canette), le micro-onde, les plastiques alimentaires (préférer les plats en terre type ramequins), le téflon, les déodorants avec pierre d’alun ou aluminium, les cosmétiques non bio (crèmes pour le corps, visage, maquillage …), les médicaments inutiles, les produits d’entretien ménager biologiques et respectueux de l’environnement.

Bonne santé !

Corinne Allioux Goldfarbe, Naturopathe Iridologue

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